A la saison des roses et du jazz, la capitale du malouf reçoit un artiste-peintre passionné de jazz : Philippe Rochet. Connu à l'échelle internationale, l'artiste français fait partie des peintres qui transfèrent sur leur palette la musique noire américaine devenue planétaire. Amoureux fou des accords complexes, des cuivres et des impros, Philippe Rochet est invité au festival de Constantine pour la première fois. Il va y accomplir son miracle quotidien : croquer en direct les artistes qui se produisent pour offrir au festival de ces flamboyantes affiches New Orléans, dont il a le secret. Avec la vélocité du photographe et la magie de l'artiste peintre, Philipe Rochet pérennise le Festival international de Constantine par ses œuvres de haute facture. Parallèlement aux spectacles nocturnes et diurnes, une exposition d'une trentaine d'œuvres de l'artiste est ouverte au public constantinois. Trios, Quartettes, Big bands, rien de ce qui swingue n'échappe à son regard. Remplissant son carnet de notes d'esquisses au fusain tracées en direct, il passe ensuite à de plus grands formats réalisés à la gouache, à l'huile ou à l'acrylique. Ancien élève des beaux-arts de Nantes en déco et architecture, il a été architecte d'intérieur pendant 30 ans. Il concilie ainsi depuis treize ans les deux passions de sa vie : la peinture et le jazz. Branché en permanence, l'artiste écoute sa musique de prédilection en quadriphonie dans son salon et accompagne tous les festivals de la terre de son pinceau plein d'humour et de fantaisie. Bleue et luminescente, l'affiche du festival, création collective de l'équipe de Dimajazz, a été du goût de l'artiste selon les déclarations du commissaire au festival M. Zoheir Bouzid. «Sa musique est comme une toile d'araignée tissée avec les matières sonores les plus mystérieuses.» écrivait le peintre surréaliste Jorge Camacho au sujet du pianiste Thelonious Monk. C'est à cette toile immatérielle larguée autour du Vieux rocher numide que Philippe Rocher va s'arrimer tout au long du festival. A la saison des roses et du jazz, la capitale du malouf reçoit un artiste-peintre passionné de jazz : Philippe Rochet. Connu à l'échelle internationale, l'artiste français fait partie des peintres qui transfèrent sur leur palette la musique noire américaine devenue planétaire. Amoureux fou des accords complexes, des cuivres et des impros, Philippe Rochet est invité au festival de Constantine pour la première fois. Il va y accomplir son miracle quotidien : croquer en direct les artistes qui se produisent pour offrir au festival de ces flamboyantes affiches New Orléans, dont il a le secret. Avec la vélocité du photographe et la magie de l'artiste peintre, Philipe Rochet pérennise le Festival international de Constantine par ses œuvres de haute facture. Parallèlement aux spectacles nocturnes et diurnes, une exposition d'une trentaine d'œuvres de l'artiste est ouverte au public constantinois. Trios, Quartettes, Big bands, rien de ce qui swingue n'échappe à son regard. Remplissant son carnet de notes d'esquisses au fusain tracées en direct, il passe ensuite à de plus grands formats réalisés à la gouache, à l'huile ou à l'acrylique. Ancien élève des beaux-arts de Nantes en déco et architecture, il a été architecte d'intérieur pendant 30 ans. Il concilie ainsi depuis treize ans les deux passions de sa vie : la peinture et le jazz. Branché en permanence, l'artiste écoute sa musique de prédilection en quadriphonie dans son salon et accompagne tous les festivals de la terre de son pinceau plein d'humour et de fantaisie. Bleue et luminescente, l'affiche du festival, création collective de l'équipe de Dimajazz, a été du goût de l'artiste selon les déclarations du commissaire au festival M. Zoheir Bouzid. «Sa musique est comme une toile d'araignée tissée avec les matières sonores les plus mystérieuses.» écrivait le peintre surréaliste Jorge Camacho au sujet du pianiste Thelonious Monk. C'est à cette toile immatérielle larguée autour du Vieux rocher numide que Philippe Rocher va s'arrimer tout au long du festival.