L'un des architectes du congrès de la Soummam, et chef de la wilaya quatre, le colonel Si M'hamed Bouguerra, est mort dans des conditions «floues». L'emplacement de sa tombe n'est pas connu à ce jour. Sa famille ainsi que toute la famille révolutionnaire, ont réclamé, hier, des autorités algériennes d'entamer des démarches auprès de l'ancien colonisateur, pour dévoiler «toute lé vérité autour de l'assassinat de cet homme». Ils réclament également «une transcription objective et réelle de l'histoire de la guerre d'Algérie». Ce sont autant de faits qui ont été évoqués, hier, au centre de presse d'El Moudjahid, par le frère de ce martyr qui était l'invité d'une journée d'étude sur le parcours de cette grande figure, organisée à l'initiative de l'association « Machal El Chahid». «J'appel les autorités algériennes à relancer les débats pour que la France lui rende les archives de la guerre et nous permette de connaître la tombe de mon frère», a-il déclaré. Le colonel Si Ahmed Bougera est mort sur le champ de bataille en Mai 1959 à Ouled Bouachra, à Médéa. Mais aucun détail supplémentaire n'est connu à ce jour. Lakhdar Bouragaa, l'un de ses compagnons d'armes, a témoigné pour sa part, lors de cette rencontre, sur «la singularité de cette homme ayant marqué l'histoire de la guerre de libération». L'orateur qui affirme avoir été présent au moment de son enlèvement regrette de «ne pas avoir pu fournir davantage de détail sur la manière dont son compagnon a été tué et le lieu de son enterrement». L'un des architectes du congrès de la Soummam, et chef de la wilaya quatre, le colonel Si M'hamed Bouguerra, est mort dans des conditions «floues». L'emplacement de sa tombe n'est pas connu à ce jour. Sa famille ainsi que toute la famille révolutionnaire, ont réclamé, hier, des autorités algériennes d'entamer des démarches auprès de l'ancien colonisateur, pour dévoiler «toute lé vérité autour de l'assassinat de cet homme». Ils réclament également «une transcription objective et réelle de l'histoire de la guerre d'Algérie». Ce sont autant de faits qui ont été évoqués, hier, au centre de presse d'El Moudjahid, par le frère de ce martyr qui était l'invité d'une journée d'étude sur le parcours de cette grande figure, organisée à l'initiative de l'association « Machal El Chahid». «J'appel les autorités algériennes à relancer les débats pour que la France lui rende les archives de la guerre et nous permette de connaître la tombe de mon frère», a-il déclaré. Le colonel Si Ahmed Bougera est mort sur le champ de bataille en Mai 1959 à Ouled Bouachra, à Médéa. Mais aucun détail supplémentaire n'est connu à ce jour. Lakhdar Bouragaa, l'un de ses compagnons d'armes, a témoigné pour sa part, lors de cette rencontre, sur «la singularité de cette homme ayant marqué l'histoire de la guerre de libération». L'orateur qui affirme avoir été présent au moment de son enlèvement regrette de «ne pas avoir pu fournir davantage de détail sur la manière dont son compagnon a été tué et le lieu de son enterrement».