La candidate du PT plaide pour le renforcement de l'économie nationale, estimant qu' «il est préférable d'utiliser les ressources financières du pays pour réaliser des objectifs plutôt que de les placer dans des banques étrangères». La candidate du PT plaide pour le renforcement de l'économie nationale, estimant qu' «il est préférable d'utiliser les ressources financières du pays pour réaliser des objectifs plutôt que de les placer dans des banques étrangères». La candidate du Parti des Travailleurs à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune, continue son périple à travers le territoire national pour sa campagne électorale du scrutin populaire du 9 avril. Jeudi, elle s'est adressée aux populations de Annaba et Tébessa axant ses interventions sur des critiques vigoureuses de la politique de privatisation et la fermeture de quelque 1.000 entreprises publiques, ce qui a entraîné, selon elle, «la suppression de milliers de postes de travail». Depuis la capitale de l'acier, Annaba, la pasionaria du PT, a pris l'engagement devant des milliers de personnes, au cas où elle accéderait à la magistrature suprême, «de nationaliser les complexes sidérurgique d'El Hadjar et d'ammoniac et dérivés Asmidal». Qualifiant «d'échec», la politique de privatisation, qui a engendré, selon ses estimations "la perte de 40% des emplois à El Hadjar, et la fermeture de 1.500 entreprises publiques, avec des solutions improvisées en matière de lutte contre le chômage», la secrétaire générale du PT et postulante à la magistrature suprême du pays, invite les citoyens à lui accorder leurs voix , lors de la prochaine consultation, pour être en mesure, s'engage-t-elle «de prendre des décisions audacieuses telle que la renationalisation des entreprises démantelées du secteur public, constituant le socle de la souveraineté économique, comme les complexes dEl Hadjar et Asmidal». Préoccupée par le phénomène des harragas, les côtes bônoises sont des lieux privilégiés pour le départ des jeunes vers l'aventure, Louisa Hanoune, incrimine les politiques économiques suivies jusque là dans l'apparition et le développement du phénomène. La solution à ce fléau, souligne-t-elle ne peut être trouvée que «par la rupture avec des réformes politiques et sociales réelles qui mettent fin à la hogra», critiquant sévèrement «le parti pris de l'administration pour l'un des candidats». Dans ce cadre, elle appelle la population de la «coquette» à une présence massive le jour du vote «pour hâter la rupture à laquelle aspire la majorité des algériens» et extirper l'administration des rets du système du parti unique. Après l'escale de Annaba, Louisa Hanoune s'est rendue dans la ville de Tébessa où elle animé un meeting au cours duquel elle a appelé de nouveau à la «rupture totale» avec les «pratiques du parti unique», qui ont, selon elle, enfantées, certifie-t-elle «le terrorisme et la mafia financière». Elle a renouvelé dans la foulée ses critiques relatives à «la politique de privatisation et la fermeture de quelque 1.000 entreprises publiques». Une politique qui a entraîné, selon toujours ses estimations «la suppression de milliers de postes de travail». Expliquant son programme électoral, la candidate du PT, assure qu' «il vise fondamentalement l'amélioration du pouvoir d'achat du citoyen» et « la réouverture des entreprises fermées ainsi que la création de nouvelles afin d'augmenter le nombre de postes de travail», notamment, à l'intention des universitaires, dont, a-t-elle relevé «environ trois millions sont actuellement sans emploi». Continuant sur sa lancée, elle plaide pour le renforcement de l'économie nationale, estimant "préférable d'utiliser les ressources financières du pays pour réaliser des objectifs plutôt que de les placer dans des banques étrangères». Parmi ces objectifs, elle cite le développement d'une industrie lourde, susceptible d'améliorer «les conditions de vie de la population algérienne», surtout en «cette période où le pays a restauré la paix et la sécurité et retrouvé sa place sur la scène internationale». La candidate du Parti des Travailleurs à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune, continue son périple à travers le territoire national pour sa campagne électorale du scrutin populaire du 9 avril. Jeudi, elle s'est adressée aux populations de Annaba et Tébessa axant ses interventions sur des critiques vigoureuses de la politique de privatisation et la fermeture de quelque 1.000 entreprises publiques, ce qui a entraîné, selon elle, «la suppression de milliers de postes de travail». Depuis la capitale de l'acier, Annaba, la pasionaria du PT, a pris l'engagement devant des milliers de personnes, au cas où elle accéderait à la magistrature suprême, «de nationaliser les complexes sidérurgique d'El Hadjar et d'ammoniac et dérivés Asmidal». Qualifiant «d'échec», la politique de privatisation, qui a engendré, selon ses estimations "la perte de 40% des emplois à El Hadjar, et la fermeture de 1.500 entreprises publiques, avec des solutions improvisées en matière de lutte contre le chômage», la secrétaire générale du PT et postulante à la magistrature suprême du pays, invite les citoyens à lui accorder leurs voix , lors de la prochaine consultation, pour être en mesure, s'engage-t-elle «de prendre des décisions audacieuses telle que la renationalisation des entreprises démantelées du secteur public, constituant le socle de la souveraineté économique, comme les complexes dEl Hadjar et Asmidal». Préoccupée par le phénomène des harragas, les côtes bônoises sont des lieux privilégiés pour le départ des jeunes vers l'aventure, Louisa Hanoune, incrimine les politiques économiques suivies jusque là dans l'apparition et le développement du phénomène. La solution à ce fléau, souligne-t-elle ne peut être trouvée que «par la rupture avec des réformes politiques et sociales réelles qui mettent fin à la hogra», critiquant sévèrement «le parti pris de l'administration pour l'un des candidats». Dans ce cadre, elle appelle la population de la «coquette» à une présence massive le jour du vote «pour hâter la rupture à laquelle aspire la majorité des algériens» et extirper l'administration des rets du système du parti unique. Après l'escale de Annaba, Louisa Hanoune s'est rendue dans la ville de Tébessa où elle animé un meeting au cours duquel elle a appelé de nouveau à la «rupture totale» avec les «pratiques du parti unique», qui ont, selon elle, enfantées, certifie-t-elle «le terrorisme et la mafia financière». Elle a renouvelé dans la foulée ses critiques relatives à «la politique de privatisation et la fermeture de quelque 1.000 entreprises publiques». Une politique qui a entraîné, selon toujours ses estimations «la suppression de milliers de postes de travail». Expliquant son programme électoral, la candidate du PT, assure qu' «il vise fondamentalement l'amélioration du pouvoir d'achat du citoyen» et « la réouverture des entreprises fermées ainsi que la création de nouvelles afin d'augmenter le nombre de postes de travail», notamment, à l'intention des universitaires, dont, a-t-elle relevé «environ trois millions sont actuellement sans emploi». Continuant sur sa lancée, elle plaide pour le renforcement de l'économie nationale, estimant "préférable d'utiliser les ressources financières du pays pour réaliser des objectifs plutôt que de les placer dans des banques étrangères». Parmi ces objectifs, elle cite le développement d'une industrie lourde, susceptible d'améliorer «les conditions de vie de la population algérienne», surtout en «cette période où le pays a restauré la paix et la sécurité et retrouvé sa place sur la scène internationale».