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«Je n'aurai de cesse de dénoncer la hogra administrative»
Le P/APC de Dély Ibrahim réagit à sa destitution
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 10 - 2009

«J'accepte d'être le premier maire démis de ses fonctions, mais j'ose espèrer être le dernier. Il nous faut réagir et faire face à ces dépassements administratifs dangereux. Au delà des recours, je dénoncerais toujours la hogra administrative». Ce sont les propos du premier maire démis de ses fonctions dans la capitale. Ainsi l'affaire du maire de Delly Ibrahim a connu son dénouement qui n'agrée pas tout le monde.
«J'accepte d'être le premier maire démis de ses fonctions, mais j'ose espèrer être le dernier. Il nous faut réagir et faire face à ces dépassements administratifs dangereux. Au delà des recours, je dénoncerais toujours la hogra administrative». Ce sont les propos du premier maire démis de ses fonctions dans la capitale. Ainsi l'affaire du maire de Delly Ibrahim a connu son dénouement qui n'agrée pas tout le monde.
Deux jours après la décision du wali d'Alger de destituer le président de l'assemblée populaire communale de Dély Ibrahim, en l'occurrence Brahim Sedrati, ce dernier n'est pas resté les bras croisés. Il a organisé, hier mardi une conférence de presse au sein de sa résidence. La décision du wali d'Alger de désigner Kamel Hamza à la tête de l'assemblée est décriée, rejetée et contestée par le maire concerné par cette éviction. M. Sedrati soulignera que «cette action est une violation flagrante de la loi notamment de l'article 48 du Code communal». A cet effet, le maire évincé demande sollicite le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, de demander l'ouverture d'une enquête approfondie pour faire lalumière sur cette affaire quia beaucoup fait parler d'elle. Selon l'ex-maire, cela n'est nullement normal qu'un responsable fasse l'objet de destitution pour motif de mauvaise gestion des affaires de la commune, sans passer par la voie de la justice. « Je suis élu du peuple et je suis immunisé durant mon mandât, personne n'a le droit de m'empêcher de faire mon travail, pour lequel j'ai été élu, à l'exception des citoyens qui m'ont accordé leur confiance, ou encore par une décision de justice qui ferait suite à une violation quelquonque de la loi », a-t-il clamé en affirmant qu'il n'est l'auteur d'aucune violation de la loi. En usant de tous les arguments il se déclare victime de ce qu'il nomme «putsch administratif illégal» mené par ses pairs. Selon lui, le wali d'Alger n'est pas vraiment au courant de ce qui a pu se produire au cours des dix-huit mois de blocage connus par l'APC. « La preuve, argumente M. Sedrati c'est que durant toute cette période, j'ai rédigé et envoyé des rapports au wali d'Alger pour dénoncer et trouver une solution à la situation qui prévalait au sein de l'assemblée et qui pénalisait essentiellement le citoyen. Tous mes écrits et appels sont restés vains. Je n'ai reçu aucun écho de la part de wali. C'est ce qui me laisse croire que même lui, serait victime de ce putsch». La décision du wali de mettre en application la décision de destitution a été fondée uniquement sur les seuls rapports envoyés par les élus opposants, par la voix du wali délégué. Ce qui laisserait penser, toujours d'après les propos de l'ex-P/APC, que le wali délégué de la circonscription de Cheraga serait le principal instigateurr de cette décision. Genèse de l'affaire Faut-il rappeler que la première démarche visant à destituer l'ex- P/APC a été menée durant déjà les premiers jours de l'installation de l'assemblée. A l'époque la wilaya déléguée s'était référée à la demande en date du 22 septembre dernier dans laquelle huit élus issus de quatre formations politiques (FLN, FFS, RND et PT), sur un total de onze élus, soit la composante de l'assemblée, ont fait cause commune et front contre Brahim Sedrati, élu sur une liste indépendante, auquel ils ont retiré leur confiance, bloquant ainsi les affaires de la commune durant de longs mois avant cette intervention extrême du wali d'Alger. Les citoyens, quant à eux, assistent impuissants à cette guéguérre. Pour rappel Brahim Sedrati a déjà été élu,par le passé par les résidants de Delly Ibrahim, qui aujourd'hui ne savent plus que penser, ni quelle attitude adopter.
Deux jours après la décision du wali d'Alger de destituer le président de l'assemblée populaire communale de Dély Ibrahim, en l'occurrence Brahim Sedrati, ce dernier n'est pas resté les bras croisés. Il a organisé, hier mardi une conférence de presse au sein de sa résidence. La décision du wali d'Alger de désigner Kamel Hamza à la tête de l'assemblée est décriée, rejetée et contestée par le maire concerné par cette éviction. M. Sedrati soulignera que «cette action est une violation flagrante de la loi notamment de l'article 48 du Code communal». A cet effet, le maire évincé demande sollicite le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, de demander l'ouverture d'une enquête approfondie pour faire lalumière sur cette affaire quia beaucoup fait parler d'elle. Selon l'ex-maire, cela n'est nullement normal qu'un responsable fasse l'objet de destitution pour motif de mauvaise gestion des affaires de la commune, sans passer par la voie de la justice. « Je suis élu du peuple et je suis immunisé durant mon mandât, personne n'a le droit de m'empêcher de faire mon travail, pour lequel j'ai été élu, à l'exception des citoyens qui m'ont accordé leur confiance, ou encore par une décision de justice qui ferait suite à une violation quelquonque de la loi », a-t-il clamé en affirmant qu'il n'est l'auteur d'aucune violation de la loi. En usant de tous les arguments il se déclare victime de ce qu'il nomme «putsch administratif illégal» mené par ses pairs. Selon lui, le wali d'Alger n'est pas vraiment au courant de ce qui a pu se produire au cours des dix-huit mois de blocage connus par l'APC. « La preuve, argumente M. Sedrati c'est que durant toute cette période, j'ai rédigé et envoyé des rapports au wali d'Alger pour dénoncer et trouver une solution à la situation qui prévalait au sein de l'assemblée et qui pénalisait essentiellement le citoyen. Tous mes écrits et appels sont restés vains. Je n'ai reçu aucun écho de la part de wali. C'est ce qui me laisse croire que même lui, serait victime de ce putsch». La décision du wali de mettre en application la décision de destitution a été fondée uniquement sur les seuls rapports envoyés par les élus opposants, par la voix du wali délégué. Ce qui laisserait penser, toujours d'après les propos de l'ex-P/APC, que le wali délégué de la circonscription de Cheraga serait le principal instigateurr de cette décision. Genèse de l'affaire Faut-il rappeler que la première démarche visant à destituer l'ex- P/APC a été menée durant déjà les premiers jours de l'installation de l'assemblée. A l'époque la wilaya déléguée s'était référée à la demande en date du 22 septembre dernier dans laquelle huit élus issus de quatre formations politiques (FLN, FFS, RND et PT), sur un total de onze élus, soit la composante de l'assemblée, ont fait cause commune et front contre Brahim Sedrati, élu sur une liste indépendante, auquel ils ont retiré leur confiance, bloquant ainsi les affaires de la commune durant de longs mois avant cette intervention extrême du wali d'Alger. Les citoyens, quant à eux, assistent impuissants à cette guéguérre. Pour rappel Brahim Sedrati a déjà été élu,par le passé par les résidants de Delly Ibrahim, qui aujourd'hui ne savent plus que penser, ni quelle attitude adopter.


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