Le Dr Mohamed Hadef, président du Mouvement national d'espérance (MNE) est depuis hier, officiellement, candidat à la candidature pour la présidentielle d'avril 2009. Dans une conférence de presse qu'il a animée, hier, à l'hôtel Safir (Alger), le premier responsable du MNE qui se qualifie comme étant « un homme libre qui aime la fiabilité et la loyauté des gens» lance un appel au président de la République pour « garantir l'accès à la candidature » à la présidentielle aux candidats qui le désirent. Le Dr Hadef explique que cela signifie «avoir le maximum de formulaires pour passer le 1er cap du processus de signatures». Il voit mal un attroupement de gens devant les mairies. En outre, il demande au chef de l'Etat de garantir la transparence et une saine concurrence entre les candidats à la magistrature suprême du pays. Il souhaite également qu'« il y ait des débats de précampagne entre les candidats sous des thèmes enrichissants et valorisants » pour l' élection présidentielle. Le leader du MNE approuve non seulement l'arrivée d'observateurs étrangers, mais souhaite que « leur mission soit élargie, contrôlée et fiable». A ceux qui avancent le concept de souveraineté nationale pour rejeter la venue des observateurs étrangers, le Dr Hadef avance que « dire cela, c'est n'avoir rien compris au concept de souveraineté nationale ». Il reste que la question d'inciter les Algériens à aller voter taraude l'esprit de notre politicologue. C'est la grande question, affirme-t-il, s'interrogeant « comment créer une dynamique de confiance au sein de la population ? ». Pour lui « c'est une affaire éminemment politique». Il faut, dit-il, « une offre politique très élargie, approfondie (nombreux candidats). Si nous suivons la sociologie politique, il assure qu' « il est nécessaire de réunir deux conditions». La première, selon lui, c'est de lancer une campagne de sensibilisation civique et la deuxième faire une précampagne avec de grands débats pour inciter et impliquer les gens autour de cette présidentielle. Concernant la fraude électorale, le leader du MNE estime qu' « il pourrait y avoir et elle est inévitable dans une certaine mesure» et dénonce comme une première fraude le fait qu'il y a «une phase préliminaire administrative». S. B. Le Dr Mohamed Hadef, président du Mouvement national d'espérance (MNE) est depuis hier, officiellement, candidat à la candidature pour la présidentielle d'avril 2009. Dans une conférence de presse qu'il a animée, hier, à l'hôtel Safir (Alger), le premier responsable du MNE qui se qualifie comme étant « un homme libre qui aime la fiabilité et la loyauté des gens» lance un appel au président de la République pour « garantir l'accès à la candidature » à la présidentielle aux candidats qui le désirent. Le Dr Hadef explique que cela signifie «avoir le maximum de formulaires pour passer le 1er cap du processus de signatures». Il voit mal un attroupement de gens devant les mairies. En outre, il demande au chef de l'Etat de garantir la transparence et une saine concurrence entre les candidats à la magistrature suprême du pays. Il souhaite également qu'« il y ait des débats de précampagne entre les candidats sous des thèmes enrichissants et valorisants » pour l' élection présidentielle. Le leader du MNE approuve non seulement l'arrivée d'observateurs étrangers, mais souhaite que « leur mission soit élargie, contrôlée et fiable». A ceux qui avancent le concept de souveraineté nationale pour rejeter la venue des observateurs étrangers, le Dr Hadef avance que « dire cela, c'est n'avoir rien compris au concept de souveraineté nationale ». Il reste que la question d'inciter les Algériens à aller voter taraude l'esprit de notre politicologue. C'est la grande question, affirme-t-il, s'interrogeant « comment créer une dynamique de confiance au sein de la population ? ». Pour lui « c'est une affaire éminemment politique». Il faut, dit-il, « une offre politique très élargie, approfondie (nombreux candidats). Si nous suivons la sociologie politique, il assure qu' « il est nécessaire de réunir deux conditions». La première, selon lui, c'est de lancer une campagne de sensibilisation civique et la deuxième faire une précampagne avec de grands débats pour inciter et impliquer les gens autour de cette présidentielle. Concernant la fraude électorale, le leader du MNE estime qu' « il pourrait y avoir et elle est inévitable dans une certaine mesure» et dénonce comme une première fraude le fait qu'il y a «une phase préliminaire administrative». S. B.