Une grande émotion et des témoignages vivants sur la vie du grand réalisateur syrien, Mustapha El Akkad, l'homme qui a marqué le cinéma arabe avec une empreinte en or. Sa sœur, Leila El Akkad, l'actrice syienne, Mouna Wassif, l'acteur syrien Douraid Laham et l'acteur egyptine, Mahmoud Yacine ont raconté, hier, à l'hôtel Sheraton d'Oran, le parcours de ce metteur en scène avec un pincement au cœur à parler de cette personne, connue pour sa modestie, alors qu'elle n'est plus de ce monde et avec joie car Mustapha El Akkad est rentré dans l'histoire par la grande porte. Ses amis ne pouvaient pas retenir leur larmes en n'évoquant que les bons souvenirs de lui. Ce qui a touché le plus le feeling de l'assistance a été la surprise réservée, par les deux acteurs syriens Mouna Wassif et Douraid Laham, à la fin de la conférence et dédiée à ce fils du pays. Mme Leila El Akkad, qui a passé sa vie auprès de son frère dans une même maison et vu grandir ce fils unique dans la famille a fait partager ces souvenirs présents et à aucun moment, le portrait du frère ne s'est détaché de celui du réalisateur. Mustapha El Akkad, dira-t-elle, avait une particularité. A l'intérieur de sa maison, il était le syrien , très conservateur des traditions de son pays. Dans la réalisation des films, Mme Leila témoigne que sa technique est unique et que son frère avait un seul rêve, créer la ville du cinéma arabe. Un rêve qu'il n'a pas pu réaliser puisqu'il est mort assassiné avec sa fille dans un attentat alors qu'il était invité dans un mariage. « Il avait beaucoup d'amis et aimait assister aux mariages. Il ne refusait aucune invitation », dira sa sœur ave émotion pour ce frère qui avait le cinéma dans le sang et qui avait dès son jeune âge une réputation d'homme de cinéma, dans son quartier et dans sa ville natale Aleb. Pour l'anecdote, l'acteur syrien, Douraid Laham raconte qu'il avait invité le réalisateur qui est aussi son ami au mariage de son fils croyant que Mustapha El Akkad, vu ses occupations et ses déplacements, n'allait pas assister à la fête. Mais le jour du mariage, je reçois un coup de téléphone de lui m'annonçant son arrivée. Là, j'ai paniqué et j'ai dit. "Sincèrement, je ne m'attendait pas à ce que tu viennes et je n'ai rien préparé pour te recevoir ». Cette intervention de l'acteur s'est voulue un témoignage de la modestie du metteur en scène et de sa bonté. Douraid Laham lancera ensuite, très peiné, que Mustapha savait allumer une bougie dans les moments de désespoir. Il a quitté son pays pour aller à l'étranger avec un cœur qui battait toujours pour son pays ». A propos du film Er-Rissala, il dira que «ce film était interdit au début dans tous les pays arabe mais il a été autorisé après à l'exception de la Syrie et de l'Egypte. En réalisant ce chef d'œuvre, il a voulu faire participer le plus grand nombre d'acteurs arabes » . Une grande émotion et des témoignages vivants sur la vie du grand réalisateur syrien, Mustapha El Akkad, l'homme qui a marqué le cinéma arabe avec une empreinte en or. Sa sœur, Leila El Akkad, l'actrice syienne, Mouna Wassif, l'acteur syrien Douraid Laham et l'acteur egyptine, Mahmoud Yacine ont raconté, hier, à l'hôtel Sheraton d'Oran, le parcours de ce metteur en scène avec un pincement au cœur à parler de cette personne, connue pour sa modestie, alors qu'elle n'est plus de ce monde et avec joie car Mustapha El Akkad est rentré dans l'histoire par la grande porte. Ses amis ne pouvaient pas retenir leur larmes en n'évoquant que les bons souvenirs de lui. Ce qui a touché le plus le feeling de l'assistance a été la surprise réservée, par les deux acteurs syriens Mouna Wassif et Douraid Laham, à la fin de la conférence et dédiée à ce fils du pays. Mme Leila El Akkad, qui a passé sa vie auprès de son frère dans une même maison et vu grandir ce fils unique dans la famille a fait partager ces souvenirs présents et à aucun moment, le portrait du frère ne s'est détaché de celui du réalisateur. Mustapha El Akkad, dira-t-elle, avait une particularité. A l'intérieur de sa maison, il était le syrien , très conservateur des traditions de son pays. Dans la réalisation des films, Mme Leila témoigne que sa technique est unique et que son frère avait un seul rêve, créer la ville du cinéma arabe. Un rêve qu'il n'a pas pu réaliser puisqu'il est mort assassiné avec sa fille dans un attentat alors qu'il était invité dans un mariage. « Il avait beaucoup d'amis et aimait assister aux mariages. Il ne refusait aucune invitation », dira sa sœur ave émotion pour ce frère qui avait le cinéma dans le sang et qui avait dès son jeune âge une réputation d'homme de cinéma, dans son quartier et dans sa ville natale Aleb. Pour l'anecdote, l'acteur syrien, Douraid Laham raconte qu'il avait invité le réalisateur qui est aussi son ami au mariage de son fils croyant que Mustapha El Akkad, vu ses occupations et ses déplacements, n'allait pas assister à la fête. Mais le jour du mariage, je reçois un coup de téléphone de lui m'annonçant son arrivée. Là, j'ai paniqué et j'ai dit. "Sincèrement, je ne m'attendait pas à ce que tu viennes et je n'ai rien préparé pour te recevoir ». Cette intervention de l'acteur s'est voulue un témoignage de la modestie du metteur en scène et de sa bonté. Douraid Laham lancera ensuite, très peiné, que Mustapha savait allumer une bougie dans les moments de désespoir. Il a quitté son pays pour aller à l'étranger avec un cœur qui battait toujours pour son pays ». A propos du film Er-Rissala, il dira que «ce film était interdit au début dans tous les pays arabe mais il a été autorisé après à l'exception de la Syrie et de l'Egypte. En réalisant ce chef d'œuvre, il a voulu faire participer le plus grand nombre d'acteurs arabes » .