Les maquisards de Béjaïa attendent impatiemment les festivités de cette date historique indélébile dans la grande histoire de la Révolution armée ayant duré plus de sept années. Les maquisards de Béjaïa attendent impatiemment les festivités de cette date historique indélébile dans la grande histoire de la Révolution armée ayant duré plus de sept années. Au début du mois d'août, des moudjahidine de la région de Béjaia -certains d'entre eux sont septuagénaires et d'autres octogénaires -, nous ont raconté quelques périphéries de la réunion historique de la glorieuse préparation à l'offensive du 20 Août 1955 qui a vu l'intensification de la guerre de Libération nationale contre le colonialisme. Ainsi, un ancien combattant, aujourd'hui âgé de plus de 80 ans, nous a affirmé que «le devoir de mémoire nous interpelle tous afin de lutter contre la culture de l'oubli et d'honorer le combat libérateur des chouhada et d'entretenir le sens du sacrifice pour les générations post-Indépendance». Presque invalide, il arrive difficilement à se mettre debout en raison de handicaps aux deux jambes, cet ancien maquisard possède une mémoire phénoménale en affirmant que les noms des officiers ayant provoqué et dirigé cette réunion d'Ifri le 20 Août 1956 sont gravés à jamais dans sa mémoire. «Les noms de colonels et de responsables politiques du l'ALN et du FLN, qui se sont réunis dans l'enceinte des deux pièces de cette maison d'Ifri, transformée en Musée national du congrès de la Soummam sont Abane Ramdane, Krim Belkacem, Larbi Ben M'hidi et Amirouche qui avaient également et surtout veillé sur la sécurité des congressistes». Les maquisards de cette région du pays qui ont tant donné pour contribuer activement et courageusement à la libération et à l'indépendance du pays attendent impatiemment les festivités de cette date historique indélébile dans la grande histoire de la Révolution armée ayant duré plus de sept années. Ainsi, un autre moudjahid s'exprimant avec une grande fierté nous a déclaré que «le plus important surtout, ce sont les décisions adoptées lors de cette réunion en vue d'organiser et d'intensifier des actions de la lutte armée dans un cadre politique et militaire unifié». Un autre ancien combattant, son compagnon d'armes, nous relate la période coloniale durement vécue par les habitants et les familles des hameaux aux alentaours de la ville de Béjaia en disant que «ces gens sont pour la plupart des familles qui ont été expulsées du village d'Ifri avant de le raser à coups de canons et de tirs de mortiers. Elles attendent toujours leur recasement par la wilaya de Béjaia pour pouvoir occuper des logements viables, dignes et décents». Le maquisard Si Rabah veut commémorer convenablement et avec faste cet anniversaire important et significatif des évènements ayant marqué l'histoire de l'Algérie contemporaine. «Mais nous attendons l'aide de la wilaya pour avoir plus de moyens, ce qui nous permettra de mettre en place un programme riche en activités et festivités», a-t-il souligné. Les habitants d'Ouzellaguen entendent donc donner un cachet particulier à la célébration du 53e anniversaire du Congrès de la Soummam et, en attendant, il ne veulent pas oublier les chouhada et ceux qui ont donné leurs vies pour que l'Algérie vive libre et indépendante. Au début du mois d'août, des moudjahidine de la région de Béjaia -certains d'entre eux sont septuagénaires et d'autres octogénaires -, nous ont raconté quelques périphéries de la réunion historique de la glorieuse préparation à l'offensive du 20 Août 1955 qui a vu l'intensification de la guerre de Libération nationale contre le colonialisme. Ainsi, un ancien combattant, aujourd'hui âgé de plus de 80 ans, nous a affirmé que «le devoir de mémoire nous interpelle tous afin de lutter contre la culture de l'oubli et d'honorer le combat libérateur des chouhada et d'entretenir le sens du sacrifice pour les générations post-Indépendance». Presque invalide, il arrive difficilement à se mettre debout en raison de handicaps aux deux jambes, cet ancien maquisard possède une mémoire phénoménale en affirmant que les noms des officiers ayant provoqué et dirigé cette réunion d'Ifri le 20 Août 1956 sont gravés à jamais dans sa mémoire. «Les noms de colonels et de responsables politiques du l'ALN et du FLN, qui se sont réunis dans l'enceinte des deux pièces de cette maison d'Ifri, transformée en Musée national du congrès de la Soummam sont Abane Ramdane, Krim Belkacem, Larbi Ben M'hidi et Amirouche qui avaient également et surtout veillé sur la sécurité des congressistes». Les maquisards de cette région du pays qui ont tant donné pour contribuer activement et courageusement à la libération et à l'indépendance du pays attendent impatiemment les festivités de cette date historique indélébile dans la grande histoire de la Révolution armée ayant duré plus de sept années. Ainsi, un autre moudjahid s'exprimant avec une grande fierté nous a déclaré que «le plus important surtout, ce sont les décisions adoptées lors de cette réunion en vue d'organiser et d'intensifier des actions de la lutte armée dans un cadre politique et militaire unifié». Un autre ancien combattant, son compagnon d'armes, nous relate la période coloniale durement vécue par les habitants et les familles des hameaux aux alentaours de la ville de Béjaia en disant que «ces gens sont pour la plupart des familles qui ont été expulsées du village d'Ifri avant de le raser à coups de canons et de tirs de mortiers. Elles attendent toujours leur recasement par la wilaya de Béjaia pour pouvoir occuper des logements viables, dignes et décents». Le maquisard Si Rabah veut commémorer convenablement et avec faste cet anniversaire important et significatif des évènements ayant marqué l'histoire de l'Algérie contemporaine. «Mais nous attendons l'aide de la wilaya pour avoir plus de moyens, ce qui nous permettra de mettre en place un programme riche en activités et festivités», a-t-il souligné. Les habitants d'Ouzellaguen entendent donc donner un cachet particulier à la célébration du 53e anniversaire du Congrès de la Soummam et, en attendant, il ne veulent pas oublier les chouhada et ceux qui ont donné leurs vies pour que l'Algérie vive libre et indépendante.