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Grâce à l'Etusa, la ville revit la nuit
Soirées ramadhanesques
Publié dans Le Midi Libre le 29 - 08 - 2009

Alger renoue avec l'animation nocturne, chaque année, pour le mois de ramadhan. Jusqu'ici les familles non véhiculées ne pouvaient pas se déplacer hors des limites de leurs quartiers et se limitaient à des petites virées dans leurs quartiers ou dans les proches alentours. L'Etusa a mis fin à ces contraintes en mettant, de 20h à 1h du matin, à la disposition des familles des bus desservant plusieurs lignes.
Alger renoue avec l'animation nocturne, chaque année, pour le mois de ramadhan. Jusqu'ici les familles non véhiculées ne pouvaient pas se déplacer hors des limites de leurs quartiers et se limitaient à des petites virées dans leurs quartiers ou dans les proches alentours. L'Etusa a mis fin à ces contraintes en mettant, de 20h à 1h du matin, à la disposition des familles des bus desservant plusieurs lignes.
La vie nocturne reprend, comme de coutume, ses droits durant le ramadhan. Les boulevards du centre d'Alger sont envahis juste après le «f'tour» par des familles flânant en toute sérénité dans une ville qui accepte de secouer sa torpeur en l'honneur de «Sidna Ramadhan». Plusieurs facteurs ont été mis en place pour les déplacements et la sécurité des familles. Outre le facteur sécuritaire, il y a le facteur clé : le transport nocturne sans lequel les personnes non véhiculées sont obligées de rester confinées chez elles. L'Entreprise de transport urbain et suburbain d'Alger (Etusa) assure donc le transport dess familles durant les longues soirées du ramadhan. Cela était d'ailleurs déjà le cas l'année dernière. Cette année toutefois, l'Etusa a décidé, au grand bonheur de ses usagers, de prolonger ses navettes jusqu'à des heures avancées dans la nuit. Selon des affiches placardées à l'intérieur de tous les bus de l'Etusa, cette couverture de transport nocturne concerne environ 90% des lignes desservant la banlieue et le centre d'Alger. Les bus de l'Etusa commenceront leurs navettes nocturnes à partir de vingt heures et continueront à convoyer les familles jusqu'à une heure de matin, contrairement à l'année passée où les bus arrêtaient de circuler à minuit. Les axes desservis, cette année, sont également plus nombreux et mieux diversifiés : Alger-Centre, Ben Aknoun, Bachdjarah, El Harrach et d'autres nombreuses lignes sont en effet assurées durant tout le mois de ramadhan de 20h à 1h du matin.
Les soirées d'Alger-Centre ne manqueront pas ainsi d'animation, les familles étant débarrassées de la contrainte du problème de transport pris en charge par l'Etusa. D'ailleurs, les premiers jours du ramadhan ont démontré un résultat plus que satisfaisant, au vue de l'afflux des usagers ayant envahi les principales artères de la capitale. Cette animation et ambiance se retrouvent aussi bien au niveau des artères principales que dans les quartiers populaires à l'image de Bab El-Oued. Cette commune connaît, tout de suite après le «f'tour» le va-et-vient incessant de familles accompagnées de leurs enfants. La destination privilégiée de ces familles reste El Kettani, une promenade côtoyant une plage populaire entièrement repensée et équipée d'un manège faisant le bonheur des plus jeunes. D'autres familles se contentent de profiter de l'air marin en dégustant une glace ou un sorbet sous les étoiles pendant que les plus téméraires se plongent dans la grande bleue pour des bains de nuit. Tous ces petits bonheurs ont pu être appréciés par les Algérois grâce à l'entière disponibilité de l'Etusa...
La vie nocturne reprend, comme de coutume, ses droits durant le ramadhan. Les boulevards du centre d'Alger sont envahis juste après le «f'tour» par des familles flânant en toute sérénité dans une ville qui accepte de secouer sa torpeur en l'honneur de «Sidna Ramadhan». Plusieurs facteurs ont été mis en place pour les déplacements et la sécurité des familles. Outre le facteur sécuritaire, il y a le facteur clé : le transport nocturne sans lequel les personnes non véhiculées sont obligées de rester confinées chez elles. L'Entreprise de transport urbain et suburbain d'Alger (Etusa) assure donc le transport dess familles durant les longues soirées du ramadhan. Cela était d'ailleurs déjà le cas l'année dernière. Cette année toutefois, l'Etusa a décidé, au grand bonheur de ses usagers, de prolonger ses navettes jusqu'à des heures avancées dans la nuit. Selon des affiches placardées à l'intérieur de tous les bus de l'Etusa, cette couverture de transport nocturne concerne environ 90% des lignes desservant la banlieue et le centre d'Alger. Les bus de l'Etusa commenceront leurs navettes nocturnes à partir de vingt heures et continueront à convoyer les familles jusqu'à une heure de matin, contrairement à l'année passée où les bus arrêtaient de circuler à minuit. Les axes desservis, cette année, sont également plus nombreux et mieux diversifiés : Alger-Centre, Ben Aknoun, Bachdjarah, El Harrach et d'autres nombreuses lignes sont en effet assurées durant tout le mois de ramadhan de 20h à 1h du matin.
Les soirées d'Alger-Centre ne manqueront pas ainsi d'animation, les familles étant débarrassées de la contrainte du problème de transport pris en charge par l'Etusa. D'ailleurs, les premiers jours du ramadhan ont démontré un résultat plus que satisfaisant, au vue de l'afflux des usagers ayant envahi les principales artères de la capitale. Cette animation et ambiance se retrouvent aussi bien au niveau des artères principales que dans les quartiers populaires à l'image de Bab El-Oued. Cette commune connaît, tout de suite après le «f'tour» le va-et-vient incessant de familles accompagnées de leurs enfants. La destination privilégiée de ces familles reste El Kettani, une promenade côtoyant une plage populaire entièrement repensée et équipée d'un manège faisant le bonheur des plus jeunes. D'autres familles se contentent de profiter de l'air marin en dégustant une glace ou un sorbet sous les étoiles pendant que les plus téméraires se plongent dans la grande bleue pour des bains de nuit. Tous ces petits bonheurs ont pu être appréciés par les Algérois grâce à l'entière disponibilité de l'Etusa...


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