Aucune aire de jeu, aucune maison de jeunes, aucun lieu de loisir, pas de dispensaire, même pas de mosquée, les gens de ce village n'ont d'autre choix que de se rendre dans les villages alentour pour s'approvisionner ou pour s'offrir un café. Aucune aire de jeu, aucune maison de jeunes, aucun lieu de loisir, pas de dispensaire, même pas de mosquée, les gens de ce village n'ont d'autre choix que de se rendre dans les villages alentour pour s'approvisionner ou pour s'offrir un café. Loin du brouhaha quotidien des grandes villes, le village de Laanacer semble de prime abord, accepter son sort de vivre dans l'anonymat, avec toutes les difficultés qui en découlent, puisque le comité de village qui, en principe devrait l'aider à sortir de sa léthargie, n'existe pas ou presque. Malgré sa position qui le place comme l'un des villages les plus proches de la commune et du chef-lieu de daïra, Laanacer qui se trouve à mi-chemin entre El Masloub et Tigrine, n'a pas de route bitumée, autrement dit carrossable. Selon les habitants, seule une catégorie de véhicules et les tracteurs sont capables de rallier le village, sinon le parcours est boudé par les voitures, sauf dans le cas de force majeure. Ce qui préoccupe davantage les habitants de cette bourgade où vivent 8000 âmes, en plus de l'assainissement qui n'existe pas, sont les infrastructures éducatives, puisque le village ne dispose même pas d'une école primaire. Aucune aire de jeu, aucune maison de jeunes, aucun lieu de loisir, pas de dispensaire, même pas de mosquée, les gens de ce village n'ont d'autre choix que de se rendre dans les villages alentour pour s'approvisionner ou pour s'offrir un café. En tout et pour tout, trois alimentations générales essaient, bon gré mal gré, de répondres eux besoins des habitants du village en produits de première nécessité, sinon tous les autres aliments, y compris les viandes, les gens s'approvisionnent à partir du chef-lieu de commune, c'est-à-dire Mekla. Paradoxalement, le gaz de ville est arrivé au même titre que l'électricité, alors que la réalisation des canalisations d'eau potable n'est même pas envisagée pour l'instant. Dès qu'on a vu les engins arriver pour effectuer les travaux de raccordement, personnellement j'ai compris, que le problème de l'eau est définitivement réglé pour nous, fera constater un habitant du village, finalement c'était pour le gaz. ‘‘Je ne dis pas que le gaz naturel n'est pas une priorité, mais voyez vous, si on a un choix à faire, on aurait tous opter pour l'eau en premier'', diront les riverains En effet, à part la fontaine publique, quelques sources aux alentours du village et les puits privés, Laanacer, malgré le sens étymologique de son nom, souffre énormément du problème de l'eau, surtout pendant la période estivale. Des promesses, on en a eu tout le temps, surtout en période pré électorale et électorale, dira en guise de conclusion un citoyen du village, mais jusqu'à l'heure actuelle, ça reste toujours des promesses sans suite. Loin du brouhaha quotidien des grandes villes, le village de Laanacer semble de prime abord, accepter son sort de vivre dans l'anonymat, avec toutes les difficultés qui en découlent, puisque le comité de village qui, en principe devrait l'aider à sortir de sa léthargie, n'existe pas ou presque. Malgré sa position qui le place comme l'un des villages les plus proches de la commune et du chef-lieu de daïra, Laanacer qui se trouve à mi-chemin entre El Masloub et Tigrine, n'a pas de route bitumée, autrement dit carrossable. Selon les habitants, seule une catégorie de véhicules et les tracteurs sont capables de rallier le village, sinon le parcours est boudé par les voitures, sauf dans le cas de force majeure. Ce qui préoccupe davantage les habitants de cette bourgade où vivent 8000 âmes, en plus de l'assainissement qui n'existe pas, sont les infrastructures éducatives, puisque le village ne dispose même pas d'une école primaire. Aucune aire de jeu, aucune maison de jeunes, aucun lieu de loisir, pas de dispensaire, même pas de mosquée, les gens de ce village n'ont d'autre choix que de se rendre dans les villages alentour pour s'approvisionner ou pour s'offrir un café. En tout et pour tout, trois alimentations générales essaient, bon gré mal gré, de répondres eux besoins des habitants du village en produits de première nécessité, sinon tous les autres aliments, y compris les viandes, les gens s'approvisionnent à partir du chef-lieu de commune, c'est-à-dire Mekla. Paradoxalement, le gaz de ville est arrivé au même titre que l'électricité, alors que la réalisation des canalisations d'eau potable n'est même pas envisagée pour l'instant. Dès qu'on a vu les engins arriver pour effectuer les travaux de raccordement, personnellement j'ai compris, que le problème de l'eau est définitivement réglé pour nous, fera constater un habitant du village, finalement c'était pour le gaz. ‘‘Je ne dis pas que le gaz naturel n'est pas une priorité, mais voyez vous, si on a un choix à faire, on aurait tous opter pour l'eau en premier'', diront les riverains En effet, à part la fontaine publique, quelques sources aux alentours du village et les puits privés, Laanacer, malgré le sens étymologique de son nom, souffre énormément du problème de l'eau, surtout pendant la période estivale. Des promesses, on en a eu tout le temps, surtout en période pré électorale et électorale, dira en guise de conclusion un citoyen du village, mais jusqu'à l'heure actuelle, ça reste toujours des promesses sans suite.