Intervenant à la suite de l'adoption du Plan d'action du gouvernement par le conseil des ministres, le chef de l'Etat n'est pas allé de main morte pour expliquer aux ministres la délicatesse mais aussi, et surtout, l'importance de la mission dont ils sont désormais investis. Intervenant à la suite de l'adoption du Plan d'action du gouvernement par le conseil des ministres, le chef de l'Etat n'est pas allé de main morte pour expliquer aux ministres la délicatesse mais aussi, et surtout, l'importance de la mission dont ils sont désormais investis. Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a enjoint, mardi, les membres du gouvernement d'être à la hauteur de «l'expression d'espoir et des attentes du peuple» exprimées par le soutien majoritaire à ce troisième mandat à la faveur de l'élection présidentielle du mois d'avril écoulé. Intervenant à la suite de l'adoption du Plan d'action du gouvernement, par le conseil des ministres, le chef de l'Etat n'est pas allé de main morte pour expliquer aux ministres la délicatesse mais aussi et surtout, l'importance de la mission dont ils sont désormais investis. «La situation actuelle exige une mobilisation et un engagement exemplaires du gouvernement ainsi que de l'ensemble des cadres et agents de l'Etat», a-t-il averti, selon le communiqué sanctionnant cette réunion, rendu public par les services de la présidence de la République. Il invite, à cet effet, le gouvernement à présenter «dans les meilleurs délais», un échéancier détaillé pour la mise en oeuvre des différentes actions consignées dans le Plan d'action. Un échéancier qui, dit-il, «permettra de veiller à prévenir et à rectifier à temps tout retard constaté». Se faisant encore plus perspicace, le chef de l'Etat ne s'arrête pas là et se fait même menaçant, lors de cette première réunion avec les ministres depuis son investiture pour un troisième mandat. «Je tiens également à souligner que chaque membre du gouvernement devra assumer ses responsabilités et rendre compte de l'exécution du programme dans son secteur, qu'il s'agisse des actions de réformes et de modernisation, de l'amélioration du service public, de la lutte contre l'atteinte à la loi, y compris dans le champ économique, ou qu'il s'agisse de la prise en charge des différents volets du développement social. Nos délibérations futures nous permettront d'y veiller régulièrement et de près», insiste-t-il. Le Conseil des ministres a également été l'occasion pour le Chef de l'Etat d'instruire le gouvernement de préparer «activement» le projet de programme d'investissements publics pour la période 2010 à 2014. Ce programme devra «mobiliser rationnellement les ressources destinées à inciter le développement et la diversification de l'économie». Il devra également garantir «la poursuite du développement social en veillant à la résorption des retards dans certaines contrées du pays, et à assurer enfin la pérennité de la politique nationale de justice sociale et de solidarité». Le gouvernement a également été chargé par le président Bouteflika à préparer «le dialogue social et la finalisation des textes découlant du nouveau statut général de la Fonction publique». «Ces mesures seront décidées en matière d'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs, et dont les crédits requis devront être mobilisés dans la prochaine loi de finances», explique-t-il. Durant cette réunion, le Conseil des ministres a entendu, précise encore le communiqué, une présentation, faite par le Premier ministre, du projet de plan d'action pour la mise en oeuvre du programme du président de la République. Un document qui énonce les mesures et actions par lesquelles le gouvernement s'attellera à l'exécution du programme présidentielle pour le prochain quinquennat. Un programme axé sur «la démarche pour la consolidation de la paix et de la réconciliation nationale, le raffermissement de l'unité nationale, la promotion des libertés démocratiques, des droits de l'homme, de la liberté de la presse, ainsi que de l'égalité constitutionnelle entre les hommes et les femmes». La feuille de route prévoit également un programme quinquennal d'investissements publics à hauteur de l'équivalent de 150 milliards de dollars, offrant un plan de charge exceptionnel aux opérateurs, la création de 200.000 nouvelles petites et moyennes entreprises, la création de trois millions d'emplois et la livraison d'un million de nouveaux logements durant ces cinq années. Autant d'engagemenst sur lesquels devront veiller au grain la totalité des membres du gouvernement qui, désormais, n'ont plus droit au relâchement ! Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a enjoint, mardi, les membres du gouvernement d'être à la hauteur de «l'expression d'espoir et des attentes du peuple» exprimées par le soutien majoritaire à ce troisième mandat à la faveur de l'élection présidentielle du mois d'avril écoulé. Intervenant à la suite de l'adoption du Plan d'action du gouvernement, par le conseil des ministres, le chef de l'Etat n'est pas allé de main morte pour expliquer aux ministres la délicatesse mais aussi et surtout, l'importance de la mission dont ils sont désormais investis. «La situation actuelle exige une mobilisation et un engagement exemplaires du gouvernement ainsi que de l'ensemble des cadres et agents de l'Etat», a-t-il averti, selon le communiqué sanctionnant cette réunion, rendu public par les services de la présidence de la République. Il invite, à cet effet, le gouvernement à présenter «dans les meilleurs délais», un échéancier détaillé pour la mise en oeuvre des différentes actions consignées dans le Plan d'action. Un échéancier qui, dit-il, «permettra de veiller à prévenir et à rectifier à temps tout retard constaté». Se faisant encore plus perspicace, le chef de l'Etat ne s'arrête pas là et se fait même menaçant, lors de cette première réunion avec les ministres depuis son investiture pour un troisième mandat. «Je tiens également à souligner que chaque membre du gouvernement devra assumer ses responsabilités et rendre compte de l'exécution du programme dans son secteur, qu'il s'agisse des actions de réformes et de modernisation, de l'amélioration du service public, de la lutte contre l'atteinte à la loi, y compris dans le champ économique, ou qu'il s'agisse de la prise en charge des différents volets du développement social. Nos délibérations futures nous permettront d'y veiller régulièrement et de près», insiste-t-il. Le Conseil des ministres a également été l'occasion pour le Chef de l'Etat d'instruire le gouvernement de préparer «activement» le projet de programme d'investissements publics pour la période 2010 à 2014. Ce programme devra «mobiliser rationnellement les ressources destinées à inciter le développement et la diversification de l'économie». Il devra également garantir «la poursuite du développement social en veillant à la résorption des retards dans certaines contrées du pays, et à assurer enfin la pérennité de la politique nationale de justice sociale et de solidarité». Le gouvernement a également été chargé par le président Bouteflika à préparer «le dialogue social et la finalisation des textes découlant du nouveau statut général de la Fonction publique». «Ces mesures seront décidées en matière d'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs, et dont les crédits requis devront être mobilisés dans la prochaine loi de finances», explique-t-il. Durant cette réunion, le Conseil des ministres a entendu, précise encore le communiqué, une présentation, faite par le Premier ministre, du projet de plan d'action pour la mise en oeuvre du programme du président de la République. Un document qui énonce les mesures et actions par lesquelles le gouvernement s'attellera à l'exécution du programme présidentielle pour le prochain quinquennat. Un programme axé sur «la démarche pour la consolidation de la paix et de la réconciliation nationale, le raffermissement de l'unité nationale, la promotion des libertés démocratiques, des droits de l'homme, de la liberté de la presse, ainsi que de l'égalité constitutionnelle entre les hommes et les femmes». La feuille de route prévoit également un programme quinquennal d'investissements publics à hauteur de l'équivalent de 150 milliards de dollars, offrant un plan de charge exceptionnel aux opérateurs, la création de 200.000 nouvelles petites et moyennes entreprises, la création de trois millions d'emplois et la livraison d'un million de nouveaux logements durant ces cinq années. Autant d'engagemenst sur lesquels devront veiller au grain la totalité des membres du gouvernement qui, désormais, n'ont plus droit au relâchement !