L'économie britannique a subi au premier trimestre 2009 sa pire contraction trimestrielle depuis plus d'un demi-siècle, et la pire depuis 1948 en glissement annuel, ont montré des statistiques officielles révisées en forte baisse. Le Produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni s'est contracté de 2,4% par rapport au trimestre précédent, a précisé l'Office des statistiques nationales dans sa troisième et dernière estimation des comptes nationaux du premier trimestre. Il a ainsi révisé en forte baisse ses deux premières estimations, fixées à -1,9%. "C'est la plus forte contraction depuis le deuxième trimestre 1958", a précisé l'institut public. Sur un an, la chute du PIB a été portée à 4,9%, contre 4,1% dans les estimations précédentes. Cette fois-ci, c'est le pire résultat enregistré depuis que l'ONS a débuté le calcul de cette statistique, en 1948. Même si les économistes s'attendaient à une révision à la baisse des chiffres de l'ONS, ils étaient loin de prévoir une contraction aussi forte. Ils tablaient en moyenne sur un repli de 2,2% sur le trimestre, et de 4,4% sur un an, selon une compilation de leurs prévisions établie par la banque Calyon. L'économie britannique a subi au premier trimestre 2009 sa pire contraction trimestrielle depuis plus d'un demi-siècle, et la pire depuis 1948 en glissement annuel, ont montré des statistiques officielles révisées en forte baisse. Le Produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni s'est contracté de 2,4% par rapport au trimestre précédent, a précisé l'Office des statistiques nationales dans sa troisième et dernière estimation des comptes nationaux du premier trimestre. Il a ainsi révisé en forte baisse ses deux premières estimations, fixées à -1,9%. "C'est la plus forte contraction depuis le deuxième trimestre 1958", a précisé l'institut public. Sur un an, la chute du PIB a été portée à 4,9%, contre 4,1% dans les estimations précédentes. Cette fois-ci, c'est le pire résultat enregistré depuis que l'ONS a débuté le calcul de cette statistique, en 1948. Même si les économistes s'attendaient à une révision à la baisse des chiffres de l'ONS, ils étaient loin de prévoir une contraction aussi forte. Ils tablaient en moyenne sur un repli de 2,2% sur le trimestre, et de 4,4% sur un an, selon une compilation de leurs prévisions établie par la banque Calyon.