Les conséquences de la polyarthrite-rhumatoïde, pathologie rhumatismale détruisant les articulations, sont "dramatiques", ont mis en garde, jeudi à Alger, les participants à la Journée de formation continue et d'information médicale. Le Pr Aïcha Ladjouze-Rezzig, présidente de la Ligue algérienne anti-rhumatismale, initiatrice de cette rencontre, a indiqué que "les conséquences de la polyarthrite-rhumatoïde sont dramatiques pour les os et les articulations notamment", ajoutant qu'elle entraîne des "déformations exigeant des traitements difficiles". "C'est une maladie pouvant toucher, (avec son développement) le cœur, les poumons et les reins", a-t-elle averti, estimant qu'elle est "lourde de conséquences sur le plan pronostic vital". Elle a expliqué que la polyarthrite-rhumatoïde est une des pathologies les "plus fréquentes" observées en rhumatologie, soulignant qu'elle atteint l'homme et surtout la femme à 70-80%. Elle concerne 0,2 à 0,25% de la population en Algérie, selon le Pr Ladjouze-Rezzig. Pour ce qui est des causes de cette pathologie, elle a expliqué qu'en plus de la prédisposition génétique, il y a les facteurs environnementaux d'origine infectieuse, comme les bactéries et les virus qui déclenchent le processus inflammatoire, "difficile à arrêter". Le Pr Ladjouze-Rezzig a recommandé d'établir un diagnostic précoce pour éviter toutes ces conséquences, sachant, a-t-elle ajouté, que c'est une pathologie pouvant concerner aussi bien les jeunes que les personnes âgées. La plus grande fréquence de cette pathologie intervient entre 30 et 50 ans. Insistant sur la dignostic précoce, "pour que le traitement soit efficace", le professeur a relevé qu'actuellement, "nous disposons de plusieurs traitements, d'où l'organisation de cette Journée de formation médicale continue". Elle considère que les médecins généralistes et spécialistes sont "abandonnés" dans les centres de santé, les polycliniques et les hôpitaux, soulignant qu'ils sont "avides de connaissances et éprouvent des difficultés à suivre certaines pathologies, faute de documentation". Constatant qu'il y a de nouveaux médicaments qui "coûtent cher", elle a appelé à "mettre de l'ordre dans la prescription médicale". Les conséquences de la polyarthrite-rhumatoïde, pathologie rhumatismale détruisant les articulations, sont "dramatiques", ont mis en garde, jeudi à Alger, les participants à la Journée de formation continue et d'information médicale. Le Pr Aïcha Ladjouze-Rezzig, présidente de la Ligue algérienne anti-rhumatismale, initiatrice de cette rencontre, a indiqué que "les conséquences de la polyarthrite-rhumatoïde sont dramatiques pour les os et les articulations notamment", ajoutant qu'elle entraîne des "déformations exigeant des traitements difficiles". "C'est une maladie pouvant toucher, (avec son développement) le cœur, les poumons et les reins", a-t-elle averti, estimant qu'elle est "lourde de conséquences sur le plan pronostic vital". Elle a expliqué que la polyarthrite-rhumatoïde est une des pathologies les "plus fréquentes" observées en rhumatologie, soulignant qu'elle atteint l'homme et surtout la femme à 70-80%. Elle concerne 0,2 à 0,25% de la population en Algérie, selon le Pr Ladjouze-Rezzig. Pour ce qui est des causes de cette pathologie, elle a expliqué qu'en plus de la prédisposition génétique, il y a les facteurs environnementaux d'origine infectieuse, comme les bactéries et les virus qui déclenchent le processus inflammatoire, "difficile à arrêter". Le Pr Ladjouze-Rezzig a recommandé d'établir un diagnostic précoce pour éviter toutes ces conséquences, sachant, a-t-elle ajouté, que c'est une pathologie pouvant concerner aussi bien les jeunes que les personnes âgées. La plus grande fréquence de cette pathologie intervient entre 30 et 50 ans. Insistant sur la dignostic précoce, "pour que le traitement soit efficace", le professeur a relevé qu'actuellement, "nous disposons de plusieurs traitements, d'où l'organisation de cette Journée de formation médicale continue". Elle considère que les médecins généralistes et spécialistes sont "abandonnés" dans les centres de santé, les polycliniques et les hôpitaux, soulignant qu'ils sont "avides de connaissances et éprouvent des difficultés à suivre certaines pathologies, faute de documentation". Constatant qu'il y a de nouveaux médicaments qui "coûtent cher", elle a appelé à "mettre de l'ordre dans la prescription médicale".