Les quelque 4.000 habitants du village Ben Ouali au sud de la commune de Cap Djenet à 35 km à l'est de Boumerdès vivent depuis des années dans des problèmes multiformes. Le développement y fait défaut. En effet, la vétusté des habitations est la principale cause du marasme des citoyens. A cela s'ajoute le blocage du programme de l'aide à l'auto-construction (FONAL) en raison de l'absence d'actes de propriété. Cela constitue un handicap pour tant de postulants de ce programme qui suscite déjà une alternative quant à la résolution de la crise de logement. En outre, le déficit en infrastructures de base, dans le village pénalise durement les villageois qui ne savent plus à quel saint se vouer. La fermeture de la salle de soins du village et ce, après avoir été endommagée par le séisme de 2003, a accentué le désarroi de la population, car pour une simple injection ou un changement de pansement, les malades se déplacent vers le chef-lieu de la commune. Cela sans parler encore du manque de transport dans la région. Et pour alléger un tant soit peu la souffrance des malades, les autorités locales ont installé, d'une manière provisoire un chalet pour les petits soins. Par ailleurs, selon des informations recueillies, les responsables locaux, ont inscrit, dans le cadre des PCD 2006, un projet de réalisation d'une salle de soins avec une enveloppe financière de trois millions DA, mais l'avis d'appel d'offres a été infructueux. L'état dans lequel se trouvent les routes du village est désastreux. Pourtant ce petit bourg est lié au chef-lieu uniquement par deux voies. Un projet de revêtement des routes a été inscrit par l'APC et en collaboration avec les services des forêts dans le cadre de PPDRI en vue de desserrer et rendre fluide le trafic routier dans le village. En outre, les lycéens sont toujours pénalisés faute d'absence d'un lycée dans leur localité. Dans ce cas, ils sont scolarisés au niveau des établissements du secondaire de la ville de Bordj Ménaïel. Cette situation est appuyée par l'absence de transport scolaire. Les jeunes sont la proie des maux sociaux, car le seul endroit où se divertir est la maison de jeunes de cap Djenet qui est en chantier depuis des années. Hormis le stade du chef-lieu, aucune infrastructure n'est en mesure d'accueillir la masse juvénile. Des projets d'envergure, notamment des infrastructures pour jeunes ont été inscrits au profit de cette commune, dont une auberge de jeunes et une piscine semi-olympique. Il convient de rappeler que le village Ben Ouali, était un camp de concentration de l'armée française en 1958, pendant la Guerre de libération. Les quelque 4.000 habitants du village Ben Ouali au sud de la commune de Cap Djenet à 35 km à l'est de Boumerdès vivent depuis des années dans des problèmes multiformes. Le développement y fait défaut. En effet, la vétusté des habitations est la principale cause du marasme des citoyens. A cela s'ajoute le blocage du programme de l'aide à l'auto-construction (FONAL) en raison de l'absence d'actes de propriété. Cela constitue un handicap pour tant de postulants de ce programme qui suscite déjà une alternative quant à la résolution de la crise de logement. En outre, le déficit en infrastructures de base, dans le village pénalise durement les villageois qui ne savent plus à quel saint se vouer. La fermeture de la salle de soins du village et ce, après avoir été endommagée par le séisme de 2003, a accentué le désarroi de la population, car pour une simple injection ou un changement de pansement, les malades se déplacent vers le chef-lieu de la commune. Cela sans parler encore du manque de transport dans la région. Et pour alléger un tant soit peu la souffrance des malades, les autorités locales ont installé, d'une manière provisoire un chalet pour les petits soins. Par ailleurs, selon des informations recueillies, les responsables locaux, ont inscrit, dans le cadre des PCD 2006, un projet de réalisation d'une salle de soins avec une enveloppe financière de trois millions DA, mais l'avis d'appel d'offres a été infructueux. L'état dans lequel se trouvent les routes du village est désastreux. Pourtant ce petit bourg est lié au chef-lieu uniquement par deux voies. Un projet de revêtement des routes a été inscrit par l'APC et en collaboration avec les services des forêts dans le cadre de PPDRI en vue de desserrer et rendre fluide le trafic routier dans le village. En outre, les lycéens sont toujours pénalisés faute d'absence d'un lycée dans leur localité. Dans ce cas, ils sont scolarisés au niveau des établissements du secondaire de la ville de Bordj Ménaïel. Cette situation est appuyée par l'absence de transport scolaire. Les jeunes sont la proie des maux sociaux, car le seul endroit où se divertir est la maison de jeunes de cap Djenet qui est en chantier depuis des années. Hormis le stade du chef-lieu, aucune infrastructure n'est en mesure d'accueillir la masse juvénile. Des projets d'envergure, notamment des infrastructures pour jeunes ont été inscrits au profit de cette commune, dont une auberge de jeunes et une piscine semi-olympique. Il convient de rappeler que le village Ben Ouali, était un camp de concentration de l'armée française en 1958, pendant la Guerre de libération.