«Il faut s'intéresser à jeter les bases d'une école nationale d'écriture de l'histoire». Cette recommandation a été faite au ministre des Moudjahidine, Mohamed Chérif Abbès par le président de la République qui l'a auditionné au cours d'une réunion d'évaluation consacrée au secteur des Moudjahidine. Soulignant son intérêt pour l'écriture de l'histoire le chef de l'Etat estime que «la recherche et l'activité scientifique et intellectuelle visant à protéger le patrimoine historique de la nation et à préserver sa mémoire en garantissant un apport effectif et efficient de l'histoire sont une nécessité dictée par la responsabilité de transmettre ce legs». Une responsabilité à laquelle est accordée une importance toute particulière par le ministère des Moudjahidine qui assure que « le secteur est à pied d'œuvre pour la concrétisation d'un programme très important portant sur la réalisation de musées, d'infrastructures et d'œuvres matérielles et artistiques mais aussi sur les travaux de recherche historique et intellectuelle et de collecte de la matière nécessaire pour la consolidation des bases d'une école algérienne d'histoire». Les efforts consentis en la matière par le secteur sont insuffisants, juge Abdelaziz Bouteflika qui demande à ce qu'ils doivent être «appelés à évoluer tous azimuts dans le cadre du nouveau programme quinquennal». Après l'histoire, la situation sociale des moudjahidine est abordée par le président de la République qui a fait part de son grand intérêt concernant les résultats obtenus dans le cadre du programme présidentiel relatif à l'amélioration de la situation des moudjahidine notamment les grands invalides et la prise en charge sociale et sanitaire de cette catégorie qui s'est sacrifiée pour le recouvrement de la souveraineté nationale. C'est ainsi que le parachèvement de l'élaboration de textes relatifs à la mise en œuvre des dispositions de la loi sur le moudjahid et le chahid a offert l'opportunité d'élargir la prise en charge à tous les ayants-droit. Une telle démarche devant être sous-tendue par un effort d'amélioration de la qualité des prestations administratives et financières aux niveaux central et local. Les réalisations accomplies dans divers domaines conformément aux orientations données précédemment par le président de la République visent, selon le ministère des Moudjahidine, à l'intensification les efforts à même d'améliorer la situation socio-sanitaire et psychologique des parents et veuves de chouhada, de moudjahidine et des ayants-droit ainsi que la promotion des prestations qui leur sont offertes en tenant compte de la spécificité de la situation de cette frange. «Il faut s'intéresser à jeter les bases d'une école nationale d'écriture de l'histoire». Cette recommandation a été faite au ministre des Moudjahidine, Mohamed Chérif Abbès par le président de la République qui l'a auditionné au cours d'une réunion d'évaluation consacrée au secteur des Moudjahidine. Soulignant son intérêt pour l'écriture de l'histoire le chef de l'Etat estime que «la recherche et l'activité scientifique et intellectuelle visant à protéger le patrimoine historique de la nation et à préserver sa mémoire en garantissant un apport effectif et efficient de l'histoire sont une nécessité dictée par la responsabilité de transmettre ce legs». Une responsabilité à laquelle est accordée une importance toute particulière par le ministère des Moudjahidine qui assure que « le secteur est à pied d'œuvre pour la concrétisation d'un programme très important portant sur la réalisation de musées, d'infrastructures et d'œuvres matérielles et artistiques mais aussi sur les travaux de recherche historique et intellectuelle et de collecte de la matière nécessaire pour la consolidation des bases d'une école algérienne d'histoire». Les efforts consentis en la matière par le secteur sont insuffisants, juge Abdelaziz Bouteflika qui demande à ce qu'ils doivent être «appelés à évoluer tous azimuts dans le cadre du nouveau programme quinquennal». Après l'histoire, la situation sociale des moudjahidine est abordée par le président de la République qui a fait part de son grand intérêt concernant les résultats obtenus dans le cadre du programme présidentiel relatif à l'amélioration de la situation des moudjahidine notamment les grands invalides et la prise en charge sociale et sanitaire de cette catégorie qui s'est sacrifiée pour le recouvrement de la souveraineté nationale. C'est ainsi que le parachèvement de l'élaboration de textes relatifs à la mise en œuvre des dispositions de la loi sur le moudjahid et le chahid a offert l'opportunité d'élargir la prise en charge à tous les ayants-droit. Une telle démarche devant être sous-tendue par un effort d'amélioration de la qualité des prestations administratives et financières aux niveaux central et local. Les réalisations accomplies dans divers domaines conformément aux orientations données précédemment par le président de la République visent, selon le ministère des Moudjahidine, à l'intensification les efforts à même d'améliorer la situation socio-sanitaire et psychologique des parents et veuves de chouhada, de moudjahidine et des ayants-droit ainsi que la promotion des prestations qui leur sont offertes en tenant compte de la spécificité de la situation de cette frange.