Afin d'appuyer le renouveau de l'économie agricole et rurale devenu, au vu de la hausse vertigineuse de la facture alimentaire à l'importation, un centre d'intérêt privilégié, le gouvernement a décidé de lancer un nouveau produit bancaire, le crédit RFIG. «Le crédit est octroyé par les banques confirme M. Ayat, directeur du service agricole à Annaba, conventionnées avec le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, à savoir la BADR et la BNA pour le moment est entré en vigueur le 10 août 2009. Sa principale caractéristique qui traduit la volonté réelle de l'Etat de booster le secteur de l'agriculture vers les niveaux requis c'est le 0% d'intérêts pour les bénéficiaires tenus de payer uniquement le montant du crédit. «Les intérêts sont totalement pris en charge par le ministère de l'agriculture», indique la même source. Cependant, à quelques encablures du lancement de la campagne de la tomate industrielle, les modalités d'application de cette manne décidés selon la loi d'orientation agricole au service des agriculteurs, des éleveurs et des opérateurs de l'agroalimentaire, posent d'ores et déjà problèmes. Les conserveurs de la filière tomate industrielle rencontrent des difficultés pour accéder à l'octroi du crédit RFIG au niveau des banques, particulièrement auprès de la BADR dit-on. «Les banques sont très hésitantes envers les conserveries sous prétexte que nous ne figurons pas de manière formelle dans la nomenclature des bénéficiaires visés par la loi» accuse un des conserveurs rencontré à la DSA (Direction des services agricoles). Pourtant, affirme-t-il, "elles ont été instruites pour nous faciliter la tâche. A ce propos, puisque nous, comme opérateurs de l'agroalimentaire, on est reconnu comme unités de services agricoles". Cette confusion dans l'interprétation du texte régissant les domaines couverts par le crédit est ses bénéficiaires risque de devenir un sérieux handicap pour le bon déroulement de la campagne de la tomate industrielle redoute-t-on du côté des transformateurs. Ces derniers seraient sur le point déjà d'interpeller collectivement le ministère de l'Agriculture nous confie-t-on. Afin d'appuyer le renouveau de l'économie agricole et rurale devenu, au vu de la hausse vertigineuse de la facture alimentaire à l'importation, un centre d'intérêt privilégié, le gouvernement a décidé de lancer un nouveau produit bancaire, le crédit RFIG. «Le crédit est octroyé par les banques confirme M. Ayat, directeur du service agricole à Annaba, conventionnées avec le ministère de l'Agriculture et du Développement rural, à savoir la BADR et la BNA pour le moment est entré en vigueur le 10 août 2009. Sa principale caractéristique qui traduit la volonté réelle de l'Etat de booster le secteur de l'agriculture vers les niveaux requis c'est le 0% d'intérêts pour les bénéficiaires tenus de payer uniquement le montant du crédit. «Les intérêts sont totalement pris en charge par le ministère de l'agriculture», indique la même source. Cependant, à quelques encablures du lancement de la campagne de la tomate industrielle, les modalités d'application de cette manne décidés selon la loi d'orientation agricole au service des agriculteurs, des éleveurs et des opérateurs de l'agroalimentaire, posent d'ores et déjà problèmes. Les conserveurs de la filière tomate industrielle rencontrent des difficultés pour accéder à l'octroi du crédit RFIG au niveau des banques, particulièrement auprès de la BADR dit-on. «Les banques sont très hésitantes envers les conserveries sous prétexte que nous ne figurons pas de manière formelle dans la nomenclature des bénéficiaires visés par la loi» accuse un des conserveurs rencontré à la DSA (Direction des services agricoles). Pourtant, affirme-t-il, "elles ont été instruites pour nous faciliter la tâche. A ce propos, puisque nous, comme opérateurs de l'agroalimentaire, on est reconnu comme unités de services agricoles". Cette confusion dans l'interprétation du texte régissant les domaines couverts par le crédit est ses bénéficiaires risque de devenir un sérieux handicap pour le bon déroulement de la campagne de la tomate industrielle redoute-t-on du côté des transformateurs. Ces derniers seraient sur le point déjà d'interpeller collectivement le ministère de l'Agriculture nous confie-t-on.