Les directeurs régionaux des chambres de commerce (CCI) ont déploré, encore une fois, leur situation financière qui «tourne à la catastrophe» et qui les empêchent de mener leurs programmes de développement, selon les dires de quelques directeurs des CCI des wilayas. « Il est nécessaire de trouver des solutions aux problèmes du financement qui constituent les obstacles les plus sérieux à une implication plus importante de ces chambres dans le développement économique des régions du pays » a affirmé un directeur d'une CCI, lors de la session ordinaire de l'assemblée générale de la Chambre algérienne du commerce et d'industrie (Caci) avec les Chambres du commerce et d'industrie réparties sur le territoire national, tenue, hier à Alger. Les Cci restent, à juste titre, accablées de dettes qui sont estimés, selon le président de la Caci, M Brahim Bendjaber, à 13 milliards de centimes dont des dettes fiscales et parafiscales. Ces dernières, à savoir les Cci, espèrent toucher les collectes des taxes parafiscales qui leur sont destinées dans la loi de finances complémentaire de 2006. «Le ministère des Finances accuse un retard important dans les opérations de versement de ces subventions», accuse le directeur d'une des CCI du pays qui déplore le fait que «le ministère du Commerce se contente d'écrire pour solliciter le déblocage de cette argent sans toutefois réagir efficacement pour atteindre ce but». Sur ce sujet, M. Bendjaber a affirmé que la clé de répartition des ressources financières, précédemment réparties à raison de 50% pour la Caci et 50% pour les Cic a été changée par décret exécutif. «Actuellement la répartition se fera de l'ordre de 60% pour les Cci et 40% pour la Caci. Nous espérons recevoir les collectes de 2006 au cours de cette année», dira le président de la Caci. Cette taxe parafiscale, explique M. Bendjaber, est collectée annuellement par le ministère des Finances auprés des commerçants, grossistes et industriels, à savoir, 200 DA pour les commerçants, 500 DA pour les grossistes et 1.000 DA pour les industrielles. Le montant annuel de cette taxe, en se basant sur le nombre des registres du commerce déposés au CNRC, s'élèvera à plus de 300 millions de dinars, soit 120 millions de DA pour la Caci et 180 millions de DA pour les Cci, souligne-t-il. Le président de la Caci qui s'est exprimé lors de cette rencontre, organisée pour examiner et approuver le bilan des activités de la Caci pour l'années 2007 et le programme d'action de la même institution pour l'année 2008, a affirmé que l'objectif major tracé pour cette année est en rapport avec le développement de l'investissement et de partenariat ainsi que la promotion des exportations hors hydrocarbures. Cet objectif, ajoute-t-il, sera réalisé à travers, notamment, «le renforcement de la capacité d'action de la Caci à l'effet de mettre à la disposition d'entreprises économiques les moyens utiles à leur développement sur le plan national et sur intégration de la sphère économique internationale ». Les directeurs régionaux des chambres de commerce (CCI) ont déploré, encore une fois, leur situation financière qui «tourne à la catastrophe» et qui les empêchent de mener leurs programmes de développement, selon les dires de quelques directeurs des CCI des wilayas. « Il est nécessaire de trouver des solutions aux problèmes du financement qui constituent les obstacles les plus sérieux à une implication plus importante de ces chambres dans le développement économique des régions du pays » a affirmé un directeur d'une CCI, lors de la session ordinaire de l'assemblée générale de la Chambre algérienne du commerce et d'industrie (Caci) avec les Chambres du commerce et d'industrie réparties sur le territoire national, tenue, hier à Alger. Les Cci restent, à juste titre, accablées de dettes qui sont estimés, selon le président de la Caci, M Brahim Bendjaber, à 13 milliards de centimes dont des dettes fiscales et parafiscales. Ces dernières, à savoir les Cci, espèrent toucher les collectes des taxes parafiscales qui leur sont destinées dans la loi de finances complémentaire de 2006. «Le ministère des Finances accuse un retard important dans les opérations de versement de ces subventions», accuse le directeur d'une des CCI du pays qui déplore le fait que «le ministère du Commerce se contente d'écrire pour solliciter le déblocage de cette argent sans toutefois réagir efficacement pour atteindre ce but». Sur ce sujet, M. Bendjaber a affirmé que la clé de répartition des ressources financières, précédemment réparties à raison de 50% pour la Caci et 50% pour les Cic a été changée par décret exécutif. «Actuellement la répartition se fera de l'ordre de 60% pour les Cci et 40% pour la Caci. Nous espérons recevoir les collectes de 2006 au cours de cette année», dira le président de la Caci. Cette taxe parafiscale, explique M. Bendjaber, est collectée annuellement par le ministère des Finances auprés des commerçants, grossistes et industriels, à savoir, 200 DA pour les commerçants, 500 DA pour les grossistes et 1.000 DA pour les industrielles. Le montant annuel de cette taxe, en se basant sur le nombre des registres du commerce déposés au CNRC, s'élèvera à plus de 300 millions de dinars, soit 120 millions de DA pour la Caci et 180 millions de DA pour les Cci, souligne-t-il. Le président de la Caci qui s'est exprimé lors de cette rencontre, organisée pour examiner et approuver le bilan des activités de la Caci pour l'années 2007 et le programme d'action de la même institution pour l'année 2008, a affirmé que l'objectif major tracé pour cette année est en rapport avec le développement de l'investissement et de partenariat ainsi que la promotion des exportations hors hydrocarbures. Cet objectif, ajoute-t-il, sera réalisé à travers, notamment, «le renforcement de la capacité d'action de la Caci à l'effet de mettre à la disposition d'entreprises économiques les moyens utiles à leur développement sur le plan national et sur intégration de la sphère économique internationale ».