La tripartite regroupant le gouvernement, la centrale syndicale et le patronat, pourrait bel et bien avoir lieu durant la première semaine de février prochain, à en croire des sources syndicales proches de l'UGTA. A ce titre, croit-on savoir de mêmes sources, le dossier du pouvoir d'achat serait le point dominant de ce conclave qui intervient dans une période cruciale marquée par une hausse sans précédent des prix des produits de large consommation et une érosion insupportable du pouvoir d'achat des citoyens, rendant insignifiantes les dernières augmentations décidées par le gouvernement dans le cadre de la nouvelle grille des salaires de la Fonction publique. Cette tendance a été confirmée par les différentes organisations syndicales et patronales qui n'ont pas cessé de tirer la sonnette d'alarme sur une situation de plus en plus dégradante. C'est le cas notamment des syndicats autonomes de la Fonction publique, regroupés au sein d'une coordination nationale, qui ont organisé mardi dernier une journée de grève pour attirer l'attention des pouvoirs publics sur cet état de fait. Cette journée de débrayage qui s'est voulue être comme un premier «coup de semonce», peut en appeler d'autres, comme l'a si bien souligné le porte-parole de cette coordination, Meziane Meriane. Ce dernier a menacé de durcir le ton avec une autre forme de protestation «plus forte» si un dialogue «sérieux» ne sera pas ouvert avec les «véritables» représentants de ces syndicats autonomes qui exigent un statut de partenaire social «à part entière». D'ailleurs, l'UGTA a été longuement fustigée par ces syndicats, et Sidi Said, déjà en mauvaise posture, en raison de l'approche de la date du congrès de son organisation, semble avoir compris le message. C'est dans cette perspective que le secrétariat national de l'UGTA s'est réuni mercredi dernier pour examiner la situation à la lumière de toute cette agitation. La puissante centrale syndicale qui se trouve les mains liées par le pacte social et économique qu'elle avait signé avec le gouvernement en 2006, tentera de désamorcer la crise lors de la prochaine tripartite, et cela passera inévitablement par l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens. La tripartite regroupant le gouvernement, la centrale syndicale et le patronat, pourrait bel et bien avoir lieu durant la première semaine de février prochain, à en croire des sources syndicales proches de l'UGTA. A ce titre, croit-on savoir de mêmes sources, le dossier du pouvoir d'achat serait le point dominant de ce conclave qui intervient dans une période cruciale marquée par une hausse sans précédent des prix des produits de large consommation et une érosion insupportable du pouvoir d'achat des citoyens, rendant insignifiantes les dernières augmentations décidées par le gouvernement dans le cadre de la nouvelle grille des salaires de la Fonction publique. Cette tendance a été confirmée par les différentes organisations syndicales et patronales qui n'ont pas cessé de tirer la sonnette d'alarme sur une situation de plus en plus dégradante. C'est le cas notamment des syndicats autonomes de la Fonction publique, regroupés au sein d'une coordination nationale, qui ont organisé mardi dernier une journée de grève pour attirer l'attention des pouvoirs publics sur cet état de fait. Cette journée de débrayage qui s'est voulue être comme un premier «coup de semonce», peut en appeler d'autres, comme l'a si bien souligné le porte-parole de cette coordination, Meziane Meriane. Ce dernier a menacé de durcir le ton avec une autre forme de protestation «plus forte» si un dialogue «sérieux» ne sera pas ouvert avec les «véritables» représentants de ces syndicats autonomes qui exigent un statut de partenaire social «à part entière». D'ailleurs, l'UGTA a été longuement fustigée par ces syndicats, et Sidi Said, déjà en mauvaise posture, en raison de l'approche de la date du congrès de son organisation, semble avoir compris le message. C'est dans cette perspective que le secrétariat national de l'UGTA s'est réuni mercredi dernier pour examiner la situation à la lumière de toute cette agitation. La puissante centrale syndicale qui se trouve les mains liées par le pacte social et économique qu'elle avait signé avec le gouvernement en 2006, tentera de désamorcer la crise lors de la prochaine tripartite, et cela passera inévitablement par l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens.