La question de la petite et moyenne entreprise et sa sempiternelle problématique de financement a été au centre du débat animé samedi soir au forum de l'ENTV, par le ministre de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat, Mustapha Benbada. «Un nombre important de demandes de crédits soumis par les PME aux banques ont été refusées en raison de l'insuffisance de garanties ou des risques élevés inhérents aux projets destinés au financement», a notamment affirmé le ministre. Ainsi, Benbada a exhorté les banques publiques et privées à jouer convenablement leur rôle afin de contribuer efficacement au développement par le biais de la révision à la hausse des crédits alloués aux investissements. Il s'agit, en fait, d'impliquer les banques dans l'accompagnement de la réalisation des projets d'investissement des entreprises en usant de méthodes moins bureaucratiques et de procédés draconiens dans la sélection des dossiers liés à la demande de lignes de crédits de la part des PME. L'invité de l'ENTV a notamment mis en relief les deux mécanismes assurant l'octroi de crédits aux entreprises, à savoir, la Caisse de garantie des crédits aux PME, qui a aidé 261 entreprises durant l'année précédente en leur accordant des montants d'une valeur de près de 7 milliards de DA, ce qui a permis la création de plus de 14 700 nouveaux postes de travail, et la Caisse de garantie des crédits à l'investissement, elle a traité plus de 200 dossiers dont une trentaine ont reçu une réponse positive et 100 autres PME attendent le résultat de l'étude de demande de crédit à l'investissement. Selon Benbada, 24.000 entreprises privées et plus de 10.000 nouvelles activités artisanales ont été créées, estimant que le nombre total des PME privées en activité est passé à 293.946 et celui des PME intervenant dans des activités artisanales à 116.347, d'où la création de plus de 102.000 emplois permanents. A signaler que plus de 3.100 entreprises ont été rayées du registre du commerce notamment dans le secteur de la construction et des travaux publics. Rappelons que l'Algérie a signé récemment un accord avec l'Union européenne (MEDA II) d'un montant de 40 millions d'euros, consistant à soutenir et à remettre à niveau les PME en leur permettant de mieux maîtriser les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC). La PME étant le moteur du développement durable, les pouvoirs publics entendent, donc, apporter toute l'aide nécessaire et l'assistance à ces milliers d'entreprises confrontées à un véritable problème de financement et d'organisation. La question de la petite et moyenne entreprise et sa sempiternelle problématique de financement a été au centre du débat animé samedi soir au forum de l'ENTV, par le ministre de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat, Mustapha Benbada. «Un nombre important de demandes de crédits soumis par les PME aux banques ont été refusées en raison de l'insuffisance de garanties ou des risques élevés inhérents aux projets destinés au financement», a notamment affirmé le ministre. Ainsi, Benbada a exhorté les banques publiques et privées à jouer convenablement leur rôle afin de contribuer efficacement au développement par le biais de la révision à la hausse des crédits alloués aux investissements. Il s'agit, en fait, d'impliquer les banques dans l'accompagnement de la réalisation des projets d'investissement des entreprises en usant de méthodes moins bureaucratiques et de procédés draconiens dans la sélection des dossiers liés à la demande de lignes de crédits de la part des PME. L'invité de l'ENTV a notamment mis en relief les deux mécanismes assurant l'octroi de crédits aux entreprises, à savoir, la Caisse de garantie des crédits aux PME, qui a aidé 261 entreprises durant l'année précédente en leur accordant des montants d'une valeur de près de 7 milliards de DA, ce qui a permis la création de plus de 14 700 nouveaux postes de travail, et la Caisse de garantie des crédits à l'investissement, elle a traité plus de 200 dossiers dont une trentaine ont reçu une réponse positive et 100 autres PME attendent le résultat de l'étude de demande de crédit à l'investissement. Selon Benbada, 24.000 entreprises privées et plus de 10.000 nouvelles activités artisanales ont été créées, estimant que le nombre total des PME privées en activité est passé à 293.946 et celui des PME intervenant dans des activités artisanales à 116.347, d'où la création de plus de 102.000 emplois permanents. A signaler que plus de 3.100 entreprises ont été rayées du registre du commerce notamment dans le secteur de la construction et des travaux publics. Rappelons que l'Algérie a signé récemment un accord avec l'Union européenne (MEDA II) d'un montant de 40 millions d'euros, consistant à soutenir et à remettre à niveau les PME en leur permettant de mieux maîtriser les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC). La PME étant le moteur du développement durable, les pouvoirs publics entendent, donc, apporter toute l'aide nécessaire et l'assistance à ces milliers d'entreprises confrontées à un véritable problème de financement et d'organisation.