De notre époque, la violence a atteint des proportions alarmantes. La preuve : une vidéo horrible mettant en scène le lynchage d'une jouvencelle par un groupe de jeunes hommes est diffusée depuis quelque temps sur Internet. Cet enregistrement abominable incarne l'horreur même de l'âme humaine gouvernée par les instincts de destructions les plus meurtriers. De notre époque, la violence a atteint des proportions alarmantes. La preuve : une vidéo horrible mettant en scène le lynchage d'une jouvencelle par un groupe de jeunes hommes est diffusée depuis quelque temps sur Internet. Cet enregistrement abominable incarne l'horreur même de l'âme humaine gouvernée par les instincts de destructions les plus meurtriers. Face à un film d'épouvante, nous tremblons déjà de peur bien que nous le sachions sans aucun fondement réel. Qu'en est-il alors lorsque nous sommes confrontés à des images qu'aucun qualificatif figurant sur le dictionnaire et reflétant l'horreur ne peut décrire ? La vidéo en question, diffusée sur Internet, filme en détail la torture et l'assassinat ignoble d'une jeune adolescente. Les agresseurs, des jeunes âgés entre 18 et 25 ans, se sont acharnés sur le corps frêle de la jeunette sans pitié, lui faisant subir les plus atroces sévices. En extase, les tortionnaires n'ont pas hésité à prendre, en guise de souvenir, des photos de l'événement dramatique. Conduite témoignant de l'extrême insensibilité de leurs âmes. Mince, petite, au corps frêle, cheveux sombre mi-long, vêtue d'une veste rouge et d'un pantalon noir l'adolescente gisait à même le sol sous les pieds de ses bourreaux au comble de l'excitation. Les gémissements de douleur de la pauvre victime produisaient l'effet inverse puisque les violences du groupe criminel allaient crescendo. Le calvaire de la pauvre victime s'acheva par un coup mortel asséné par l'un des tortionnaires. Le crime filmé dans ses moindres détails et diffusé sur Internet n'est-il pas une banalisation de la mort ? Les criminels, par leur acte, ont voulu partager avec le grand public l'horreur qu'ils ont fait subir à leur victime sans défense en leur offrant une preuve indélébile. Sadiques, atteints de trouble psychiatrique grave, psychopathes ou toxicomanes, ces personnes ont agit en toute insensibilité dévoilant toute l'horreur de leur âme. Ce qui est frappant dans leur acte est la froideur par laquelle ils ont filmé leur forfait, l'absence de culpabilité et l'indifférence face à la punition, ce qui reflète illico le fonctionnement psychopathique. Cet enregistrement, témoin d'un acte abominable et barbare, n'est-il pas l'évidence même de l'ampleur que prend le phénomène de la violence au sein des sociétés ? Peu importe que le théâtre de l'accomplissement de cet acte criminel soit Alger ou une autre ville dans un autre pays, comme signalé dans quelques titres nationaux. Car la violence, quel que soit son contexte, est un mal qui gangrène nos sociétés occasionnant les dégâts les plus ravageurs aux collectivités au point d'être banalisée. Ce qui n'est pas sans nous interpeller sur nombre de questionnements, autrement dit, les motifs qui poussent des jeunes à commettre pareille infamie et aller jusqu'au bout de l'atrocité en filmant un crime des plus abjects ? Que révèle une action semblable ? Qu'est-ce qui nourrit la violence aujourd'hui au sein de nos sociétés ? Torturer un être impuissant, inoffensif et sans défense, juste pour en tirer quelque jouissance de sa douleur ne peut être qu'un acte sadique. L'évidence est que cette bande de jeunes, animés d'une haine insoutenable, de pulsions de destruction ravageuses n'est pas parvenue fortuitement à commettre ce crime apparemment prémédité et accompli avec une extrême insensibilité ? Qui est la fille ? A quel milieu appartient-elle ? Son corps a-t-il été retrouvé ou non ? Aucun détail n'est encore disponible pour répondre à ces questions, mais une chose est sûre, ces criminels encore en liberté récidiveront à la première occasion s'ils ne sont pas vite écroués. Aussi, une enquête doit être entamée en vue de découvrir l'identité des agresseurs ainsi que celle de la victime. Dès lors, on ne peut nier que, de nos jours, les actes de violence connaissent une courbe ascendante et que les populations se trouvent de plus en plus impuissantes face à ce phénomène. Comment doit-on réagir face à ce type de conduites périlleuses ? Assister par le biais d'un outil de communication comme le net, au lynchage d'une personne n'est-il pas suffisant pour tirer la sonnette d'alarme sur un fléau sociétal ravageur ? Cette histoire traumatisante me rappelle illico le film de Robert De Niro, dont je ne me rappelle plus trop le titre, qui relatait l'histoire de deux personnes sadiques qui s'adonnaient au loisir de filmer avec leur caméscope les crimes perpétrés. Alors que l'un deux faisait subir froidement à sa victime les pires atrocités, l'autre se réjouissait de filmer les scènes d'une horreur inqualifiables. Une vidéo comme celle diffusée sur Internet est une preuve tangible que la violence, phénomène qui doit être sérieusement pris en considération, est banalisée. Les spécialistes