Les perspectives d'exploration gazière en Algérie «demeurent très bonnes» malgré la conjoncture internationale difficile. C'est du moins ce qu'estiment les analystes internationaux de la revue Pétrole et gaz arabes qui a consacré, dans sa dernière publication, un chapitre à l'évolution de l'investissement dans le secteur gazier algérien. La revue observe dans ce cadre qu'en «dépit de la crise économique et financière mondiale et de ses conséquences sur l'activité industrielle, la demande d'énergie et l'accès au crédit, l'Algérie, par le biais de Sonatrach, poursuit ses projets de développement gazier». Elle souligne à ce propos le fait qu'entre le début du mois de juin et le début juillet 2009, cinq projets ont été annoncés, à savoir la réalisation des installations de traitement du gaz à Gassi Touil et à Rhourde Nouss, la construction du gazoduc GK3, la récupération du gaz associé dans la zone de Haoud Berkaoui et le développement du permis de Touat. La revue souligne par ailleurs qu'à la fin de 2008, «les travaux de soudure pour Medgaz ont été achevés et, après des tests hydrauliques au début 2009, ce gazoduc qui relie l'Algérie à l'Espagne sans passer par un pays tiers, devrait entrer en service au cours du second semestre de cette année avec une capacité initiale de 8 milliards m3/an et un investissement de 900 millions de dollars». La publication citée par l'agence APS, souligne que «les perspectives d'exploration gazière en Algérie demeurent très bonnes, puisque sur les 16 découvertes en 2008, 14 contenaient du gaz seul ou du gaz et des condensats». Cette tendance s'est encore confirmée au cours de cette année puisque durant le premier semestre, «six des sept découvertes annoncées dans 5 en association et 2 par Sonatrach étaient des découvertes gazières». R. E. Les perspectives d'exploration gazière en Algérie «demeurent très bonnes» malgré la conjoncture internationale difficile. C'est du moins ce qu'estiment les analystes internationaux de la revue Pétrole et gaz arabes qui a consacré, dans sa dernière publication, un chapitre à l'évolution de l'investissement dans le secteur gazier algérien. La revue observe dans ce cadre qu'en «dépit de la crise économique et financière mondiale et de ses conséquences sur l'activité industrielle, la demande d'énergie et l'accès au crédit, l'Algérie, par le biais de Sonatrach, poursuit ses projets de développement gazier». Elle souligne à ce propos le fait qu'entre le début du mois de juin et le début juillet 2009, cinq projets ont été annoncés, à savoir la réalisation des installations de traitement du gaz à Gassi Touil et à Rhourde Nouss, la construction du gazoduc GK3, la récupération du gaz associé dans la zone de Haoud Berkaoui et le développement du permis de Touat. La revue souligne par ailleurs qu'à la fin de 2008, «les travaux de soudure pour Medgaz ont été achevés et, après des tests hydrauliques au début 2009, ce gazoduc qui relie l'Algérie à l'Espagne sans passer par un pays tiers, devrait entrer en service au cours du second semestre de cette année avec une capacité initiale de 8 milliards m3/an et un investissement de 900 millions de dollars». La publication citée par l'agence APS, souligne que «les perspectives d'exploration gazière en Algérie demeurent très bonnes, puisque sur les 16 découvertes en 2008, 14 contenaient du gaz seul ou du gaz et des condensats». Cette tendance s'est encore confirmée au cours de cette année puisque durant le premier semestre, «six des sept découvertes annoncées dans 5 en association et 2 par Sonatrach étaient des découvertes gazières». R. E.