Le phénomène qui sévissait dans un passé récent dans les zones rurales et enclavées pour des raisons évidentes, en l'occurrence manque, voire, absence de tueries appropriées touche désormais les grandes localités et même le chef lieu de wilaya. En effet certains bouchers peu scrupuleux au mépris des règles élémentaires régissant la sauvegarde de la santé publique procédent à l'abattage des ovins et parfois bovins dans des hangar enclos, terrains vagues pour des raisons bassement mercantiles. Cette pratique illégale prend de l'ampleur les services compétents en dépit de leur vigilance semblant être dépassés et l'absence de sanctions dissuasives l'encourage. La ville de Guelma possède un important abattoir implanté aux abords de l'Opow Souidani-Boudjemaa qui a bénéficié de substantiels travaux de réhabilitation et répond amplement à la demande. Force est de constater que cette infrastructure vétérinaires, répond largement aux critères exigés à savoir présence de vétérinaires, eau courante, chambres froides, personnel qualifié, installation adéquates et respect des conditions d'hygiène. En dépit de la qualité des prestations puisque les bêtes égorgées sont au préalable visitées par les vétérinaire puis les carcasses estampillées, des bouchers se dérobent à leurs obligations personnelles en recourant aux abattages clandestins sans se soucier des conséquences. Ils optent pour cette solution illicite pour des raisons lucratives afin de ne pas débourser la taxe d'abattage au gérant de l'abattoir ou pour des raisons malhonnêtes et «malsaines» les bêtes étant souvent malades, agonisantes au détriment de la qualité de vie dans des conditions déplorables d'hygiène et de salubrité et les carcasses sont revêtues d'une encre douteuse en guise d'estampillage afin de les écouler dans une prétendue légalité. A l'orée de la saison estivale, caractérisée par la canicule susceptible d'engendrer des MTH et épidémies, les autorités locales sont interpellées aux fins d'enrayer le fléau qui porte atteinte à la santé et au bien-être de la population. Le phénomène qui sévissait dans un passé récent dans les zones rurales et enclavées pour des raisons évidentes, en l'occurrence manque, voire, absence de tueries appropriées touche désormais les grandes localités et même le chef lieu de wilaya. En effet certains bouchers peu scrupuleux au mépris des règles élémentaires régissant la sauvegarde de la santé publique procédent à l'abattage des ovins et parfois bovins dans des hangar enclos, terrains vagues pour des raisons bassement mercantiles. Cette pratique illégale prend de l'ampleur les services compétents en dépit de leur vigilance semblant être dépassés et l'absence de sanctions dissuasives l'encourage. La ville de Guelma possède un important abattoir implanté aux abords de l'Opow Souidani-Boudjemaa qui a bénéficié de substantiels travaux de réhabilitation et répond amplement à la demande. Force est de constater que cette infrastructure vétérinaires, répond largement aux critères exigés à savoir présence de vétérinaires, eau courante, chambres froides, personnel qualifié, installation adéquates et respect des conditions d'hygiène. En dépit de la qualité des prestations puisque les bêtes égorgées sont au préalable visitées par les vétérinaire puis les carcasses estampillées, des bouchers se dérobent à leurs obligations personnelles en recourant aux abattages clandestins sans se soucier des conséquences. Ils optent pour cette solution illicite pour des raisons lucratives afin de ne pas débourser la taxe d'abattage au gérant de l'abattoir ou pour des raisons malhonnêtes et «malsaines» les bêtes étant souvent malades, agonisantes au détriment de la qualité de vie dans des conditions déplorables d'hygiène et de salubrité et les carcasses sont revêtues d'une encre douteuse en guise d'estampillage afin de les écouler dans une prétendue légalité. A l'orée de la saison estivale, caractérisée par la canicule susceptible d'engendrer des MTH et épidémies, les autorités locales sont interpellées aux fins d'enrayer le fléau qui porte atteinte à la santé et au bien-être de la population.