Plusieurs ossements humains ont été découverts, durant la soirée de dimanche dernier, au niveau du Centre culturel français (CCF) à Alger, et ce, au cours de travaux de restauration engagés dans la cour de cette institution. En effet, dans une déclaration au Midi libre, le directeur du centre, M. Patrick Michel, a affirmé que « plusieurs ossements humains ont été découverts dans trois endroits différents de la cour, à une profondeur d‘un mètre». Ces restes de squelettes humains ont été découverts par des manœuvres chargés d‘effectuer des travaux de rénovation de la cour. Toujours selon M. Michel, le nombre d‘ossement mis au jour reste inconnu jusqu‘ici. Pour ce qui concerne la période probable de ce charnier, on a appris que le premier constat effectué par la police scientifique algérienne dépêchée sur les lieux durant la matinée d‘hier, ces ossements pourraient remonter à une époque lointaine. Cela dit, le rapport global déterminant l‘état des lieux sera connu demain. Pour l‘heure, les ossements font l‘objet d‘examens effectués par la police scientifique. Du côté de cette dernière, nos efforts pour avoir plus d‘informations sur ce charnier se sont avérés vains. Des témoignages recueillis sur place soutiennent que la police scientifique aurait soustrait des ossements de quelque huit corps humains à l‘intérieur du site en question. L‘on n‘exclut pas de nouvelles découvertes et des fouilles plus profondes pourraient être ordonnées par les autorités judiciaires. L‘on parle déjà du sous-sol qui sera passé au peigne fin. Par ailleurs, il est à souligner que le Centre culturel français est une battisse construite du temps de la colonisation française. Celle-ci représentait à cette époque une annexe de la préfecture d‘Alger (le siège de la wilaya actuellement). De ce fait, selon certains spécialistes avisés, la supposition portant sur l‘éventualité que ce charnier pourrait dater de l‘époque coloniale et contenir des ossements d‘Algériens torturés, assassinés, puis enterrés dans des fosses communes n‘est pas à exclure, mais l‘enquête en cours jettera la lumière sur cet état de fait. Plusieurs ossements humains ont été découverts, durant la soirée de dimanche dernier, au niveau du Centre culturel français (CCF) à Alger, et ce, au cours de travaux de restauration engagés dans la cour de cette institution. En effet, dans une déclaration au Midi libre, le directeur du centre, M. Patrick Michel, a affirmé que « plusieurs ossements humains ont été découverts dans trois endroits différents de la cour, à une profondeur d‘un mètre». Ces restes de squelettes humains ont été découverts par des manœuvres chargés d‘effectuer des travaux de rénovation de la cour. Toujours selon M. Michel, le nombre d‘ossement mis au jour reste inconnu jusqu‘ici. Pour ce qui concerne la période probable de ce charnier, on a appris que le premier constat effectué par la police scientifique algérienne dépêchée sur les lieux durant la matinée d‘hier, ces ossements pourraient remonter à une époque lointaine. Cela dit, le rapport global déterminant l‘état des lieux sera connu demain. Pour l‘heure, les ossements font l‘objet d‘examens effectués par la police scientifique. Du côté de cette dernière, nos efforts pour avoir plus d‘informations sur ce charnier se sont avérés vains. Des témoignages recueillis sur place soutiennent que la police scientifique aurait soustrait des ossements de quelque huit corps humains à l‘intérieur du site en question. L‘on n‘exclut pas de nouvelles découvertes et des fouilles plus profondes pourraient être ordonnées par les autorités judiciaires. L‘on parle déjà du sous-sol qui sera passé au peigne fin. Par ailleurs, il est à souligner que le Centre culturel français est une battisse construite du temps de la colonisation française. Celle-ci représentait à cette époque une annexe de la préfecture d‘Alger (le siège de la wilaya actuellement). De ce fait, selon certains spécialistes avisés, la supposition portant sur l‘éventualité que ce charnier pourrait dater de l‘époque coloniale et contenir des ossements d‘Algériens torturés, assassinés, puis enterrés dans des fosses communes n‘est pas à exclure, mais l‘enquête en cours jettera la lumière sur cet état de fait.