Le secrétaire général délégué de l'OTAN a réitéré, hier, à Alger le souhait de l'organisation nord-atlantique à développer davantage sa coopération avec l'Algérie. A ce titre l'ambassadeur Claudio Bisogniero, a appelé l'Algérie à définir ses priorités en matière de coopération et de partenariat avec l'alliance nord-atlantique et ce, dans le cadre du dialogue méditerranéen. Le secrétaire général délégué de l'Otan, qui s'exprimait hier au Conseil de la nation lors de l'ouverture des travaux d'un séminaire portant sur «la sécurité par le dialogue : rôle des institutions parlementaires dans l'approfondissement du dialogue méditerranéen», organisée conjointement par le parlement algérien et l'OTAN, a, dans ce cadre, invité l'Algérie à s'engager dans un programme bilatéral de coopération et de partenariat. Il a ainsi souhaité que l'Algérie «s'engage dans cette voie» et emboîte le pas à l'Egypte et Israël, qui ont déjà, a-t-il précisé, «rejoint ce programme personnel». Claudio Bisogniero, dont c'est la première visite en Algérie, n'a pas manqué de vanter les mérites de l'ensemble des programmes mis en place par l'OTAN dans le cadre de sa coopération avec les 7 pays de la rive sud de la Méditerranée et qui ont rejoint le dialogue méditerranéen. L'Algérie a été le dernier pays à avoir rejoint, en 2000, cet espace de dialogue, comme l'a rappelé l'orateur qui a mis en exergue cependant, la visite du président Bouteflika au siège de l'Otan à Bruxelles en 2001, indiquant que c'était la première visite d'un chef d'Etat arabe. Il a révélé que dans le cadre de cette coopération l'OTAN a inclu, dans son programme d'action 2008, 700 outils et instruments «de coopération pratique». Il a aussi invité l'Algérie à conclure un échange de lettres avec l'OTAN, comme l'a déjà fait le Maroc, et ce en vue d'intégrer l'opération Active Endeavour, une opération maritime de lutte contre le terrorisme en méditerranée. Il est revenu par la suite aux différents défis et menaces auxquels font face l'ensemble des pays de la Méditerranée. Des menaces, a-t-il indiqué, qui vont de la lutte contre le terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, ainsi que du changement climatique qui exacerbe la lutte pour les ressources en particulier l'eau, à la mondialisation des échanges… etc. Il dira encore, qu'il existe un lien fort entre la sécurité en Europe et la sécurité dans la région méditerranéenne. D'où son plaidoyer pour le renforcement d'un partenariat stratégique qui intègre aussi bien la dimension militaire que politique. L'Algérie, a soutenu le secrétaire général du ministère des affaires étrangères, Madjid Bouguerra, «accorde toute son importance à la coopération avec l'OTAN dans le cadre du dialogue méditerranéen». De son coté, Mustapha Cheloufi, président de la commission de la défense nationale au conseil de la nation, a aussi abondé dans le sens de l'approfondissement du dialogue mais il ne s'est pas empêché toutefois de remarquer que, quelque part, le dialogue méditerranéen manque encore de lisibilité et de visibilité. Rappelons que ce séminaire, qui verra la participation de nombreuses personnalités, prendra fin aujourd'hui. Le secrétaire général délégué de l'OTAN a réitéré, hier, à Alger le souhait de l'organisation nord-atlantique à développer davantage sa coopération avec l'Algérie. A ce titre l'ambassadeur Claudio Bisogniero, a appelé l'Algérie à définir ses priorités en matière de coopération et de partenariat avec l'alliance nord-atlantique et ce, dans le cadre du dialogue méditerranéen. Le secrétaire général délégué de l'Otan, qui s'exprimait hier au Conseil de la nation lors de l'ouverture des travaux d'un séminaire portant sur «la sécurité par le dialogue : rôle des institutions parlementaires dans l'approfondissement du dialogue méditerranéen», organisée conjointement par le parlement algérien et l'OTAN, a, dans ce cadre, invité l'Algérie à s'engager dans un programme bilatéral de coopération et de partenariat. Il a ainsi souhaité que l'Algérie «s'engage dans cette voie» et emboîte le pas à l'Egypte et Israël, qui ont déjà, a-t-il précisé, «rejoint ce programme personnel». Claudio Bisogniero, dont c'est la première visite en Algérie, n'a pas manqué de vanter les mérites de l'ensemble des programmes mis en place par l'OTAN dans le cadre de sa coopération avec les 7 pays de la rive sud de la Méditerranée et qui ont rejoint le dialogue méditerranéen. L'Algérie a été le dernier pays à avoir rejoint, en 2000, cet espace de dialogue, comme l'a rappelé l'orateur qui a mis en exergue cependant, la visite du président Bouteflika au siège de l'Otan à Bruxelles en 2001, indiquant que c'était la première visite d'un chef d'Etat arabe. Il a révélé que dans le cadre de cette coopération l'OTAN a inclu, dans son programme d'action 2008, 700 outils et instruments «de coopération pratique». Il a aussi invité l'Algérie à conclure un échange de lettres avec l'OTAN, comme l'a déjà fait le Maroc, et ce en vue d'intégrer l'opération Active Endeavour, une opération maritime de lutte contre le terrorisme en méditerranée. Il est revenu par la suite aux différents défis et menaces auxquels font face l'ensemble des pays de la Méditerranée. Des menaces, a-t-il indiqué, qui vont de la lutte contre le terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, ainsi que du changement climatique qui exacerbe la lutte pour les ressources en particulier l'eau, à la mondialisation des échanges… etc. Il dira encore, qu'il existe un lien fort entre la sécurité en Europe et la sécurité dans la région méditerranéenne. D'où son plaidoyer pour le renforcement d'un partenariat stratégique qui intègre aussi bien la dimension militaire que politique. L'Algérie, a soutenu le secrétaire général du ministère des affaires étrangères, Madjid Bouguerra, «accorde toute son importance à la coopération avec l'OTAN dans le cadre du dialogue méditerranéen». De son coté, Mustapha Cheloufi, président de la commission de la défense nationale au conseil de la nation, a aussi abondé dans le sens de l'approfondissement du dialogue mais il ne s'est pas empêché toutefois de remarquer que, quelque part, le dialogue méditerranéen manque encore de lisibilité et de visibilité. Rappelons que ce séminaire, qui verra la participation de nombreuses personnalités, prendra fin aujourd'hui.