Cet événement est jugé historique car il permet de sortir la Conférence de l'impasse dans laquelle elle se trouve depuis douze ans. L'Algérie, qui a présidé la Conférence de désarmement tenue à Genève, a "grandement contribué à ce succès". Cet événement est jugé historique car il permet de sortir la Conférence de l'impasse dans laquelle elle se trouve depuis douze ans. L'Algérie, qui a présidé la Conférence de désarmement tenue à Genève, a "grandement contribué à ce succès". La Conférence sur le désarmement de l'ONU, dans l'impasse depuis 1996, "s'est mise d'accord sur un programme de travail pour 2009", a indique, samedi, un communiqué du ministère des Affaires Etrangères qui souligne que l'Algérie se félicite de cette adoption "qui va lui permettre de reprendre ses activités visant à négocier des instruments et des traités internationaux en matière de désarmement et de leur non prolifération". Cet événement est jugé historique car il permet de sortir la Conférence de l'impasse dans laquelle elle se trouve depuis douze ans. Par cette décision, la Conférence va former des groupes de travail chargés respectivement des questions relatives à la "prévention d'une course aux armements dans l'espace" et aux "arrangements internationaux efficaces pour garantir les Etats non dotés d'armes nucléaires contre l'emploi ou la menace de ces armes". L'Algérie, qui a présidé la Conférence de désarmement tenue à Genève du 16 au 27 mars et du 18 au 29 mai 2009, a "grandement contribué à ce succès" en prenant une initiative visant à relancer les travaux de cette instance et "œuvré sans relâche" en vue de conférer à cette initiative toutes les chances de succès, poursuit le texte des Affaires étrangères. Avant l'issue de la conférence, son président l'Algérien, Idriss Jazairy, a averti que "la Conférence du désarmement a la responsabilité historique de ne pas laisser passer cette opportunité de relancer ses travaux. Sinon on risquerait de la marginaliser défensivement", soulignant que "les membres de la Conférence doivent dépasser leurs positions préétablies pour consolider une démarche multilatérale de règlement des affaires du monde". L'Algérie avec le soutien des cinq autres présidents de la Conférence (Vietnam, Zimbabwe, Argentine, Australie, Autriche), a d'abord présenté sous la forme d'une proposition officieuse, prévoyant la mise en place de mécanismes, avec des mandats différenciés, "pour traiter l'ensemble des points à l'ordre du jour de la conférence, à travers l'établissement de quatre groupes de travail pour traiter de nombre de questions", précise la même source : Il s'agit du "Désarmement nucléaire", "Un Traité sur l'interdiction de la production des matières fissiles pour la fabrication des armes nucléaires (FMCT)", "L'Arrêt de la Course aux armements dans l'espace extra-atmosphérique (Paros)", "Les garanties de sécurité négative (non recours par les puissances nucléaires de l'arme nucléaire contre des pays non nucléaires)". La proposition permettrait d'entamer des conversations sur un traité vérifiable interdisant la production de matière fissile ainsi que des discussions sérieuses sur une série d'autres sujets qui reflètent les préoccupations actuelles des Etats membres de la Conférence du désarmement. Au vue des réactions "positives" recueillies auprès des Etats membres, la proposition sur un programme de travail a été officiellement présentée par la présidence algérienne à la Conférence, le 19 mai, avec le soutien des cinq président de la session 2009, lors d'une cérémonie officielle, qui a vu la participation du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, la ministre des Affaires étrangères de la Confédération helvétique, Micheline Calmy Ray, qui ont tenu à "manifester leur soutien à cette proposition", souligne-t-on encore. Le ministre des AE, Mourad Medelci a rappelé qu'en 1979, la séance inaugurale de la Conférence du désarmement a été présidée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, alors ministre des Affaires étrangères, qui avait déclaré que cette instance "ne peut jouer un rôle important que dans la mesure où les Etats font preuve de volonté politique qui reste le facteur décisif pour la mise en œuvre de mesures authentiques de désarmement", poursuit le communiqué qui relève que le dernier succès enregistré par l'Algérie, consistant à doter la Conférence du désarmement d'un programme de travail, par consensus, "s'inscrit dans la continuité de ces efforts et découle du souci constant de l'Algérie d'œuvrer en faveur de la paix et de la sécurité internationale". L'adoption d'un programme de travail par la Conférence du désarmement a été saluée par l'ensemble de la communauté internationale comme un tournant historique en faveur de la paix, indique-t-on encore. Pour sa part, le secrétaire général des Nations unies, qui a rendu un hommage particulier à l'Algérie pour son rôle joué à ce sujet, a indiqué qu'il se réjouissait que les Etats membres aient "réussi à surmonter l'impasse dans