Le premier responsable du groupe pharmaceutique public a affirmé que ces décisions permettront, à coup sûr, aux investisseurs nationaux de fournir plus d'efforts et d'élargir, par conséquent, leur champ d'action pour assurer la disponibilité des différents produits pharmaceutiques sur le marché national. Le premier responsable du groupe pharmaceutique public a affirmé que ces décisions permettront, à coup sûr, aux investisseurs nationaux de fournir plus d'efforts et d'élargir, par conséquent, leur champ d'action pour assurer la disponibilité des différents produits pharmaceutiques sur le marché national. «Les cinq nouvelles mesures de soutien à la production nationale de médicaments devront réjouir tous les opérateurs nationaux exerçant dans la production du médicament. Elles sont ambitieuses et avantageuses pour l'économie nationale», a déclaré le directeur général du groupe Saïdal, M. Rachid Zaouani. Dans une déclaration au Midi Libre, le premier responsable du groupe pharmaceutique public a affirmé que ces décisions permettront, à coup sûr, aux investisseurs nationaux de fournir plus d'efforts et d'élargir, par conséquent, leur champ d'action pour assurer la disponibilité des différents produits pharmaceutiques sur le marché national. Ces décisions, notera M. Zaouani Rachid, assureront, également, la réduction de la facture des importations, qui se chiffre à plus de 1,7 milliard de dollars annuellement. Aussi, ajoutera-t-il, «les nouvelles orientations décidées ce mardi par le gouvernement pour réguler le marché du médicament donneront plus d'assurance aux investisseurs de produire des quantités de médicaments en mesure de satisfaire la demande nationale». Rappelons que lesdites mesures consistent en l'interdiction de l'importation des médicaments de même type que ceux fabriqués localement aux fins d'encourager la production nationale du médicament générique. Les importateurs ne doivent donc pas se suffire de la seule activité d'importer des médicaments, mais ils sont dans l'obligation d'investir dans le créneau après deux ans d'activité. Notons dans cette optique que la liste des médicaments soumis au système de tarif de référence a été élargie à plus de 180 nouveaux médicaments, portant ainsi le nombre total de dénominations communes internationales (DCI) remboursables sur la base d'un tarif de référence à près de 300 sur les 1.199, soit près de 2.100 marques sur près de 3.500 au total. Soulignons, également, que ces mesures vont dans le sens des réformes initiées dans le secteur. En outre, le directeur du marketing du groupe Saïdal a assuré, pour sa part, que la production de l'insuline est largement en mesure de satisfaire la demande nationale, voire d'exporter de l'insuline à l'étranger. Il précisera que le groupe Saïdal entamera, à partir du mois de mars 2009, une extension de son usine d'insuline, afin de permettre au groupe de mettre sur le marché national une nouvelle forme beaucoup plus pratique pour les malades. Cet investissement de 800 millions de dinars, indique D. Naïli, permettra à Saïdal de fournir quelque 2,5 millions de boîtes de 5 stylos de 3 ml pour ses trois formes : le Comb, le Basal et le Rapid. Signalons aussi que le groupe Saïdal n'a pu, pour le moment, optimiser ses capacités de production d'insuline, qui sont limitées actuellement à 2,7 millions d'UV. Cet état de fait est dû, rappelons-le, en premier lieu aux difficultés rencontrées au cours de la commercialisation de son produit sur le marché national face à la concurrence que leur livrent les importateurs de l'insuline. Pour rappel, le groupe Saïdal a inauguré, en avril 2006, son usine ultramoderne, qui produit déjà de l'insuline en flacon avec des capacités installées de 5 millions d'unités (UV). K. L. C. «Les cinq nouvelles mesures de soutien à la production nationale de médicaments devront réjouir tous les opérateurs nationaux exerçant dans la production du médicament. Elles sont ambitieuses et avantageuses pour l'économie nationale», a déclaré le directeur général du groupe Saïdal, M. Rachid Zaouani. Dans une déclaration au Midi Libre, le premier responsable du groupe pharmaceutique public a affirmé que ces décisions permettront, à coup sûr, aux investisseurs nationaux de fournir plus d'efforts et d'élargir, par conséquent, leur champ d'action pour assurer la disponibilité des différents produits pharmaceutiques sur le marché national. Ces décisions, notera M. Zaouani Rachid, assureront, également, la réduction de la facture des importations, qui se chiffre à plus de 1,7 milliard de dollars annuellement. Aussi, ajoutera-t-il, «les nouvelles orientations décidées ce mardi par le gouvernement pour réguler le marché du médicament donneront plus d'assurance aux investisseurs de produire des quantités de médicaments en mesure de satisfaire la demande nationale». Rappelons que lesdites mesures consistent en l'interdiction de l'importation des médicaments de même type que ceux fabriqués localement aux fins d'encourager la production nationale du médicament générique. Les importateurs ne doivent donc pas se suffire de la seule activité d'importer des médicaments, mais ils sont dans l'obligation d'investir dans le créneau après deux ans d'activité. Notons dans cette optique que la liste des médicaments soumis au système de tarif de référence a été élargie à plus de 180 nouveaux médicaments, portant ainsi le nombre total de dénominations communes internationales (DCI) remboursables sur la base d'un tarif de référence à près de 300 sur les 1.199, soit près de 2.100 marques sur près de 3.500 au total. Soulignons, également, que ces mesures vont dans le sens des réformes initiées dans le secteur. En outre, le directeur du marketing du groupe Saïdal a assuré, pour sa part, que la production de l'insuline est largement en mesure de satisfaire la demande nationale, voire d'exporter de l'insuline à l'étranger. Il précisera que le groupe Saïdal entamera, à partir du mois de mars 2009, une extension de son usine d'insuline, afin de permettre au groupe de mettre sur le marché national une nouvelle forme beaucoup plus pratique pour les malades. Cet investissement de 800 millions de dinars, indique D. Naïli, permettra à Saïdal de fournir quelque 2,5 millions de boîtes de 5 stylos de 3 ml pour ses trois formes : le Comb, le Basal et le Rapid. Signalons aussi que le groupe Saïdal n'a pu, pour le moment, optimiser ses capacités de production d'insuline, qui sont limitées actuellement à 2,7 millions d'UV. Cet état de fait est dû, rappelons-le, en premier lieu aux difficultés rencontrées au cours de la commercialisation de son produit sur le marché national face à la concurrence que leur livrent les importateurs de l'insuline. Pour rappel, le groupe Saïdal a inauguré, en avril 2006, son usine ultramoderne, qui produit déjà de l'insuline en flacon avec des capacités installées de 5 millions d'unités (UV). K. L. C.