Depuis trois mois, c'est-à-dire le 20 mars dernier, date du départ de la mission chinoise, les deux services importants de gynécologie et chirurgie, sont saturés. Le service paramédical est débordé. Pour les accouchements, les malades viennent de toutes les régions et même des autres wilayas. Depuis trois mois, c'est-à-dire le 20 mars dernier, date du départ de la mission chinoise, les deux services importants de gynécologie et chirurgie, sont saturés. Le service paramédical est débordé. Pour les accouchements, les malades viennent de toutes les régions et même des autres wilayas. Construit en 1838, l'hôpital de Miliana, était au début un sénatorium, car la ville situé en zone montagneuse au flanc du Zaccar sur 7,49m d'altitude, avec un climat approprié(température moyenne l'été 25-30°, l'hiver 11,5°), recevait les malades de toutes les contrées du pays et même de l'étranger. L'établissement qui porte le nom de Fares Yahia, ancien membre de l'ALN, responsable de l'infirmerie dans la wilaya 4, a reçu plusieurs sommités médicales. Nous pouvons citer les professeurs Serror et Bentami, célèbres chirurgiens, le professeur l'Aandri phtisiologue, le professeur Trigano, spécialiste en chirurgie interne etc. L'hôpital compte actuellement 311 lits et un service de chirurgie qui fonctionne avec une nouvelle technique sophistiquée, grâce au coelioscopie qui permet de réaliser des opérations avec beaucoup de réussite surtout concernant les voies biliaires. Mais depuis trois mois, c'est-à-dire le 20 mars dernier, date du départ de la mission chinoise, les deux services importants de gynécologie et chirurgie, sont saturés. Le service paramédical est débordé. Pour les accouchements, les malades viennent de toutes les régions et même des autres wilayas (Chleff, Tissemsilt, Mascara). Le personnel médical et paramédical, un nombre largement insuffisant, se retrouve devant des situations critiques : une moyenne de 20 accouchements dont 10 par césariennes par jour. L'hôpital assure 20 gardes par mois, alors que dans certains secteurs les médecins en sont dispensés. En plus, le nombre de lits (48) ne répond plus aux besoins des admises pour les accouchements et les patientes sont installées sur un matelas à même le sol. Pour le service chirurgie, faute de médecins, on n'assure que les cas urgents. Beaucoup de malades programmés dans ce service attendent leur tour depuis deux mois. Nous rencontrons un père, accompagné de sa fille qui, nous signale que «le programme hebdomadaire fixe le jour des opérations à mercredi. Mais depuis plus d'un mois, ma fille attend son tour pour être opérée!» Selon les informations recueillies, l'établissement attend la venue de plusieurs spécialistes afin que les deux services fonctionnent dans de très bonnes conditions dans l'intérêt du malade. Construit en 1838, l'hôpital de Miliana, était au début un sénatorium, car la ville situé en zone montagneuse au flanc du Zaccar sur 7,49m d'altitude, avec un climat approprié(température moyenne l'été 25-30°, l'hiver 11,5°), recevait les malades de toutes les contrées du pays et même de l'étranger. L'établissement qui porte le nom de Fares Yahia, ancien membre de l'ALN, responsable de l'infirmerie dans la wilaya 4, a reçu plusieurs sommités médicales. Nous pouvons citer les professeurs Serror et Bentami, célèbres chirurgiens, le professeur l'Aandri phtisiologue, le professeur Trigano, spécialiste en chirurgie interne etc. L'hôpital compte actuellement 311 lits et un service de chirurgie qui fonctionne avec une nouvelle technique sophistiquée, grâce au coelioscopie qui permet de réaliser des opérations avec beaucoup de réussite surtout concernant les voies biliaires. Mais depuis trois mois, c'est-à-dire le 20 mars dernier, date du départ de la mission chinoise, les deux services importants de gynécologie et chirurgie, sont saturés. Le service paramédical est débordé. Pour les accouchements, les malades viennent de toutes les régions et même des autres wilayas (Chleff, Tissemsilt, Mascara). Le personnel médical et paramédical, un nombre largement insuffisant, se retrouve devant des situations critiques : une moyenne de 20 accouchements dont 10 par césariennes par jour. L'hôpital assure 20 gardes par mois, alors que dans certains secteurs les médecins en sont dispensés. En plus, le nombre de lits (48) ne répond plus aux besoins des admises pour les accouchements et les patientes sont installées sur un matelas à même le sol. Pour le service chirurgie, faute de médecins, on n'assure que les cas urgents. Beaucoup de malades programmés dans ce service attendent leur tour depuis deux mois. Nous rencontrons un père, accompagné de sa fille qui, nous signale que «le programme hebdomadaire fixe le jour des opérations à mercredi. Mais depuis plus d'un mois, ma fille attend son tour pour être opérée!» Selon les informations recueillies, l'établissement attend la venue de plusieurs spécialistes afin que les deux services fonctionnent dans de très bonnes conditions dans l'intérêt du malade.