La société algéro-turque du fer, ATF, dont le P-DG activement recherché par la police s'est refugié en France, a été, après six mois de péripeties mouvementées, finalement mise en liquidation. Ses actifs ont fait avant-hier l'objet d'une vente aux enchères à la salle des fêtes d'El Hadjar suite à une décision émanant du tribunal d'El Hadjar. Ce qui a provoqué l'ire des 360 travailleurs d'ATF, lesquels ont bruyamment manifesté leur opposition à cette opération arguant que toute procédure de vente reste assujettie au préalable de leur régularisation salariale relative aux 6 mois impayés. En plus de l'obtention de primes auquelles ils ont droit dans ce cas de figure. Le collectif des travailleurs, en colère et très excité, ont empêché à deux reprises l'entame de l'opération des enchères par une démonstration musclée en encerclant la bâtisse qui devait abriter l'opération en question et en chassant violemment les agents du fisc présents pour superviser la vente et le commissaire priseur. L'intervention des services de sécurité pour rétablir l'ordre n'a pas, en fin de compte dissuadé les protestataires. Ces derniers ont récidivé hier en cernant de nouveau le siège de la salle des fêtes, armés de coûteaux et de jerricans d'essence et menacant, cette fois-ci, de mettre fin à leur vie en se faisant harakiri ou en s'immolant, si leurs doléances ne sont prises en considération. Il a fallu des heures de palabres avec les responsables du FISC pour enfin arriver à un terrain d'entente. Les 360 travailleurs ont fini par obtenir des promesses fermes de la Direction du FISC d'El Hadjar, qu'ils seront indemnisés jusqu'au dernier sou après la cession effective de tous les actifs (terrain d'assiette, équipement...) de la société. On croit savoir que la vente a été reportée à une date ultérieure et sera annoncée par voie de presse conformément à la réglementation en vigueur regissant les ventes aux enchères. La société algéro-turque du fer, ATF, dont le P-DG activement recherché par la police s'est refugié en France, a été, après six mois de péripeties mouvementées, finalement mise en liquidation. Ses actifs ont fait avant-hier l'objet d'une vente aux enchères à la salle des fêtes d'El Hadjar suite à une décision émanant du tribunal d'El Hadjar. Ce qui a provoqué l'ire des 360 travailleurs d'ATF, lesquels ont bruyamment manifesté leur opposition à cette opération arguant que toute procédure de vente reste assujettie au préalable de leur régularisation salariale relative aux 6 mois impayés. En plus de l'obtention de primes auquelles ils ont droit dans ce cas de figure. Le collectif des travailleurs, en colère et très excité, ont empêché à deux reprises l'entame de l'opération des enchères par une démonstration musclée en encerclant la bâtisse qui devait abriter l'opération en question et en chassant violemment les agents du fisc présents pour superviser la vente et le commissaire priseur. L'intervention des services de sécurité pour rétablir l'ordre n'a pas, en fin de compte dissuadé les protestataires. Ces derniers ont récidivé hier en cernant de nouveau le siège de la salle des fêtes, armés de coûteaux et de jerricans d'essence et menacant, cette fois-ci, de mettre fin à leur vie en se faisant harakiri ou en s'immolant, si leurs doléances ne sont prises en considération. Il a fallu des heures de palabres avec les responsables du FISC pour enfin arriver à un terrain d'entente. Les 360 travailleurs ont fini par obtenir des promesses fermes de la Direction du FISC d'El Hadjar, qu'ils seront indemnisés jusqu'au dernier sou après la cession effective de tous les actifs (terrain d'assiette, équipement...) de la société. On croit savoir que la vente a été reportée à une date ultérieure et sera annoncée par voie de presse conformément à la réglementation en vigueur regissant les ventes aux enchères.