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D'évaluations en reévaluations
Constantine, Aérogare Mohamed-Boudiaf
Publié dans Le Midi Libre le 17 - 03 - 2009

Le montant initial de 44 milliards de centimes a atteint 133 milliards ! La réévaluation des coûts ne s'est pas arrêtée là.
Le montant initial de 44 milliards de centimes a atteint 133 milliards ! La réévaluation des coûts ne s'est pas arrêtée là.
La réception du fameux aérogare de l‘aéroport Mohamed-Boudiaf de Constantine devrait se faire avant la fin de l‘année en cours.«Les gros œuvres sont entièrement achevés. Ce qui reste comme travaux est plutôt artistique », nous confie le DLEP. Selon ce responsable, la réalisation d‘une telle structure est «loin d‘être simple».Il s‘agirait,selon lui,d‘un «ouvrage à envergure internationale.
L‘aspect architectural doit être soigneusement étudié. Des modifications ont été apportées sur les plans avant et durant les travaux»,a-t-il précisé. M.Kouita n‘a pas voulu nous donner de chiffre sur le taux d‘avancement car, justifie-t-il « on n‘est pas en train d‘exécuter un projet ordinaire.
Sur ce chantier on fait de la broderie», affirme ce commis de l‘Etat. Le chiffre des enveloppes financières bouffées par ce projet est vertigineux ! Le montant initial de 44 milliards de centimes a atteint 133 milliards ! La réévaluation des coûts ne s‘est pas arrêtée là. On vient d‘apprendre que les entreprises réalisatrices ont exigé une autre réévaluation avoisinant 36 milliards de centimes et ce pour travaux spécifiques ! Tout cet argent est pour l‘achevement de la façade interne de l‘aérogare. L‘aménagement extérieur est une autre histoire. Les instances concernées doivent verser encore quelque 36 milliards pour aménager les alentours de l‘aérogare et ce sont les services de la Direction des travaux publics qui devraient assurer cette mission indique-t-on.Une enveloppe de plus de 200 milliards de centimes pour la réalisation d‘un simple aérogare paraît absurde, de l‘avis des spécialistes. Et pourtant, les autorités concernées ne semblent pas être préoccupées par ce «détail»... L‘essentiel est d‘achever ce projet qui traîne depuis 2003. Composé de trois blocs, la réalisation de l‘aérogare a fait l‘objet de toutes les convoitises. Des entreprises médiocres et sans qualifications avérées avaient leur mainmise sur le chantier en question pendant plusieurs années. Une source sûre nous indique que «l‘administration avait mis fin à la contribution de quatre entreprises publiques pour défaut de qualification. Actuellement une dizaine d‘entreprises sont sur le chantier».
La réception du fameux aérogare de l‘aéroport Mohamed-Boudiaf de Constantine devrait se faire avant la fin de l‘année en cours.«Les gros œuvres sont entièrement achevés. Ce qui reste comme travaux est plutôt artistique », nous confie le DLEP. Selon ce responsable, la réalisation d‘une telle structure est «loin d‘être simple».Il s‘agirait,selon lui,d‘un «ouvrage à envergure internationale.
L‘aspect architectural doit être soigneusement étudié. Des modifications ont été apportées sur les plans avant et durant les travaux»,a-t-il précisé. M.Kouita n‘a pas voulu nous donner de chiffre sur le taux d‘avancement car, justifie-t-il « on n‘est pas en train d‘exécuter un projet ordinaire.
Sur ce chantier on fait de la broderie», affirme ce commis de l‘Etat. Le chiffre des enveloppes financières bouffées par ce projet est vertigineux ! Le montant initial de 44 milliards de centimes a atteint 133 milliards ! La réévaluation des coûts ne s‘est pas arrêtée là. On vient d‘apprendre que les entreprises réalisatrices ont exigé une autre réévaluation avoisinant 36 milliards de centimes et ce pour travaux spécifiques ! Tout cet argent est pour l‘achevement de la façade interne de l‘aérogare. L‘aménagement extérieur est une autre histoire. Les instances concernées doivent verser encore quelque 36 milliards pour aménager les alentours de l‘aérogare et ce sont les services de la Direction des travaux publics qui devraient assurer cette mission indique-t-on.Une enveloppe de plus de 200 milliards de centimes pour la réalisation d‘un simple aérogare paraît absurde, de l‘avis des spécialistes. Et pourtant, les autorités concernées ne semblent pas être préoccupées par ce «détail»... L‘essentiel est d‘achever ce projet qui traîne depuis 2003. Composé de trois blocs, la réalisation de l‘aérogare a fait l‘objet de toutes les convoitises. Des entreprises médiocres et sans qualifications avérées avaient leur mainmise sur le chantier en question pendant plusieurs années. Une source sûre nous indique que «l‘administration avait mis fin à la contribution de quatre entreprises publiques pour défaut de qualification. Actuellement une dizaine d‘entreprises sont sur le chantier».


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