La facture des remboursements des accidents de la route a atteint les 20 milliards de dinars en 2008, a annoncé M. Amara Latrous, président de l'Union des établissements d'assurance et de réassurance (UEAR) et P-DG de la SAA sur les ondes de la chaîne III. Selon la même source, en 2008, les établissements d'assurance ont solutionné 650.000 dossiers d'accidents de circulation alors que les assurés jugent toujours les délais de traitement trop lents. L'invité de la rédaction de la radio nationale a qualifié ce coût déboursé par les compagnies d'énorme et a plaidé pour la révision à la hausse de l'assurance automobile obligatoire pour que les établissements d'assurance puissent réaliser un équilibre entre les dépenses et les ressources. Et pour un meilleur réajustement de la prime de responsabilité civile obligatoire, M. Latrous juge important une hausse de 40% de son coût sur 2 ans pour compenser les pertes face à l'hécatombe routière qui fait 4.300 morts par an. Reconnaissant le caractère social du régime indemnitaire qui rembourse l'ensemble des victimes, même celles fautives, et qui ne prive pas leurs ayants droit, le P-DG dénonce tout de même le coût excessif des accidents corporels. La facture des remboursements des accidents de la route a atteint les 20 milliards de dinars en 2008, a annoncé M. Amara Latrous, président de l'Union des établissements d'assurance et de réassurance (UEAR) et P-DG de la SAA sur les ondes de la chaîne III. Selon la même source, en 2008, les établissements d'assurance ont solutionné 650.000 dossiers d'accidents de circulation alors que les assurés jugent toujours les délais de traitement trop lents. L'invité de la rédaction de la radio nationale a qualifié ce coût déboursé par les compagnies d'énorme et a plaidé pour la révision à la hausse de l'assurance automobile obligatoire pour que les établissements d'assurance puissent réaliser un équilibre entre les dépenses et les ressources. Et pour un meilleur réajustement de la prime de responsabilité civile obligatoire, M. Latrous juge important une hausse de 40% de son coût sur 2 ans pour compenser les pertes face à l'hécatombe routière qui fait 4.300 morts par an. Reconnaissant le caractère social du régime indemnitaire qui rembourse l'ensemble des victimes, même celles fautives, et qui ne prive pas leurs ayants droit, le P-DG dénonce tout de même le coût excessif des accidents corporels.