Le chef de la diplomatie algérienne a notamment évoqué l'urgence à adopter la Convention générale relative à la lutte contre le terrorisme et ce, pour éviter toute manipulation visant à porter atteinte à la lutte légitime des peuples pour leur libération. Le chef de la diplomatie algérienne a notamment évoqué l'urgence à adopter la Convention générale relative à la lutte contre le terrorisme et ce, pour éviter toute manipulation visant à porter atteinte à la lutte légitime des peuples pour leur libération. Intervenant dans la soirée de samedi passé devant les chefs d'Etat et de gouvernement rassemblés à New York pour la tenue de la 67e Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci a, au cours d'une longue intervention, tenu à réitérer l'essentiel des positions algériennes bien connues en ce qui concerne les problèmes et conflits majeurs de notre temps. S'agissant de la crise alimentaire mais aussi des conséquences dommageables dues aux changements climatiques, le chef de la diplomatie algérienne a regretté que « ce soit les pays en développement qui continuent de payer le prix fort face aux multiples menaces sur leur stabilité politique et leur cohésion sociale ». Autre chapitre abordé par Medelci, la question de la lutte contre le terrorisme. « Il est important et urgent, a-t-il souligné, d'adopter la Convention générale relative à la lutte contre le terrorisme pour éviter toute disposition ou manipulation qui aurait pour effet de porter atteinte à la lutte légitime des peuples. » L'allusion est ici claire et concerne notamment les luttes de libération nationale palestinienne mais aussi saharaouie. Au reste, et évoquant l'épineuse question du Sahara Occidental, Medelci a rappelé que l'Algérie est toujours fermement attachée au principe du référendum d'autodétermination tel que soutenu par l'ONU et l'ex-OUA, mais aussi contresigné par les deux parties en conflit dans le fameux plan de paix datant pourtant de la fin des années 80. Il a, à cet effet, tenu à rappeler que « pour notre pays, il est de la plus haute importance que les parties assument toutes leurs responsabilités en faisant preuve de volonté » politique aux fins d'offrir le maximum de chances de succès aux négociations ouvertes dans la région de New York et dont le cinquième round se fait toujours attendre. La question palestinienne a également été abordée par le chef de la diplomatie algérienne. Le droit légitime des palestiniens à un Etat a été rappelé par Medelci. Toute la satisfaction algérienne a été aussi exprimée par Medelci pour les heureux dénouements politiques survenus au Liban tous ces derniers mois. Enfin, et s'agissant du Zimbabwe, Mourad Medelci a rappelé que la position algérienne pour le dénouement de la crise ouverte en mars dernier entre le président Robert Mugabe et son principal rival, Morgan Tsvangarai, est la même que celle adoptée par l 'Union africaine. M. B. Intervenant dans la soirée de samedi passé devant les chefs d'Etat et de gouvernement rassemblés à New York pour la tenue de la 67e Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci a, au cours d'une longue intervention, tenu à réitérer l'essentiel des positions algériennes bien connues en ce qui concerne les problèmes et conflits majeurs de notre temps. S'agissant de la crise alimentaire mais aussi des conséquences dommageables dues aux changements climatiques, le chef de la diplomatie algérienne a regretté que « ce soit les pays en développement qui continuent de payer le prix fort face aux multiples menaces sur leur stabilité politique et leur cohésion sociale ». Autre chapitre abordé par Medelci, la question de la lutte contre le terrorisme. « Il est important et urgent, a-t-il souligné, d'adopter la Convention générale relative à la lutte contre le terrorisme pour éviter toute disposition ou manipulation qui aurait pour effet de porter atteinte à la lutte légitime des peuples. » L'allusion est ici claire et concerne notamment les luttes de libération nationale palestinienne mais aussi saharaouie. Au reste, et évoquant l'épineuse question du Sahara Occidental, Medelci a rappelé que l'Algérie est toujours fermement attachée au principe du référendum d'autodétermination tel que soutenu par l'ONU et l'ex-OUA, mais aussi contresigné par les deux parties en conflit dans le fameux plan de paix datant pourtant de la fin des années 80. Il a, à cet effet, tenu à rappeler que « pour notre pays, il est de la plus haute importance que les parties assument toutes leurs responsabilités en faisant preuve de volonté » politique aux fins d'offrir le maximum de chances de succès aux négociations ouvertes dans la région de New York et dont le cinquième round se fait toujours attendre. La question palestinienne a également été abordée par le chef de la diplomatie algérienne. Le droit légitime des palestiniens à un Etat a été rappelé par Medelci. Toute la satisfaction algérienne a été aussi exprimée par Medelci pour les heureux dénouements politiques survenus au Liban tous ces derniers mois. Enfin, et s'agissant du Zimbabwe, Mourad Medelci a rappelé que la position algérienne pour le dénouement de la crise ouverte en mars dernier entre le président Robert Mugabe et son principal rival, Morgan Tsvangarai, est la même que celle adoptée par l 'Union africaine. M. B.