Le FLN "réaffirme son soutien indéfectible et inconditionnel aux questions de décolonisation dans le monde, au premier rang desquelles figure le Sahara Occidental". Le FLN "réaffirme son soutien indéfectible et inconditionnel aux questions de décolonisation dans le monde, au premier rang desquelles figure le Sahara Occidental". Décidément, la célébration du 35e anniversaire de la naissance du Front Polisario a fourni à plusieurs grands partis politiques africains, héritiers des mouvements de libération du continent, l'opportunité d'appuyer haut et fort la cause et le combat pour la liberté du peuple sahraoui. De ce fait, le FLN d'Algérie, l'ANC d'Afrique du Sud, le MPLA d'Angola, la SWAPO de Namibie, le PAIGC de Guinée-Bissau et le Chama Cha Mapinduzi de Tanzanie ont tous envoyé des délégations à Tifariti, dans les territoires sahraouis libérés, où est célébré depuis mardi le 35e anniversaire du Front Polisario. A cette occasion, Le FLN "réaffirme son soutien indéfectible et inconditionnel aux questions de décolonisation dans le monde, au premier rang desquelles figure le Sahara Occidental", a déclaré le député Tayeb Houari, président du groupe parlementaire d'amitié algéro-sahraoui. Pour le représentant algérien, le peuple sahraoui "a prouvé sa bonne volonté pour la paix, depuis la proclamation du cessez-le-feu" avec le Maroc en septembre 1991 "jusqu'à ce jour et la poursuite des négociations", a-t-il affirmé. Le Sahara Occidental "est le seul pays africain où la décolonisation n'a pas été achevée", a relevé pour sa part le vice-ministre des Affaires étrangères de Tanzanie, M. Seif Ali Idi, représentant du président Jakaya Kikwete, président en exercice de l'Union africaine. De son côté, le parlementaire sud-africain Patrick Sibande, représentant de l'ANC, le célèbre mouvement mené par Nelson Mandela contre le régime ségrégationniste d'apartheid, a soutenu que le peuple sahraoui a un "droit inaliénable à l'autodétermination". Il a, en outre, ajouté que le mur de séparation marocain au Sahara Occidental ravivait en lui "le souvenir douloureux de l'Apartheid et doit être démantelé". Force est de constater aussi que le soutien de l'angola au Front Polisario est "indéfectible", a affirmé quant à lui Paulo George, un "historique" du MPLA angolais et représentant du président José Eduardo Dos Santos. Les territoires sahraouis libérés "nous font rappeler notre propre lutte contre le colonialisme. Nous comprenons les raisons de votre lutte et exigeons l'application des résolutions du Conseil de sécurité qui consacrent le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination", a-t-il souligné également. Par ailleurs, ces résolutions ont un "caractère obligatoire", a fait remarquer M. George, rappelant qu'"après seize ans d'existence, la Minurso (Mission de l'Onu pour l'organisation d'un référendum au Sahara Occidental) n'a toujours pas achevé son mandat et organisé la consultation populaire". Enfin, le représentant du Front populaire de libération de la Palestine, Salah Mohamed Salah, a comparé la lutte du peuple sahraoui à celle des Palestiniens, assimilant le colonialisme marocain au Sahara Occidental à l'occupation israélienne. "Le cours inexorable de l'histoire consacrera la victoire des peuples palestinien et sahraoui", a-t-il affirmé. M. Salah a déploré, en dernier lieu, le manque de soutien arabe au peuple sahraoui, "qui constitue une partie intégrante de la Nation arabe". Décidément, la célébration du 35e anniversaire de la naissance du Front Polisario a fourni à plusieurs grands partis politiques africains, héritiers des mouvements de libération du continent, l'opportunité d'appuyer haut et fort la cause et le combat pour la liberté du peuple sahraoui. De ce fait, le FLN d'Algérie, l'ANC d'Afrique du Sud, le MPLA d'Angola, la SWAPO de Namibie, le PAIGC de Guinée-Bissau et le Chama Cha Mapinduzi de Tanzanie ont tous envoyé des délégations à Tifariti, dans les territoires sahraouis libérés, où est célébré depuis mardi le 35e anniversaire du Front Polisario. A cette occasion, Le FLN "réaffirme son soutien indéfectible et inconditionnel aux questions de décolonisation dans le monde, au premier rang desquelles figure le Sahara Occidental", a déclaré le député Tayeb Houari, président du groupe parlementaire d'amitié algéro-sahraoui. Pour le représentant algérien, le peuple sahraoui "a prouvé sa bonne volonté pour la paix, depuis la proclamation du cessez-le-feu" avec le Maroc en septembre 1991 "jusqu'à ce jour et la poursuite des négociations", a-t-il affirmé. Le Sahara Occidental "est le seul pays africain où la décolonisation n'a pas été achevée", a relevé pour sa part le vice-ministre des Affaires étrangères de Tanzanie, M. Seif Ali Idi, représentant du président Jakaya Kikwete, président en exercice de l'Union africaine. De son côté, le parlementaire sud-africain Patrick Sibande, représentant de l'ANC, le célèbre mouvement mené par Nelson Mandela contre le régime ségrégationniste d'apartheid, a soutenu que le peuple sahraoui a un "droit inaliénable à l'autodétermination". Il a, en outre, ajouté que le mur de séparation marocain au Sahara Occidental ravivait en lui "le souvenir douloureux de l'Apartheid et doit être démantelé". Force est de constater aussi que le soutien de l'angola au Front Polisario est "indéfectible", a affirmé quant à lui Paulo George, un "historique" du MPLA angolais et représentant du président José Eduardo Dos Santos. Les territoires sahraouis libérés "nous font rappeler notre propre lutte contre le colonialisme. Nous comprenons les raisons de votre lutte et exigeons l'application des résolutions du Conseil de sécurité qui consacrent le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination", a-t-il souligné également. Par ailleurs, ces résolutions ont un "caractère obligatoire", a fait remarquer M. George, rappelant qu'"après seize ans d'existence, la Minurso (Mission de l'Onu pour l'organisation d'un référendum au Sahara Occidental) n'a toujours pas achevé son mandat et organisé la consultation populaire". Enfin, le représentant du Front populaire de libération de la Palestine, Salah Mohamed Salah, a comparé la lutte du peuple sahraoui à celle des Palestiniens, assimilant le colonialisme marocain au Sahara Occidental à l'occupation israélienne. "Le cours inexorable de l'histoire consacrera la victoire des peuples palestinien et sahraoui", a-t-il affirmé. M. Salah a déploré, en dernier lieu, le manque de soutien arabe au peuple sahraoui, "qui constitue une partie intégrante de la Nation arabe".