Le Haut commissariat de l'ONU pour les droits de l'Homme est "alarmé" par le recours "excessif" à la force contre les partisans du président destitué du Honduras Manuel Zelaya et suit de "près" la situation et son évolution, a indiqué, hier, son porte-parole, Rupert Colville. «Le plus alarmant est le recours excessif à la force par les forces de sécurité contre les gens qui participent aux manifestations en faveur du président Zelaya", a déclaré à la presse M. Colville. Je déplore "particulièrement la mort d'un jeune de 19 ans et une dizaine de blessés lors de la manifestation à l'aéroport", a-t-il dit, ajoutant que son agence onusienne "observe de près la situation et son évolution». Dimanche, deux manifestants ont été tués au moment où ils essayaient de forcer les barrages autour de l'aéroport de Tegucigalpa, où tentait d'atterrir l'avion transportant M. Zelaya, une semaine après avoir été destitué par des militaires puis expulsé du pays. Le Haut commissariat de l'ONU pour les droits de l'Homme est "alarmé" par le recours "excessif" à la force contre les partisans du président destitué du Honduras Manuel Zelaya et suit de "près" la situation et son évolution, a indiqué, hier, son porte-parole, Rupert Colville. «Le plus alarmant est le recours excessif à la force par les forces de sécurité contre les gens qui participent aux manifestations en faveur du président Zelaya", a déclaré à la presse M. Colville. Je déplore "particulièrement la mort d'un jeune de 19 ans et une dizaine de blessés lors de la manifestation à l'aéroport", a-t-il dit, ajoutant que son agence onusienne "observe de près la situation et son évolution». Dimanche, deux manifestants ont été tués au moment où ils essayaient de forcer les barrages autour de l'aéroport de Tegucigalpa, où tentait d'atterrir l'avion transportant M. Zelaya, une semaine après avoir été destitué par des militaires puis expulsé du pays.