L'exercice régional d'assistance et de protection en cas d'incident chimique a été mis en œuvre "à la demande de l'Algérie" et entre dans le cadre de l'application du programme de l'Organisation internationale d'interdiction des armes chimiques (OIAC), a indiqué hier à Alger le responsable du département emploi et préparation auprès de l'Etat-major de l'ANP, le général Chérif Zerad. Le général Zerad, qui intervenait à l'ouverture des travaux de l'atelier sur la conduite et la gestion d'une situation d'urgence régionale en cas de sinistre chimique, organisé par l'Algérie conjointement avec l'OIAC, a précisé que cet exercice fait partie du programme de l'OIAC pour l'Afrique du Nord. "Cet exercice vise aussi à mettre en place une assistance technique de l'OIAC aux capacités régionales déjà existantes, en matière de protection d'un incident chimique", a-t-il ajouté. La directrice de la sécurité et du désarmement au ministère des Affaires étrangères, Mme Nesma Baghli, a souligné, pour sa part, l"'importance" de cet exercice qui représente, a-t-elle précisé, la dernière étape du programme de l'OIAC pour les pays d'Afrique du Nord. "Il s'agit d'un exercice qui va renforcer les capacités de l'OIAC en matière de protection et d'assistance en cas de frappe à l'arme chimique ou d'incident chimique dans les pays parties prenantes de la Convention internationale pour l'interdiction des armes chimiques", a-t-elle expliqué. "Aucun pays, ni région n'est à l'abri de ce genre d'incidents, d'où la pertinence de cet exercice", a ajouté Mme Baghli. "Il s'agit de la mise en application de l'article 10 de la Convention notamment les dispositions contenues dans le paragraphe IV qui incitent tous les Etats parties de l'OIAC à dresser leurs programmes de protection contre les armes chimique", a-t-il précisé. La partie pratique de l'exercice aura lieu, lundi, à l'Ecole nationale de la santé militaire (Aïn Naâdja). L'exercice régional d'assistance et de protection en cas d'incident chimique a été mis en œuvre "à la demande de l'Algérie" et entre dans le cadre de l'application du programme de l'Organisation internationale d'interdiction des armes chimiques (OIAC), a indiqué hier à Alger le responsable du département emploi et préparation auprès de l'Etat-major de l'ANP, le général Chérif Zerad. Le général Zerad, qui intervenait à l'ouverture des travaux de l'atelier sur la conduite et la gestion d'une situation d'urgence régionale en cas de sinistre chimique, organisé par l'Algérie conjointement avec l'OIAC, a précisé que cet exercice fait partie du programme de l'OIAC pour l'Afrique du Nord. "Cet exercice vise aussi à mettre en place une assistance technique de l'OIAC aux capacités régionales déjà existantes, en matière de protection d'un incident chimique", a-t-il ajouté. La directrice de la sécurité et du désarmement au ministère des Affaires étrangères, Mme Nesma Baghli, a souligné, pour sa part, l"'importance" de cet exercice qui représente, a-t-elle précisé, la dernière étape du programme de l'OIAC pour les pays d'Afrique du Nord. "Il s'agit d'un exercice qui va renforcer les capacités de l'OIAC en matière de protection et d'assistance en cas de frappe à l'arme chimique ou d'incident chimique dans les pays parties prenantes de la Convention internationale pour l'interdiction des armes chimiques", a-t-elle expliqué. "Aucun pays, ni région n'est à l'abri de ce genre d'incidents, d'où la pertinence de cet exercice", a ajouté Mme Baghli. "Il s'agit de la mise en application de l'article 10 de la Convention notamment les dispositions contenues dans le paragraphe IV qui incitent tous les Etats parties de l'OIAC à dresser leurs programmes de protection contre les armes chimique", a-t-il précisé. La partie pratique de l'exercice aura lieu, lundi, à l'Ecole nationale de la santé militaire (Aïn Naâdja).