Une étude américaine a révélé que l'exposition à la lumière artificielle risque d'aggraver le risque du cancer notamment de la prostate, un des facteurs les plus importants de mortalité masculine. L'étude, menée par des chercheurs américains, rendue publique mercredi dans la revue Chronobioloy International, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer célébrée le 4 février de chaque année, précise que les pays ayant les plus hauts niveaux d'illumination artificielle la nuit ont les plus hauts niveaux de cancer de la prostate. Alors que dans les pays de faible exposition lumineuse, le taux est de 66,77 malades pour 100.000 habitants, il est de 30% supérieur pour des pays d'explosion moyenne, et de 80% supérieur pour des pays à forte exposition. Les auteurs de l'étude ont émis l'hypothèse que l'exposition à la lumière artificielle réduit la mélatonine, une hormone régulatrice des rythmes de sommeils, affaiblit le système immunitaire et affecte l'horloge biologique dans la mesure où le corps confond le jour et la nuit. Ils avaient déjà trouvé une corrélation entre le cancer du sein chez la femme et l'exposition à la lumière artificielle. Une étude américaine a révélé que l'exposition à la lumière artificielle risque d'aggraver le risque du cancer notamment de la prostate, un des facteurs les plus importants de mortalité masculine. L'étude, menée par des chercheurs américains, rendue publique mercredi dans la revue Chronobioloy International, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer célébrée le 4 février de chaque année, précise que les pays ayant les plus hauts niveaux d'illumination artificielle la nuit ont les plus hauts niveaux de cancer de la prostate. Alors que dans les pays de faible exposition lumineuse, le taux est de 66,77 malades pour 100.000 habitants, il est de 30% supérieur pour des pays d'explosion moyenne, et de 80% supérieur pour des pays à forte exposition. Les auteurs de l'étude ont émis l'hypothèse que l'exposition à la lumière artificielle réduit la mélatonine, une hormone régulatrice des rythmes de sommeils, affaiblit le système immunitaire et affecte l'horloge biologique dans la mesure où le corps confond le jour et la nuit. Ils avaient déjà trouvé une corrélation entre le cancer du sein chez la femme et l'exposition à la lumière artificielle.