Slim Othmani croit aux potentialités de son pays, l'Algérie, en dépit des contraintes vécues au quotidien dans un environnement qu'il dit «hostile empêchant tout un chacun de progresser». Slim Othmani croit aux potentialités de son pays, l'Algérie, en dépit des contraintes vécues au quotidien dans un environnement qu'il dit «hostile empêchant tout un chacun de progresser». Pour annoncer sa candidature au poste de Président du Forum des Chefs d'Entreprises, Slim Othmani a adressé une missive dans laquelle il postule et fait part par la même occasion de son programme. Marié, père de deux enfants, il est né le 3 mars 1957 en Tunisie, pays où toute la famille Othmani a élu domicile depuis plus d'un demi siècle. Activant dans le commerce et l'industrie agroalimentaire, Slim Othmani souligne «l'apport inconditionnel» des siens à la révolution Algérienne à travers l'approvisionnement régulier en vivres de l'armée des frontières. Ingénieur en informatique et polyglotte, ce jeune algérien a préféré rejoindre son père pour prendre le relais. Ainsi en 1991, il prit la décision de rentrer au pays pour, dit-il «explorer les opportunités tant dans le secteur des nouvelles technologies que dans celui de l'agroalimentaire». Il souligne le fait de croire aux potentialités de son pays, l'Algérie, en dépit des contraintes vécues au quotidien dans un environnement qu'il dit «hostile empêchant tout un chacun de progresser». Il dirige actuellement l'Entreprise familiale NCA-Rouiba, tout en ayant des intérêts dans d'autres activités. Il s'inscrit, insiste-t-il, dans «un processus d'apprentissage permanent » Détenteur d'un « executive MBA », ce qui lui a ouvert les portes de certains conseils d'administration d'entreprises où il siège en tant qu'administrateur. Il insiste en ce sens et dit être « un militant actif au service de l'entreprise et de l'économie nationale». Inquiet mais confiant … A propos, de l'ouverture du marché algérien, il affirme que notre économie «n'est pas prête», de par « le manque de visibilité mais surtout de solidarité». Néanmoins, ce jeune dirigeant demeure confiant en l'avenir car, insiste-t-il, «le potentiel algérien est aussi grand que l'Algérie» et « nous pouvons, dit-il, bâtir, avec les pouvoirs publics des partenariats gagnant-gagnant au service de l'économie et de la société Algériennes. Les 5 axes de son programme 1. Organisation interne, mise en adéquation avec la vision, les missions et les ambitions du FCE 2. Action nationale tournée vers toutes les parties prenantes (Entreprises, pouvoirs publics, institutions, associations professionnelles & patronales, associations de consommateurs,…) 3. Action Internationale ayant pour ambition la construction d'un lien fort et actif avec nos partenaires internationaux (associations ou autres organisations patronales, institutions internationales). A ce titre, le FCE se devra d'être un acteur actif et proactif des accords de libre échange signés par l'Algérie 4. Le FCE devra être le catalyseur de la relation Université-Entreprise 5. Le FCE se voudra le creuset de la relève patronale, là ou l'on initie et encourage les capitaines de l'industrie de demain. En démocrate convaincu, comme il aime à le souligner, Slim Othmani affirme qu'il sollicitera et impliquera l'ensemble des membres du FCE dans le cadre de commissions permanentes, de commissions Ad hoc, de représentations régionales et dans le cadre des rencontres nationales. Pour annoncer sa candidature au poste de Président du Forum des Chefs d'Entreprises, Slim Othmani a adressé une missive dans laquelle il postule et fait part par la même occasion de son programme. Marié, père de deux enfants, il est né le 3 mars 1957 en Tunisie, pays où toute la famille Othmani a élu domicile depuis plus d'un demi siècle. Activant dans le commerce et l'industrie agroalimentaire, Slim Othmani souligne «l'apport inconditionnel» des siens à la révolution Algérienne à travers l'approvisionnement régulier en vivres de l'armée des frontières. Ingénieur en informatique et polyglotte, ce jeune algérien a préféré rejoindre son père pour prendre le relais. Ainsi en 1991, il prit la décision de rentrer au pays pour, dit-il «explorer les opportunités tant dans le secteur des nouvelles technologies que dans celui de l'agroalimentaire». Il souligne le fait de croire aux potentialités de son pays, l'Algérie, en dépit des contraintes vécues au quotidien dans un environnement qu'il dit «hostile empêchant tout un chacun de progresser». Il dirige actuellement l'Entreprise familiale NCA-Rouiba, tout en ayant des intérêts dans d'autres activités. Il s'inscrit, insiste-t-il, dans «un processus d'apprentissage permanent » Détenteur d'un « executive MBA », ce qui lui a ouvert les portes de certains conseils d'administration d'entreprises où il siège en tant qu'administrateur. Il insiste en ce sens et dit être « un militant actif au service de l'entreprise et de l'économie nationale». Inquiet mais confiant … A propos, de l'ouverture du marché algérien, il affirme que notre économie «n'est pas prête», de par « le manque de visibilité mais surtout de solidarité». Néanmoins, ce jeune dirigeant demeure confiant en l'avenir car, insiste-t-il, «le potentiel algérien est aussi grand que l'Algérie» et « nous pouvons, dit-il, bâtir, avec les pouvoirs publics des partenariats gagnant-gagnant au service de l'économie et de la société Algériennes. Les 5 axes de son programme 1. Organisation interne, mise en adéquation avec la vision, les missions et les ambitions du FCE 2. Action nationale tournée vers toutes les parties prenantes (Entreprises, pouvoirs publics, institutions, associations professionnelles & patronales, associations de consommateurs,…) 3. Action Internationale ayant pour ambition la construction d'un lien fort et actif avec nos partenaires internationaux (associations ou autres organisations patronales, institutions internationales). A ce titre, le FCE se devra d'être un acteur actif et proactif des accords de libre échange signés par l'Algérie 4. Le FCE devra être le catalyseur de la relation Université-Entreprise 5. Le FCE se voudra le creuset de la relève patronale, là ou l'on initie et encourage les capitaines de l'industrie de demain. En démocrate convaincu, comme il aime à le souligner, Slim Othmani affirme qu'il sollicitera et impliquera l'ensemble des membres du FCE dans le cadre de commissions permanentes, de commissions Ad hoc, de représentations régionales et dans le cadre des rencontres nationales.