Le nombre des accidents a atteint son pic durant les derniers mois coïncidant avec la saison estivale. Le nombre des accidents a atteint son pic durant les derniers mois coïncidant avec la saison estivale. Le terrorisme routier continue de faucher des milliers de vies humaines dans notre pays. Pas moins de 2.746 personnes ont trouvé la mort et 40.871 autres ont été blessées entre début janvier et le 21 août en cours. Selon le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), Hadj Boutalbi, ce lourd bilan macabre a été causé par 25.856 accidents de la route enregistrés à travers l'ensemble du territoire national. La même source précisera que près de 60% de ces accidents se sont produits en dehors des zones urbaines. 2.279 de cas de décès, indique-t-on en ce sens, ont été recensés dans les zones extra-urbaines. Le nombre des accidents a atteint son pic durant les derniers mois coïncidant avec la saison estivale. A titre indicatif, on avancera que les trois premières semaines du mois d'août en cours ont été meurtrières dans les zones extra-muros contrôlées par la Gendarmerie nationale. Selon un représentant de cette institution, les accidents dans ces zones ont provoqué le décès de 275 individus. Dans le même sillage, le bilan hebdomadaire de la gendarmerie fait état du décès de 93 personnes et 1149 autres blessées, la semaine s'étalant du 20 au 26 août. Des victimes recensées, selon le bilan hebdomadaire de la gendarmerie, dans 578 accidents de la route survenus à travers le territoire national. Un bilan, précisera la gendarmerie qui marque une petite baisse par rapport à la semaine précédente avec -2 morts, -10 blessés et -149 accidents. Cette baisse peut être expliquée par la fin de la saison estivale caractérisée généralement par la diminution de la circulation sur les axes routiers des villes côtières. Le bilan précité indique, en ce sens, que les wilayas d'Oran et de Tipasa viennent en tête avec respectivement 34 et 32 accidents. S'agissant des causes des accidents, on ne cesse de désigner du doigt le facteur humain. Il s'agit en effet, de perte du contrôle du véhicule (92 cas), l'excès de vitesse 85 cas. Des causes auxquelles s'ajoutent la négligence des piétons avec 65 cas, les dépassements dangereux 60 et, enfin, le non-respect de la distance de sécurité était derrière 38 cas des accidents enregistrés la semaine écoulée. Le facteur humain en cause Il faut dire cependant que les causes de cette hécatombe ne s'arrêtent pas là. L'état des routes, la signalisation et l'usage à grande échelle de la pièce détachée contrefaite contribuent sensiblement dans l'aggravation du phénomène des accidents de la route. Cela, sans parler de «la commercialisation» des permis de conduire que des spécialistes n'hésitent pas à classer dans la case de « pratique criminelle. » Il convient de rappeler, enfin, que le terrorisme routier n'a pas été plus clément en 2007. Une année où l'on a enregistré 4.177 décès et 61.139 blessés dans près de 40.000 accidents. Un fait qui place l'Algérie dans la peu reluisante 4e position à l'échelle mondiale, en matière de mortalité routière. Le terrorisme routier continue de faucher des milliers de vies humaines dans notre pays. Pas moins de 2.746 personnes ont trouvé la mort et 40.871 autres ont été blessées entre début janvier et le 21 août en cours. Selon le directeur du Centre national de prévention et de sécurité routière (CNPSR), Hadj Boutalbi, ce lourd bilan macabre a été causé par 25.856 accidents de la route enregistrés à travers l'ensemble du territoire national. La même source précisera que près de 60% de ces accidents se sont produits en dehors des zones urbaines. 2.279 de cas de décès, indique-t-on en ce sens, ont été recensés dans les zones extra-urbaines. Le nombre des accidents a atteint son pic durant les derniers mois coïncidant avec la saison estivale. A titre indicatif, on avancera que les trois premières semaines du mois d'août en cours ont été meurtrières dans les zones extra-muros contrôlées par la Gendarmerie nationale. Selon un représentant de cette institution, les accidents dans ces zones ont provoqué le décès de 275 individus. Dans le même sillage, le bilan hebdomadaire de la gendarmerie fait état du décès de 93 personnes et 1149 autres blessées, la semaine s'étalant du 20 au 26 août. Des victimes recensées, selon le bilan hebdomadaire de la gendarmerie, dans 578 accidents de la route survenus à travers le territoire national. Un bilan, précisera la gendarmerie qui marque une petite baisse par rapport à la semaine précédente avec -2 morts, -10 blessés et -149 accidents. Cette baisse peut être expliquée par la fin de la saison estivale caractérisée généralement par la diminution de la circulation sur les axes routiers des villes côtières. Le bilan précité indique, en ce sens, que les wilayas d'Oran et de Tipasa viennent en tête avec respectivement 34 et 32 accidents. S'agissant des causes des accidents, on ne cesse de désigner du doigt le facteur humain. Il s'agit en effet, de perte du contrôle du véhicule (92 cas), l'excès de vitesse 85 cas. Des causes auxquelles s'ajoutent la négligence des piétons avec 65 cas, les dépassements dangereux 60 et, enfin, le non-respect de la distance de sécurité était derrière 38 cas des accidents enregistrés la semaine écoulée. Le facteur humain en cause Il faut dire cependant que les causes de cette hécatombe ne s'arrêtent pas là. L'état des routes, la signalisation et l'usage à grande échelle de la pièce détachée contrefaite contribuent sensiblement dans l'aggravation du phénomène des accidents de la route. Cela, sans parler de «la commercialisation» des permis de conduire que des spécialistes n'hésitent pas à classer dans la case de « pratique criminelle. » Il convient de rappeler, enfin, que le terrorisme routier n'a pas été plus clément en 2007. Une année où l'on a enregistré 4.177 décès et 61.139 blessés dans près de 40.000 accidents. Un fait qui place l'Algérie dans la peu reluisante 4e position à l'échelle mondiale, en matière de mortalité routière.