Le gardien de la paix, L.M., âgé de 40 ans, exerçant au sein de la sûreté de daïra de Chbaita-Mokhtar située à quelques encablures de la wilaya de Annaba avait pris la fuite après un triple meurtre commis à Sidi Salem, banlieue ouvrière où il résidait avec sa famille. Le présumé coupable se serait finalement rendu, selon des sources sécuritaires, aux éléments dex forces de l'ordre du commissariat de Chbaita-Mokhtar. Ses ex-collègues après l'avoir auditionné l'ont immédiatement transféré à la sûreté de wilaya de Annaba. Ce fonctionnaire de police, marié et père de deux enfants a, au cours d'une altercation avec des voisins à Sidi Salem, lors de la journée de vendredi, juste avant la rupture du jeûne, fait usage de son arme à feu (un berretta) et tué trois personnes d'une même famille avec laquelle il était, dit-on, en conflit depuis longtemps. Les corps des victimes, une femme et deux hommes, ont été évacués vers la morgue du CHU Ibn Rochd. Le présumé coupable affirmerait avoir «agi en légitime défense face au danger de mort présenté par ses voisins armés d'armes blanches». Une thèse en contradiction avec les versions données par des témoins oculaires, voisins des protagonistes et qui ont affirmé à la presse et aux enquêteurs que le policier était dans un état hystérique et aurait poursuivi ses victimes jusqu'à l'intérieur de leur appartement. Néanmoins, seule l'enquête diligentée par la brigade criminelle sera à même de déterminer le mobile et les circonstances exactes de ce drame. Le gardien de la paix, L.M., âgé de 40 ans, exerçant au sein de la sûreté de daïra de Chbaita-Mokhtar située à quelques encablures de la wilaya de Annaba avait pris la fuite après un triple meurtre commis à Sidi Salem, banlieue ouvrière où il résidait avec sa famille. Le présumé coupable se serait finalement rendu, selon des sources sécuritaires, aux éléments dex forces de l'ordre du commissariat de Chbaita-Mokhtar. Ses ex-collègues après l'avoir auditionné l'ont immédiatement transféré à la sûreté de wilaya de Annaba. Ce fonctionnaire de police, marié et père de deux enfants a, au cours d'une altercation avec des voisins à Sidi Salem, lors de la journée de vendredi, juste avant la rupture du jeûne, fait usage de son arme à feu (un berretta) et tué trois personnes d'une même famille avec laquelle il était, dit-on, en conflit depuis longtemps. Les corps des victimes, une femme et deux hommes, ont été évacués vers la morgue du CHU Ibn Rochd. Le présumé coupable affirmerait avoir «agi en légitime défense face au danger de mort présenté par ses voisins armés d'armes blanches». Une thèse en contradiction avec les versions données par des témoins oculaires, voisins des protagonistes et qui ont affirmé à la presse et aux enquêteurs que le policier était dans un état hystérique et aurait poursuivi ses victimes jusqu'à l'intérieur de leur appartement. Néanmoins, seule l'enquête diligentée par la brigade criminelle sera à même de déterminer le mobile et les circonstances exactes de ce drame.