Les lycéens constantinois des classes de terminale ne décolèrent pas. Les assurances fournies par le ministère de l'Education ne semblent pas avoir convaincu grand monde. Au lendemain de la diffusion du communiqué signé par Benbouzid, c'est-à-dire hier samedi, ils étaient des centaines à assiéger la direction de l'Education à Constantine. Issus des différents lycées de la ville, d'Ibn Taymya à Ben Badis et de Rédha Houhou à Kheznadar en passant par Hacene Boudjenana et Malek Haddad, les « terminalistes » ne veulent rien savoir. Ils exigent maintenant qu'on leur définissent, au préalable, les cours, et cela dans toutes les matières, entrant dans la préparation du Bac 2008. Par cette attitude, ils démontrent qu'ils n'ont pas confiance en leur tutelle. Il est probable que des dizaines de lycéens qui n'ont pas répondu à l'appel le premier jour, rejoignent aujourd'hui ou demain, les rangs des contestataires. Il s'agit d'un problème national qui dépasse le cadre de la direction de l'éducation. Un vrai problème qui interpelle directement Benbouzid et les architectes de la réforme de l'éducation. Hier, les quelques manifestants ont été dispersés dans le calme par la police. En attendant une prise en charge effective de cette question, les élèves de terminale ne sont pas à l'abri de manipulations. Les lycéens constantinois des classes de terminale ne décolèrent pas. Les assurances fournies par le ministère de l'Education ne semblent pas avoir convaincu grand monde. Au lendemain de la diffusion du communiqué signé par Benbouzid, c'est-à-dire hier samedi, ils étaient des centaines à assiéger la direction de l'Education à Constantine. Issus des différents lycées de la ville, d'Ibn Taymya à Ben Badis et de Rédha Houhou à Kheznadar en passant par Hacene Boudjenana et Malek Haddad, les « terminalistes » ne veulent rien savoir. Ils exigent maintenant qu'on leur définissent, au préalable, les cours, et cela dans toutes les matières, entrant dans la préparation du Bac 2008. Par cette attitude, ils démontrent qu'ils n'ont pas confiance en leur tutelle. Il est probable que des dizaines de lycéens qui n'ont pas répondu à l'appel le premier jour, rejoignent aujourd'hui ou demain, les rangs des contestataires. Il s'agit d'un problème national qui dépasse le cadre de la direction de l'éducation. Un vrai problème qui interpelle directement Benbouzid et les architectes de la réforme de l'éducation. Hier, les quelques manifestants ont été dispersés dans le calme par la police. En attendant une prise en charge effective de cette question, les élèves de terminale ne sont pas à l'abri de manipulations.