laquelle se trouvait la Conférence et à permettre à cette instance de remplir son mandat", relève-t-on. Il a rendu un hommage particulier à l'Algérie, à travers son ambassadeur à Genève, Idriss Jazaïry pour le rôle qu'il a joué à ce sujet. La Conférence sur le désarmement de l'ONU, dans l'impasse depuis 1996, "s'est mise d'accord sur un programme de travail pour 2009", a indique, samedi, un communiqué du ministère des Affaires Etrangères qui souligne que l'Algérie se félicite de cette adoption "qui va lui permettre de reprendre ses activités visant à négocier des instruments et des traités internationaux en matière de désarmement et de leur non prolifération". Cet événement est jugé historique car il permet de sortir la Conférence de l'impasse dans laquelle elle se trouve depuis douze ans. Par cette décision, la Conférence va former des groupes de travail chargés respectivement des questions relatives à la "prévention d'une course aux armements dans l'espace" et aux "arrangements internationaux efficaces pour garantir les Etats non dotés d'armes nucléaires contre l'emploi ou la menace de ces armes". L'Algérie, qui a présidé la Conférence de désarmement tenue à Genève du 16 au 27 mars et du 18 au 29 mai 2009, a "grandement contribué à ce succès" en prenant une initiative visant à relancer les travaux de cette instance et "œuvré sans relâche" en vue de conférer à cette initiative toutes les chances de succès, poursuit le texte des Affaires étrangères. Avant l'issue de la conférence, son président l'Algérien, Idriss Jazairy, a averti que "la Conférence du désarmement a la responsabilité historique de ne pas laisser passer cette opportunité de relancer ses travaux. Sinon on risquerait de la marginaliser défensivement", soulignant que "les membres de la Conférence doivent dépasser leurs positions préétablies pour consolider une démarche multilatérale de règlement des affaires du monde". L'Algérie avec le soutien des cinq autres présidents de la Conférence (Vietnam, Zimbabwe, Argentine, Australie, Autriche), a d'abord présenté sous la forme d'une proposition officieuse, prévoyant la mise en place de mécanismes, avec des mandats différenciés, "pour traiter l'ensemble des points à l'ordre du jour de la conférence, à travers l'établissement de quatre groupes de travail pour traiter de nombre de questions", précise la même source : Il s'agit du "Désarmement nucléaire", "Un Traité sur l'interdiction de la production des matières fissiles pour la fabrication des armes nucléaires (FMCT)", "L'Arrêt de la Course aux armements dans l'espace extra-atmosphérique (Paros)", "Les garanties de sécurité négative (non recours par les puissances nucléaires de l'arme nucléaire contre des pays non nucléaires)". La proposition permettrait d'entamer des conversations sur un traité vérifiable interdisant la production de matière fissile ainsi que des discussions sérieuses sur une série d'autres sujets qui reflètent les préoccupations actuelles des Etats membres de la Conférence du désarmement. Au vue des réactions "positives" recueillies auprès des Etats membres, la proposition sur un programme de travail a été officiellement présentée par la présidence algérienne à la Conférence, le 19 mai, avec le soutien des cinq président de la session 2009, lors d'une cérémonie officielle, qui a vu la participation du ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, la ministre des Affaires étrangères de la Confédération helvétique, Micheline Calmy Ray, qui ont tenu à "manifester leur soutien à cette proposition", souligne-t-on encore. Le ministre des AE, Mourad Medelci a rappelé qu'en 1979, la séance inaugurale de la Conférence du désarmement a été présidée par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, alors ministre des Affaires étrangères, qui avait déclaré que cette instance "ne peut jouer un rôle important que dans la mesure où les Etats font preuve de volonté politique qui reste le facteur décisif pour la mise en œuvre de mesures authentiques de désarmement", poursuit le communiqué qui relève que le dernier succès enregistré par l'Algérie, consistant à doter la Conférence du désarmement d'un programme de travail, par consensus, "s'inscrit dans la continuité de ces efforts et découle du souci constant de l'Algérie d'œuvrer en faveur de la paix et de la sécurité internationale". L'adoption d'un programme de travail par la Conférence du désarmement a été saluée par l'ensemble de la communauté internationale comme un tournant historique en faveur de la paix, indique-t-on encore. Pour sa part, le secrétaire général des Nations unies, qui a rendu un hommage particulier à l'Algérie pour son rôle joué à ce sujet, a indiqué qu'il se réjouissait que les Etats membres aient "réussi à surmonter l'impasse dans laquelle se trouvait la Conférence et à permettre à cette instance de remplir son mandat", relève-t-on. Il a rendu un hommage particulier à l'Algérie, à travers son ambassadeur à Genève, Idriss Jazaïry pour le rôle qu'il a joué à ce sujet.