tous corps confondu doivent se pencher sérieusement sur l'analyse de la violence juvénile, phénomène q'abreuve entre autre le manque de communication. La prévention, étape première du processus de lutte contre la violence commence par l'initiation de campagne de sensibilisation à l'attention de la société civile afin d'endiguer ce fléau social préjudiciable. Face à un film d'épouvante, nous tremblons déjà de peur bien que nous le sachions sans aucun fondement réel. Qu'en est-il alors lorsque nous sommes confrontés à des images qu'aucun qualificatif figurant sur le dictionnaire et reflétant l'horreur ne peut décrire ? La vidéo en question, diffusée sur Internet, filme en détail la torture et l'assassinat ignoble d'une jeune adolescente. Les agresseurs, des jeunes âgés entre 18 et 25 ans, se sont acharnés sur le corps frêle de la jeunette sans pitié, lui faisant subir les plus atroces sévices. En extase, les tortionnaires n'ont pas hésité à prendre, en guise de souvenir, des photos de l'événement dramatique. Conduite témoignant de l'extrême insensibilité de leurs âmes. Mince, petite, au corps frêle, cheveux sombre mi-long, vêtue d'une veste rouge et d'un pantalon noir l'adolescente gisait à même le sol sous les pieds de ses bourreaux au comble de l'excitation. Les gémissements de douleur de la pauvre victime produisaient l'effet inverse puisque les violences du groupe criminel allaient crescendo. Le calvaire de la pauvre victime s'acheva par un coup mortel asséné par l'un des tortionnaires. Le crime filmé dans ses moindres détails et diffusé sur Internet n'est-il pas une banalisation de la mort ? Les criminels, par leur acte, ont voulu partager avec le grand public l'horreur qu'ils ont fait subir à leur victime sans défense en leur offrant une preuve indélébile. Sadiques, atteints de trouble psychiatrique grave, psychopathes ou toxicomanes, ces personnes ont agit en toute insensibilité dévoilant toute l'horreur de leur âme. Ce qui est frappant dans leur acte est la froideur par laquelle ils ont filmé leur forfait, l'absence de culpabilité et l'indifférence face à la punition, ce qui reflète illico le fonctionnement psychopathique. Cet enregistrement, témoin d'un acte abominable et barbare, n'est-il pas l'évidence même de l'ampleur que prend le phénomène de la violence au sein des sociétés ? Peu importe que le théâtre de l'accomplissement de cet acte criminel soit Alger ou une autre ville dans un autre pays, comme signalé dans quelques titres nationaux. Car la violence, quel que soit son contexte, est un mal qui gangrène nos sociétés occasionnant les dégâts les plus ravageurs aux collectivités au point d'être banalisée. Ce qui n'est pas sans nous interpeller sur nombre de questionnements, autrement dit, les motifs qui poussent des jeunes à commettre pareille infamie et aller jusqu'au bout de l'atrocité en filmant un crime des plus abjects ? Que révèle une action semblable ? Qu'est-ce qui nourrit la violence aujourd'hui au sein de nos sociétés ? Torturer un être impuissant, inoffensif et sans défense, juste pour en tirer quelque jouissance de sa douleur ne peut être qu'un acte sadique. L'évidence est que cette bande de jeunes, animés d'une haine insoutenable, de pulsions de destruction ravageuses n'est pas parvenue fortuitement à commettre ce crime apparemment prémédité et accompli avec une extrême insensibilité ? Qui est la fille ? A quel milieu appartient-elle ? Son corps a-t-il été retrouvé ou non ? Aucun détail n'est encore disponible pour répondre à ces questions, mais une chose est sûre, ces criminels encore en liberté récidiveront à la première occasion s'ils ne sont pas vite écroués. Aussi, une enquête doit être entamée en vue de découvrir l'identité des agresseurs ainsi que celle de la victime. Dès lors, on ne peut nier que, de nos jours, les actes de violence connaissent une courbe ascendante et que les populations se trouvent de plus en plus impuissantes face à ce phénomène. Comment doit-on réagir face à ce type de conduites périlleuses ? Assister par le biais d'un outil de communication comme le net, au lynchage d'une personne n'est-il pas suffisant pour tirer la sonnette d'alarme sur un fléau sociétal ravageur ? Cette histoire traumatisante me rappelle illico le film de Robert De Niro, dont je ne me rappelle plus trop le titre, qui relatait l'histoire de deux personnes sadiques qui s'adonnaient au loisir de filmer avec leur caméscope les crimes perpétrés. Alors que l'un deux faisait subir froidement à sa victime les pires atrocités, l'autre se réjouissait de filmer les scènes d'une horreur inqualifiables. Une vidéo comme celle diffusée sur Internet est une preuve tangible que la violence, phénomène qui doit être sérieusement pris en considération, est banalisée. Les spécialistes tous corps confondu doivent se pencher sérieusement sur l'analyse de la violence juvénile, phénomène q'abreuve entre autre le manque de communication. La prévention, étape première du processus de lutte contre la violence commence par l'initiation de campagne de sensibilisation à l'attention de la société civile afin d'endiguer ce fléau social préjudiciable.