C'est une foule déchaînée qui a reçu, dans la soirée de dimanche, sous une pluie d'applaudissements, Amazigh Kateb au stade Oukil-Ramdane pour son premier gala en solo depuis que le groupe "Gnawa Diffusion" a été dissous. Malgré l'heure tardive à laquelle la vedette de la soirée est entrée sur scène : aux environs de minuit, les fans d'Amazigh ont fait preuve de patience pour être enfin récompensés par un chanteur d'une modestie qui impose le respect. Ould Ali El Hadi, directeur de la culture, a tenu à lui rendre un vibrant hommage pour son talent et son combat, un combat que le fils de l'auteur de Nedjma a hérité de son père. Un burnous lui a été offert mais il faisait trop chaud pour que Amazigh puissent le garder toute la soirée pour son gala. Il s'en est donc excusé auprès du public. Loin de tout protocole «le fils du peuple» tel qu'il se revendique, s'est vraiment donné à fond devant un public plein d'admiration. Un public qui connaît ses chansons par cœur. Kateb a interprété des chansons du groupe "Gnawa Diffusion" mais également des chansons nouvelles que les spectateursont eu le bonheur de découvrir. Ifrikia l'un de ses grands succès a été repris en chœur par l'assistance survoltée. Amazigh a même demandé que soient enlevé es les barrières de sécurité afin de permettre au jeunes de danser. Ce qui a été fait. Avant d'entamer la chanson Nrouhou jamaïca il déclarera : «Cette chanson mérite une cigarette et il demanda un briquet". Il en recoit une cinquantaine de la part de ses fans impressionnés par cette star qui ne mettait aucune barrière entre lui et son public, se fondant dans la foule pour composer avec elle un seul corps, un seul élément. L'osmose était parfaite au stade Oukil-Ramdhane, la surprise promise par Amazigh Kateb, c'était une chanson de Matoub brillamment interprétée. C'était l'hystérie générale. A la fin du spectacle les fans d'Amazigh ne voulaient pas le laisser partir. Celui-ci promettra de revenir en Kabylie à laquelle il a rendu hommage. La modestie d'Amazigh Kateb sera définitivement imprégné dans le cœur de tous ceux qui ont assisté à son spectacle. La troupe artistique "Ithrane" (étoiles) a ouvert, cette soirée qui marque le coup d'envoi du bal du 4e Festival arabo-africain des danses folkloriques. Intervenant à l'inauguration de cette rencontre dédiée aux cultures arabo-africaines dans leurs expressions chorégraphiques, le directeur de la culture, Ould Ali El Hadi, a tenu à mettre en avant "les effets positifs inhérents à cette manifestation en termes de renforcement des liens de fraternité et de paix entre les peuples". "C'est là une opportunité unique pour s'informer du patrimoine artistique ancestral propre à chaque pays participants", affirme-t-il. C'est une foule déchaînée qui a reçu, dans la soirée de dimanche, sous une pluie d'applaudissements, Amazigh Kateb au stade Oukil-Ramdane pour son premier gala en solo depuis que le groupe "Gnawa Diffusion" a été dissous. Malgré l'heure tardive à laquelle la vedette de la soirée est entrée sur scène : aux environs de minuit, les fans d'Amazigh ont fait preuve de patience pour être enfin récompensés par un chanteur d'une modestie qui impose le respect. Ould Ali El Hadi, directeur de la culture, a tenu à lui rendre un vibrant hommage pour son talent et son combat, un combat que le fils de l'auteur de Nedjma a hérité de son père. Un burnous lui a été offert mais il faisait trop chaud pour que Amazigh puissent le garder toute la soirée pour son gala. Il s'en est donc excusé auprès du public. Loin de tout protocole «le fils du peuple» tel qu'il se revendique, s'est vraiment donné à fond devant un public plein d'admiration. Un public qui connaît ses chansons par cœur. Kateb a interprété des chansons du groupe "Gnawa Diffusion" mais également des chansons nouvelles que les spectateursont eu le bonheur de découvrir. Ifrikia l'un de ses grands succès a été repris en chœur par l'assistance survoltée. Amazigh a même demandé que soient enlevé es les barrières de sécurité afin de permettre au jeunes de danser. Ce qui a été fait. Avant d'entamer la chanson Nrouhou jamaïca il déclarera : «Cette chanson mérite une cigarette et il demanda un briquet". Il en recoit une cinquantaine de la part de ses fans impressionnés par cette star qui ne mettait aucune barrière entre lui et son public, se fondant dans la foule pour composer avec elle un seul corps, un seul élément. L'osmose était parfaite au stade Oukil-Ramdhane, la surprise promise par Amazigh Kateb, c'était une chanson de Matoub brillamment interprétée. C'était l'hystérie générale. A la fin du spectacle les fans d'Amazigh ne voulaient pas le laisser partir. Celui-ci promettra de revenir en Kabylie à laquelle il a rendu hommage. La modestie d'Amazigh Kateb sera définitivement imprégné dans le cœur de tous ceux qui ont assisté à son spectacle. La troupe artistique "Ithrane" (étoiles) a ouvert, cette soirée qui marque le coup d'envoi du bal du 4e Festival arabo-africain des danses folkloriques. Intervenant à l'inauguration de cette rencontre dédiée aux cultures arabo-africaines dans leurs expressions chorégraphiques, le directeur de la culture, Ould Ali El Hadi, a tenu à mettre en avant "les effets positifs inhérents à cette manifestation en termes de renforcement des liens de fraternité et de paix entre les peuples". "C'est là une opportunité unique pour s'informer du patrimoine artistique ancestral propre à chaque pays participants", affirme-t-il.