Une meprise dans l'interprétation des propos du wali de Annaba, repris sur les ondes de la radio régionale d'Annaba, au sujet de l'état physique de la cokerie du complexe sidérurgique d'Arcelor Mittal, à El Hadjar, a créé une alerte générale au niveau de la centrale syndicale et du ministère de l'Industrie, selon le secrétaire général du syndicat d'Arcelor Mittal, Smaïl Kouadria. "On m'a appellé du cabinet de Sidi Saïd et des rédactions de chaines de radios nationales, pour s'enquérir de la véracité de l'information diffusée par la radio d'Annaba, au sujet de la fermeture imminente du complexe, suite à la défaillance complexe de la cokerie arrivée au stade ultime de son fonctionnement". L'info (ou l'intox) en question, qui s'est répandue comme une trainée de poudre, sur place, a également suscité une vive inquiétude au sein de la population et des sidérurgistes. Toujours est-il, c'est ce qu'affirme M. Kouadria, la cokerie a tout simplement fait l'objet d'un arrêt programmé au courant de la semaine, en vue de permettre à l'équipe d'experts d'évaluer les déficiences physiques de cette unité de production qui présente, depuis juillet, des signes évidents de "fatigue", puisque l'ossature métallique se trouve en fin de campagne, après 30 années de service. Et d'ajouter que la réhabilitation de la cokerie est devenue impérative, prévenant que tout prolongement de son exploitation comporte des risques dangereux. Une meprise dans l'interprétation des propos du wali de Annaba, repris sur les ondes de la radio régionale d'Annaba, au sujet de l'état physique de la cokerie du complexe sidérurgique d'Arcelor Mittal, à El Hadjar, a créé une alerte générale au niveau de la centrale syndicale et du ministère de l'Industrie, selon le secrétaire général du syndicat d'Arcelor Mittal, Smaïl Kouadria. "On m'a appellé du cabinet de Sidi Saïd et des rédactions de chaines de radios nationales, pour s'enquérir de la véracité de l'information diffusée par la radio d'Annaba, au sujet de la fermeture imminente du complexe, suite à la défaillance complexe de la cokerie arrivée au stade ultime de son fonctionnement". L'info (ou l'intox) en question, qui s'est répandue comme une trainée de poudre, sur place, a également suscité une vive inquiétude au sein de la population et des sidérurgistes. Toujours est-il, c'est ce qu'affirme M. Kouadria, la cokerie a tout simplement fait l'objet d'un arrêt programmé au courant de la semaine, en vue de permettre à l'équipe d'experts d'évaluer les déficiences physiques de cette unité de production qui présente, depuis juillet, des signes évidents de "fatigue", puisque l'ossature métallique se trouve en fin de campagne, après 30 années de service. Et d'ajouter que la réhabilitation de la cokerie est devenue impérative, prévenant que tout prolongement de son exploitation comporte des risques dangereux.