Pratiquée par les trois opérateurs de téléphonie mobile en Algérie, la nouvelle tendance du rechargement de crédits connaît un grand succès au regard des millions d'Algériens qui l'utilisent. Elle s'appelle « flexy » pour Djezzy, « arsselli» pour Mobilis, et « storm » pour Nedjma. Cette tendance détrône complètement les cartes prépayées qui peuvent être parfois moins accessibles aux consommateurs par rapport à leur prix ou leurs disponibilité. Désormais, le client n'est plus conditionné par l'achat de cartes de recharge, puisqu'il crée avec cette formule son propre rythme de consommation. « Le flexy est une bonne invention. Avec la cherté de la vie, on peut mieux gérer son budget !», nous confie un jeune homme rencontré dans un KMS (kiosque multi-services). Les gérants des taxiphones sont, sans cesse, sollicités pour effectuer des flexy. «Les gens demande, souvent à effectuer le flexy et rarement des cartes prépayées», nous déclare un propriétaire d'un taxiphone a Chevalley. Ce dernier nous a affirmé même qu'il fait un meilleur chiffre d'affaires avec le flexy. De leur côté, les trois opérateurs de téléphonie mobile ont confirmé que l'option du rechargement électronique est très demandée auprès de leurs abonnés respectifs. Selon M.Mohamed Salah Daâs, directeur de la marque et de la communication, les cartes prépayées et le téléchargement électronique sont deux services qui cohabitent. «Mais l'avantage des téléchargements électroniques c'est qu'ils ciblent les petites bourses», souligne-t-il. Le premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, Mobilis, compte 50.000 points de vente agréés, la plupart détiennent ces puces à option, arselli. Au début, il fallait acheter une carte de recharge à 500 DA minimum et beaucoup ne pouvaient se permettre ce luxe, ce qui a donné naissance au service «flexy» par l'opérateur Djezzy, puis par les deux autres. « Les gens ont tendance à se dépanner entre eux, que se soit entre membres de famille ou amis. C'est le secret de la réussite du flexy » nous confie M.Grine Hamid, directeur des medias d'OTA. Djezzy compte, actuellement, 15.000 points de vente agréés à travers tout le territoire national, a-t-il ajouté. Avec ce service de recharge disponible instantanément partout, chez les taxiphones, chez les vendeurs et les réparateurs de portables, les clients peuvent recharger des unités à partir de 40 à 50 DA. De son côté, M. Ramdane Djazairi, directeur des relations publiques auprès de l'opérateur étoilé Nedjma a annoncé que « nous concernant, storm est un service récent mais très sollicité», avant d'ajouter que « cette option connaît une consommation modulable dans toutes les wilayas du pays». Sur un autre chapitre, ce mode de rechargement est un service gratuit, affirment les responsables de la communication des opérateurs. Le rechargement est gratuit dans tous nos points de vente agréés, insistent-ils. Mais pour les nombreux clients, le gérant leur prélève 10 DA à chaque opération. «Cette pratique est non réglementaire puisqu'ils reçoivent une commission avec l'opérateur», nous déclare le responsable de communication chez Mobilis. Contrairement aux pratiques courantes, les 10 DA exigés par certains revendeurs n'ont pas lieu d'être, puisque ces derniers bénéficient d'une commission qui couvre leurs frais. Avec le succès que connaît cette forme de rechargement, les trois opérateurs de téléphonie mobile en Algérie ont décidé de développer ce service. Ces derniers n'hésitent pas à multiplier les offres bonus sur le rechargement électronique. De nouvelles promotions permettent jusqu'à doubler carrément le crédit de l'abonné sur un simple rechargement de son compte. A.B. Pratiquée par les trois opérateurs de téléphonie mobile en Algérie, la nouvelle tendance du rechargement de crédits connaît un grand succès au regard des millions d'Algériens qui l'utilisent. Elle s'appelle « flexy » pour Djezzy, « arsselli» pour Mobilis, et « storm » pour Nedjma. Cette tendance détrône complètement les cartes prépayées qui peuvent être parfois moins accessibles aux consommateurs par rapport à leur prix ou leurs disponibilité. Désormais, le client n'est plus conditionné par l'achat de cartes de recharge, puisqu'il crée avec cette formule son propre rythme de consommation. « Le flexy est une bonne invention. Avec la cherté de la vie, on peut mieux gérer son budget !», nous confie un jeune homme rencontré dans un KMS (kiosque multi-services). Les gérants des taxiphones sont, sans cesse, sollicités pour effectuer des flexy. «Les gens demande, souvent à effectuer le flexy et rarement des cartes prépayées», nous déclare un propriétaire d'un taxiphone a Chevalley. Ce dernier nous a affirmé même qu'il fait un meilleur chiffre d'affaires avec le flexy. De leur côté, les trois opérateurs de téléphonie mobile ont confirmé que l'option du rechargement électronique est très demandée auprès de leurs abonnés respectifs. Selon M.Mohamed Salah Daâs, directeur de la marque et de la communication, les cartes prépayées et le téléchargement électronique sont deux services qui cohabitent. «Mais l'avantage des téléchargements électroniques c'est qu'ils ciblent les petites bourses», souligne-t-il. Le premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, Mobilis, compte 50.000 points de vente agréés, la plupart détiennent ces puces à option, arselli. Au début, il fallait acheter une carte de recharge à 500 DA minimum et beaucoup ne pouvaient se permettre ce luxe, ce qui a donné naissance au service «flexy» par l'opérateur Djezzy, puis par les deux autres. « Les gens ont tendance à se dépanner entre eux, que se soit entre membres de famille ou amis. C'est le secret de la réussite du flexy » nous confie M.Grine Hamid, directeur des medias d'OTA. Djezzy compte, actuellement, 15.000 points de vente agréés à travers tout le territoire national, a-t-il ajouté. Avec ce service de recharge disponible instantanément partout, chez les taxiphones, chez les vendeurs et les réparateurs de portables, les clients peuvent recharger des unités à partir de 40 à 50 DA. De son côté, M. Ramdane Djazairi, directeur des relations publiques auprès de l'opérateur étoilé Nedjma a annoncé que « nous concernant, storm est un service récent mais très sollicité», avant d'ajouter que « cette option connaît une consommation modulable dans toutes les wilayas du pays». Sur un autre chapitre, ce mode de rechargement est un service gratuit, affirment les responsables de la communication des opérateurs. Le rechargement est gratuit dans tous nos points de vente agréés, insistent-ils. Mais pour les nombreux clients, le gérant leur prélève 10 DA à chaque opération. «Cette pratique est non réglementaire puisqu'ils reçoivent une commission avec l'opérateur», nous déclare le responsable de communication chez Mobilis. Contrairement aux pratiques courantes, les 10 DA exigés par certains revendeurs n'ont pas lieu d'être, puisque ces derniers bénéficient d'une commission qui couvre leurs frais. Avec le succès que connaît cette forme de rechargement, les trois opérateurs de téléphonie mobile en Algérie ont décidé de développer ce service. Ces derniers n'hésitent pas à multiplier les offres bonus sur le rechargement électronique. De nouvelles promotions permettent jusqu'à doubler carrément le crédit de l'abonné sur un simple rechargement de son compte. A.B.