Deux femmes ont été agressées en plein après-midi mardi passé au niveau de la station des bus du 1er-Mai. La même journée, deux heures après la rupture de jeûne, une jeune fille a été sauvagement agressée par deux voyous qui l'ont dépouillé de son sac et de son portable. Ces agressions se sont déroulées devant des dizaines d'usagers et des employé de l'UGCTU. Les présents se sont contentés de détourner pudiquement les yeux pour ne pas être impliqués dans ces actes de «hogra». L'esprit chevaleresque n'est plus de mise face à ces petites malfrats qui ont vite fait de «dégainer» leurs lames blanches. Paradoxe, le mois de ramadhan censé être dédié à la piété voit s'exacerber ce phénomène de la violence. Les agents de l'UGCTU ne sont malheureusement pas outillés pour intervenir dans les cas de dépassement ou d'agression physique et il n'est pas évident de placer derrière chaque Algérois un agent de l'ordre. Interrogé à ce sujet, plusieurs agents de l'UGCTU nous avoueront qu'eux-mêmes ont fait l'objet de plusieurs agressions. «Seule la présence des services de sécurité au niveau des stations pourrait contribuer à faire reculer, voire éradiquer ces actes de vols et de violence», nous expliquent des employés. La station de bus de Ben Aknoun à l'inverse de celle de la place du 1er-Mai, connait très peu d'actes de violence, elle est classée parmi les stations les plus sécurisées dans la capitale, nous affirment des agents de l'UGCU activant au niveau de cette station. Les raisons de cette sécurité ne sont nullement un mystère puisque quotidiennement sont présentes sur les lieux deux ou trois voitures de la Sécurité nationale. Les policiers présents, même la nuit, n'hésitent pas à interpeller toute personne suspecte. Il faut dire que durant le mois de ramadhan les stations de bus de l'Etusa connaissent un flot ininterrompu d'usagers durant la soirée. Cette conjoncture est mise à profit par les voleurs et autres malfrats pour exécuter leurs mauvais coups en se dissimulant dans les endroits mal éclairés, seule la présence des forces de l'ordre peut les en dissuader. Deux femmes ont été agressées en plein après-midi mardi passé au niveau de la station des bus du 1er-Mai. La même journée, deux heures après la rupture de jeûne, une jeune fille a été sauvagement agressée par deux voyous qui l'ont dépouillé de son sac et de son portable. Ces agressions se sont déroulées devant des dizaines d'usagers et des employé de l'UGCTU. Les présents se sont contentés de détourner pudiquement les yeux pour ne pas être impliqués dans ces actes de «hogra». L'esprit chevaleresque n'est plus de mise face à ces petites malfrats qui ont vite fait de «dégainer» leurs lames blanches. Paradoxe, le mois de ramadhan censé être dédié à la piété voit s'exacerber ce phénomène de la violence. Les agents de l'UGCTU ne sont malheureusement pas outillés pour intervenir dans les cas de dépassement ou d'agression physique et il n'est pas évident de placer derrière chaque Algérois un agent de l'ordre. Interrogé à ce sujet, plusieurs agents de l'UGCTU nous avoueront qu'eux-mêmes ont fait l'objet de plusieurs agressions. «Seule la présence des services de sécurité au niveau des stations pourrait contribuer à faire reculer, voire éradiquer ces actes de vols et de violence», nous expliquent des employés. La station de bus de Ben Aknoun à l'inverse de celle de la place du 1er-Mai, connait très peu d'actes de violence, elle est classée parmi les stations les plus sécurisées dans la capitale, nous affirment des agents de l'UGCU activant au niveau de cette station. Les raisons de cette sécurité ne sont nullement un mystère puisque quotidiennement sont présentes sur les lieux deux ou trois voitures de la Sécurité nationale. Les policiers présents, même la nuit, n'hésitent pas à interpeller toute personne suspecte. Il faut dire que durant le mois de ramadhan les stations de bus de l'Etusa connaissent un flot ininterrompu d'usagers durant la soirée. Cette conjoncture est mise à profit par les voleurs et autres malfrats pour exécuter leurs mauvais coups en se dissimulant dans les endroits mal éclairés, seule la présence des forces de l'ordre peut les en dissuader.