La maladie constitue un véritable problème de santé publique, tant par la proportion croissante des personnes concernées que par ses répercussions sur la qualité de vie des patients. Trois fois plus touchées que les hommes, les femmes, souvent jeunes, paient un lourd tribut. La maladie constitue un véritable problème de santé publique, tant par la proportion croissante des personnes concernées que par ses répercussions sur la qualité de vie des patients. Trois fois plus touchées que les hommes, les femmes, souvent jeunes, paient un lourd tribut. La polyarthrite rhumatoïde est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires. Elle se caractérise par une atteinte inflammatoire des articulations et des tendons entraînant un gonflement (oedème) des articulations qui sont chaudes, douloureuses surtout la nuit. Une prédominance féminine Les articulations les plus touchées sont celles des mains et des pieds, et ce de façon bilatérale et de manière plus ou moins symétrique dans près de deux tiers des cas. La polyarthrite rhumatoïde touche dans la population générale entre une personne sur cent et une personne sur mille. Et les femmes sont trois fois plus touchées que les hommes. Il est difficile aujourd'hui d'expliquer ce phénomène. Le plus souvent, la maladie survient autour de la cinquantaine, mais peut également toucher de jeunes gens et même des enfants. Chez les personnes âgées, le début de la maladie est en général plus brutal et plus inflammatoire, influant sur l'état de santé général. S. A. La polyarthrite rhumatoïde est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires. Elle se caractérise par une atteinte inflammatoire des articulations et des tendons entraînant un gonflement (oedème) des articulations qui sont chaudes, douloureuses surtout la nuit. Une prédominance féminine Les articulations les plus touchées sont celles des mains et des pieds, et ce de façon bilatérale et de manière plus ou moins symétrique dans près de deux tiers des cas. La polyarthrite rhumatoïde touche dans la population générale entre une personne sur cent et une personne sur mille. Et les femmes sont trois fois plus touchées que les hommes. Il est difficile aujourd'hui d'expliquer ce phénomène. Le plus souvent, la maladie survient autour de la cinquantaine, mais peut également toucher de jeunes gens et même des enfants. Chez les personnes âgées, le début de la maladie est en général plus brutal et plus inflammatoire, influant sur l'état de santé général. S. A.