Le RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie), a tenu, jeudi dernier à Alge,r son Conseil national. Ces assises se sont déroulées dans une conjoncture particulière pour le parti qui a enregistré le départ ou l'exclusion de ses rangs de plusieurs cadres et des pas moindres. Ali Brahimi est le dernier en date. «Un certain notabilisme minait le parti. Il a fallu y mettre un terme. Le responsable ne peut être crédible que s'il commence par faire lui-même ce qu'il demande aux militants», a déclaré le Dr Saïd Sadi, lors de son intervention d'ouverture des travaux, soulignant qu' « au niveau de la direction nationale, des décisions sont prises pour mettre en phase la disponibilité des responsables avec l'action militante telle qu'elle est demandée par la conjoncture ». Ainsi, selon Said Sadi, la crise qui minait le RCD n'est que le fait de certains «notables» qui ont fait main basse sur les rênes du parti et sur laquelle le RCD apportera des correctifs. «Nous aurons à renforcer le secrétariat national à l'organique par un certain nombre de délégués qui doivent assister le chargé de ce secteur dont la disponibilité personnelle, si importante soit-elle, ne peut répondre au besoin de sensibilisation, d'accueil, de formation et d'organisation d'un collectif militant appelé à s'élargir et servir dans les toutes prochaines années de relève, pour animer et gérer la vie publique », a expliqué encore le patron du RCD qui insiste sur l'agencement de l'agenda politique programmé pour les prochains mois : «Nous aurons organisé une grande université d'été associant des intervenants nationaux et internationaux pour faire le point sur la situation présente, ses implications nationales et régionales et envisager, après une expertise appropriée, le dépassement de l'impasse dans laquelle s'étrangle la nation depuis un demi siècle». Selon lui, Il reste au RCD «à adapter le parti pour le mettre en ordre pour une ultime bataille» en rentabilisant son «capital politique» qui ne peut se faire sans la jeunesse. Le RCD (Rassemblement pour la culture et la démocratie), a tenu, jeudi dernier à Alge,r son Conseil national. Ces assises se sont déroulées dans une conjoncture particulière pour le parti qui a enregistré le départ ou l'exclusion de ses rangs de plusieurs cadres et des pas moindres. Ali Brahimi est le dernier en date. «Un certain notabilisme minait le parti. Il a fallu y mettre un terme. Le responsable ne peut être crédible que s'il commence par faire lui-même ce qu'il demande aux militants», a déclaré le Dr Saïd Sadi, lors de son intervention d'ouverture des travaux, soulignant qu' « au niveau de la direction nationale, des décisions sont prises pour mettre en phase la disponibilité des responsables avec l'action militante telle qu'elle est demandée par la conjoncture ». Ainsi, selon Said Sadi, la crise qui minait le RCD n'est que le fait de certains «notables» qui ont fait main basse sur les rênes du parti et sur laquelle le RCD apportera des correctifs. «Nous aurons à renforcer le secrétariat national à l'organique par un certain nombre de délégués qui doivent assister le chargé de ce secteur dont la disponibilité personnelle, si importante soit-elle, ne peut répondre au besoin de sensibilisation, d'accueil, de formation et d'organisation d'un collectif militant appelé à s'élargir et servir dans les toutes prochaines années de relève, pour animer et gérer la vie publique », a expliqué encore le patron du RCD qui insiste sur l'agencement de l'agenda politique programmé pour les prochains mois : «Nous aurons organisé une grande université d'été associant des intervenants nationaux et internationaux pour faire le point sur la situation présente, ses implications nationales et régionales et envisager, après une expertise appropriée, le dépassement de l'impasse dans laquelle s'étrangle la nation depuis un demi siècle». Selon lui, Il reste au RCD «à adapter le parti pour le mettre en ordre pour une ultime bataille» en rentabilisant son «capital politique» qui ne peut se faire sans la jeunesse.