Le secteur de la Fonction publique risque, une nouvelle fois, d'être paralysé par une autre grève qui se profile déjà à l'horizon. En effet, l'Intersyndicale de la fonction publique a décidé de revenir à la charge et de hausser le ton, à la faveur d'une nouvelle forme de protestation qui sera arrêtée lors de la rencontre, prévue vendredi prochain. C'est ce qui a été, d'ailleurs, confirmé par les responsables de l'intersyndicale qui ont fait état d'un "large consensus", au sein des huit syndicats autonomes qui la composent, sur la nécessité de donner une nouvelle forme au mouvement de protestation, qui avait commencé par le fameux débrayage de trois jours. Les syndicats de la Fonction publique comptent, à cette occasion, remettre sur le tapis leurs revendications socio-prpofessionnelles après s'être rendu compte, que les pouvoirs publics "n'ont pas l'intention" d'ouvrir un "véritable dialogue" autour de ces revendications, que les syndicats considèrent "légitimes", à commencer par la nouvelle grille des salaires qu'ils ont rejetée, appelant à une "renégociation" avec la participation des représentants des travailleurs. C'est dire que la réunion de ce vendredi sera déterminante, d'autant plus que les syndicats vont opter, croit-on savoir, soit pour une protestation de trois jours, comme ce fut le cas les 12,13 et 14 février derniers, soit pour une grève illimitée, en vue d'amener le gouvernement à la table des négociations, comme l'a si bien laissé entendre Meziane Meraine, coordinateur national des syndicats autonomes de la fonction publique. Le secteur de la Fonction publique risque, une nouvelle fois, d'être paralysé par une autre grève qui se profile déjà à l'horizon. En effet, l'Intersyndicale de la fonction publique a décidé de revenir à la charge et de hausser le ton, à la faveur d'une nouvelle forme de protestation qui sera arrêtée lors de la rencontre, prévue vendredi prochain. C'est ce qui a été, d'ailleurs, confirmé par les responsables de l'intersyndicale qui ont fait état d'un "large consensus", au sein des huit syndicats autonomes qui la composent, sur la nécessité de donner une nouvelle forme au mouvement de protestation, qui avait commencé par le fameux débrayage de trois jours. Les syndicats de la Fonction publique comptent, à cette occasion, remettre sur le tapis leurs revendications socio-prpofessionnelles après s'être rendu compte, que les pouvoirs publics "n'ont pas l'intention" d'ouvrir un "véritable dialogue" autour de ces revendications, que les syndicats considèrent "légitimes", à commencer par la nouvelle grille des salaires qu'ils ont rejetée, appelant à une "renégociation" avec la participation des représentants des travailleurs. C'est dire que la réunion de ce vendredi sera déterminante, d'autant plus que les syndicats vont opter, croit-on savoir, soit pour une protestation de trois jours, comme ce fut le cas les 12,13 et 14 février derniers, soit pour une grève illimitée, en vue d'amener le gouvernement à la table des négociations, comme l'a si bien laissé entendre Meziane Meraine, coordinateur national des syndicats autonomes de la fonction publique.