La commission entamera ses travaux la semaine prochaine et prévoit de se rendre dans de nombreux pays où l'ONU dispose de bureaux et de personnels. La commission entamera ses travaux la semaine prochaine et prévoit de se rendre dans de nombreux pays où l'ONU dispose de bureaux et de personnels. La commission de l'ONU, chargée d'élaborer un programme en vue d'améliorer la sécurité des personnels et des bâtiments de l'organisation internationale, sera bientôt à l'œuvre. Le diplomate algérien, Lakhdar Brahimi, désigné à la tête de cette commission par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a annoncé, en effet, que la commission entamera ses travaux la semaine prochaine et prévoit de se rendre dans de nombreux pays où l'ONU dispose de bureaux et de personnels. Lakhdar Brahimi a dévoilé jeudi, à New York, lors d'une conférence de presse, la composante de la commission qui est constituée de 5 experts indépendants. Il s'agit d'un Egyptien, un Indien, un Turc, un Sud-Africain et une Suédoise. Lakhdar Brahimi, ancien ministre algérien des Affaires étrangères et qui a eu déjà à assumer plusieurs missions de la plus grande organisation internationale, a souligné que la commission compte remettre son rapport au secrétaire général dans quelques mois. Nommé au début du mois de février par Ban Ki-moon, Lakhdar Brahimi a indiqué que pour beaucoup de personnes, qui la considèrent, l'Onu est devenue un «ennemi et est donc une cible légitime» pour leurs attaques tant ils ont le sentiment d'un manque d'impartialité dans la gestion des crises mondiales. «Je pense que l'ONU a été avertie que son drapeau n'est plus désormais une garantie de protection» a, en outre, précisé ce diplomate de 73 ans. Pour rappel, le secrétaire général de l'Onu a annoncé la formation de cette commission le 23 janvier dernier à Genève lors d'une cérémonie au Palais des Nations et ce, en hommage aux 18 employés de l'Organisation tués lors de l'attentat à la voiture piégée du 11 décembre, à Alger, qui a visé les bureaux du Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). La commission, a-t-il ajouté, « regardera attentivement ce qui s'est passé à Alger et verra quelles leçons immédiates peuvent être tirées de cet événement extrêmement choquant et triste ». Rappelons qu'après l'attentat d'Alger, et après sa visite sur les lieux du drame quelques jours après, le SG de l'Onu a évoqué, dans un premier temps, l'éventualité de créer une commission d'enquête internationale sur ce drame. Les autorités algériennes ont très mal perçu cette perspective et ont clairement affiché leur opposition. Le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem l'a alors qualifiée « de décision unilatérale ». Dans ses déclarations, il a précisé que l'ambassadeur d'Algérie auprès de l'ONU n'a même pas été consulté. Aussi pour Belkhadem « cette commission ne peut être accueillie favorablement, car l'Algérie a fait son devoir ». Ce refus catégorique d'Alger à poussé l'organisation onusienne a reconsidérer sa position en substituant à cette commission d'enquête une autre d'experts indépendants qui aura pour mission de revoir l'ensemble du dispositif de sécurité des sièges et des bâtiments de l'ONU et ce, non seulement en Algérie, mais aussi dans d'autres pays. La commission de l'ONU, chargée d'élaborer un programme en vue d'améliorer la sécurité des personnels et des bâtiments de l'organisation internationale, sera bientôt à l'œuvre. Le diplomate algérien, Lakhdar Brahimi, désigné à la tête de cette commission par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a annoncé, en effet, que la commission entamera ses travaux la semaine prochaine et prévoit de se rendre dans de nombreux pays où l'ONU dispose de bureaux et de personnels. Lakhdar Brahimi a dévoilé jeudi, à New York, lors d'une conférence de presse, la composante de la commission qui est constituée de 5 experts indépendants. Il s'agit d'un Egyptien, un Indien, un Turc, un Sud-Africain et une Suédoise. Lakhdar Brahimi, ancien ministre algérien des Affaires étrangères et qui a eu déjà à assumer plusieurs missions de la plus grande organisation internationale, a souligné que la commission compte remettre son rapport au secrétaire général dans quelques mois. Nommé au début du mois de février par Ban Ki-moon, Lakhdar Brahimi a indiqué que pour beaucoup de personnes, qui la considèrent, l'Onu est devenue un «ennemi et est donc une cible légitime» pour leurs attaques tant ils ont le sentiment d'un manque d'impartialité dans la gestion des crises mondiales. «Je pense que l'ONU a été avertie que son drapeau n'est plus désormais une garantie de protection» a, en outre, précisé ce diplomate de 73 ans. Pour rappel, le secrétaire général de l'Onu a annoncé la formation de cette commission le 23 janvier dernier à Genève lors d'une cérémonie au Palais des Nations et ce, en hommage aux 18 employés de l'Organisation tués lors de l'attentat à la voiture piégée du 11 décembre, à Alger, qui a visé les bureaux du Haut Commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR) et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). La commission, a-t-il ajouté, « regardera attentivement ce qui s'est passé à Alger et verra quelles leçons immédiates peuvent être tirées de cet événement extrêmement choquant et triste ». Rappelons qu'après l'attentat d'Alger, et après sa visite sur les lieux du drame quelques jours après, le SG de l'Onu a évoqué, dans un premier temps, l'éventualité de créer une commission d'enquête internationale sur ce drame. Les autorités algériennes ont très mal perçu cette perspective et ont clairement affiché leur opposition. Le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem l'a alors qualifiée « de décision unilatérale ». Dans ses déclarations, il a précisé que l'ambassadeur d'Algérie auprès de l'ONU n'a même pas été consulté. Aussi pour Belkhadem « cette commission ne peut être accueillie favorablement, car l'Algérie a fait son devoir ». Ce refus catégorique d'Alger à poussé l'organisation onusienne a reconsidérer sa position en substituant à cette commission d'enquête une autre d'experts indépendants qui aura pour mission de revoir l'ensemble du dispositif de sécurité des sièges et des bâtiments de l'ONU et ce, non seulement en Algérie, mais aussi dans d'autres pays.