Plus de mille logements, tous programmes confondus, sont attendus à El Tarf en vue de leur livraison. Ces logements ont été confiés depuis belle lurette à des entrepreneurs qui se heurtent actuellement à de nombreux problèmes. La situation s'est accentuée depuis l'augmentation du prix du ciment. Plus de mille logements, tous programmes confondus, sont attendus à El Tarf en vue de leur livraison. Ces logements ont été confiés depuis belle lurette à des entrepreneurs qui se heurtent actuellement à de nombreux problèmes. La situation s'est accentuée depuis l'augmentation du prix du ciment. Ce dernier est écoulé, depuis le mois de janvier dernier, à plus de 550 dinars le sac de 40 kilogrammes. Le rond à béton coûte les yeux de la tête. Les diverses sablières de la région ont été aussi fermées. Les opérateurs en bâtiment ainsi que les constructeurs privés sont obligés de s'approvisionner de Skikda. Le camion de sable de faible tonnage a atteint une brique. Cette augmentation risque, selon l'avis de plusieurs entrepreneurs rencontrés sur le terrain, de retarder tous les programmes de la wilaya «social, auto-construction, LSP, EPLF». Ces quotas étaient destinés à l'éradication des bidonvilles implantés du côté de Metrouha, à Ayous, Guergour 2, etc. Comparativement aux autres localités, celle de Métrouha, siuée sur la RN 82, connaît en cette période un développement urbanistique important. De moins de mille habitants dans les années 90, elle est passée aujourd'hui à plus de six milles. Ses terres arables ont été épargnées par le béton qui ne cesse d'envahir l'espace. La petite cité de Guergour située à l'entrée du chef-lieu de la wilaya aura aussi son quota nous dit-on. Il en est de même pour Sidi Belgacem où plus de trois cents logements seront concrétisés dans quelques mois. Sidi Belgacem, situé sur les hauteurs, à trois kilomètres du chef-lieu a été choisie comme assiette devant abriter la future nouvelle ville d'El Tarf, sans pour autant altérer ses immenses terres agricoles. Une telle initiative a pour but d'éviter les zones inondables qui, à chaque précipitation, posent problèmes aux autorités locales. Les constructions, au lieu de leur choisir des sites sur les hauteurs côté est, ont été implantées sur un terrain marécageux ayant de nombreux inconvénients comme la prolifération des moustiques hiver comme été, l'accentuation de maladies respiratoires dues au fort taux d'humidité spécifique à El Tarf situé à 10 mètres seulement par rapport au niveau de la mer. Notons que plusieurs réalisations de logements ont eu lieu, 8.500 pour le rural, le participatif avec plus de 2.000 logements et dont le taux de réalisation est à plus de 60 %. Quant aux logements ruraux, les services techniques ont relevé que la subvention étatique accordée est allée à des logements inexistant sur le terrain faute d'un contrôle continu. Par ailleurs, plusieurs citoyens ont bénéficié d'aides à l'autoconstruction : 120.000, 200.000 et 300.000 dinars. Ceci a permis de fixer plusieurs citoyens ruraux sur leurs terres minimisant ainsi l'exode rural massif vers les villes. Depuis presque une année, la gestion de la cité se fait dans une totale transparence. M. S. Ce dernier est écoulé, depuis le mois de janvier dernier, à plus de 550 dinars le sac de 40 kilogrammes. Le rond à béton coûte les yeux de la tête. Les diverses sablières de la région ont été aussi fermées. Les opérateurs en bâtiment ainsi que les constructeurs privés sont obligés de s'approvisionner de Skikda. Le camion de sable de faible tonnage a atteint une brique. Cette augmentation risque, selon l'avis de plusieurs entrepreneurs rencontrés sur le terrain, de retarder tous les programmes de la wilaya «social, auto-construction, LSP, EPLF». Ces quotas étaient destinés à l'éradication des bidonvilles implantés du côté de Metrouha, à Ayous, Guergour 2, etc. Comparativement aux autres localités, celle de Métrouha, siuée sur la RN 82, connaît en cette période un développement urbanistique important. De moins de mille habitants dans les années 90, elle est passée aujourd'hui à plus de six milles. Ses terres arables ont été épargnées par le béton qui ne cesse d'envahir l'espace. La petite cité de Guergour située à l'entrée du chef-lieu de la wilaya aura aussi son quota nous dit-on. Il en est de même pour Sidi Belgacem où plus de trois cents logements seront concrétisés dans quelques mois. Sidi Belgacem, situé sur les hauteurs, à trois kilomètres du chef-lieu a été choisie comme assiette devant abriter la future nouvelle ville d'El Tarf, sans pour autant altérer ses immenses terres agricoles. Une telle initiative a pour but d'éviter les zones inondables qui, à chaque précipitation, posent problèmes aux autorités locales. Les constructions, au lieu de leur choisir des sites sur les hauteurs côté est, ont été implantées sur un terrain marécageux ayant de nombreux inconvénients comme la prolifération des moustiques hiver comme été, l'accentuation de maladies respiratoires dues au fort taux d'humidité spécifique à El Tarf situé à 10 mètres seulement par rapport au niveau de la mer. Notons que plusieurs réalisations de logements ont eu lieu, 8.500 pour le rural, le participatif avec plus de 2.000 logements et dont le taux de réalisation est à plus de 60 %. Quant aux logements ruraux, les services techniques ont relevé que la subvention étatique accordée est allée à des logements inexistant sur le terrain faute d'un contrôle continu. Par ailleurs, plusieurs citoyens ont bénéficié d'aides à l'autoconstruction : 120.000, 200.000 et 300.000 dinars. Ceci a permis de fixer plusieurs citoyens ruraux sur leurs terres minimisant ainsi l'exode rural massif vers les villes. Depuis presque une année, la gestion de la cité se fait dans une totale transparence. M. S.