C'est aujourd'hui à 14 h 30, que le public des Journées cinématographiques du film national qui se sont ouvertes avant-hier à Saïda, découvre "Gabbla" de Tariq Téguia dont une partie du tournage s'est effectuée dans la région. Le film dont les premières séquences commencent à Oran, fait voyager le spectateur jusqu'à la frontière d'un pays sub-saharien. Une édifiante plongée dans les profondeurs du sud-ouest algérien avec le topographe Malek et une jeune migrante sub-saharienne. C'est aujourd'hui à 14 h 30, que le public des Journées cinématographiques du film national qui se sont ouvertes avant-hier à Saïda, découvre "Gabbla" de Tariq Téguia dont une partie du tournage s'est effectuée dans la région. Le film dont les premières séquences commencent à Oran, fait voyager le spectateur jusqu'à la frontière d'un pays sub-saharien. Une édifiante plongée dans les profondeurs du sud-ouest algérien avec le topographe Malek et une jeune migrante sub-saharienne. Le second long métrage de Tariq Téguia a obtenu le prix Fipresci de la critique internationale à la Mostra de Venise 2008. Après avoir été projeté en France en mars 2009, son avant-première nationale a eu lieu en mai 2009 à la salle El-Mougar d'Alger. Vivement salué par la presse nationale et internationale, le film a émerveillé le public et parfois dérangé. Le périple du topographe Malek (Kader Affak) qui raccompagne une jeune migrante sub-saharienne (Ina Rose Djakou) qui en route vers l'Europe via le Maroc change d'avis et fait demi-tour, ne peut laisser indifférent. C'est au tour du public de Saïda de découvrir l'art d'un réalisateur qui a impressionné son monde dès Roma wa la N'touma, son premier long métrage sorti en 2006 et qui a obtenu de nombreuses distinctions internationales. Les autres films récents au programme de la manifestation organisée par l'Association des loisirs scientifiques et culturels de Saïda avec l'aide de la Direction de la culture sont Mustapha Ben Boulaid du réalisateur Ahmed Rachedi et El Manara de Belkacem Hadjadj. Selon l'aps, l'évènement se déroule en présence de cinéastes connus comme Ahmed Rachedi, Belkacem Hadjadj, Tariq Teguia, Bachir Dries, Bahloul Abdelkrim, l'actrice Fatiha Berber et beaucoup d'autres. Après la projection de films nouveaux au théâtre de Saïda, des débats sont organisés. Des communications sont également animées par le professeur Hadj Bensalah qui se penche sur la situation du cinéma national. Des ateliers de formation dirigés par la cinéaste et scénariste Mina Guessar sont organisés à la maison de la culture Mustapha-Khalef de Saïda. Les ateliers de formation s'adressent à des jeunes amateurs et traitent de spécialités liées à l'industrie cinématographique : mise en scène, scénario, montage, techniques du son et d'image. Ces journées cinématographiques qui interviennent après celles de Béjaïa et d'Alger expriment de la part du mouvement associatif, une véritable préoccupation liée à une relance du cinéma algérien. Le second long métrage de Tariq Téguia a obtenu le prix Fipresci de la critique internationale à la Mostra de Venise 2008. Après avoir été projeté en France en mars 2009, son avant-première nationale a eu lieu en mai 2009 à la salle El-Mougar d'Alger. Vivement salué par la presse nationale et internationale, le film a émerveillé le public et parfois dérangé. Le périple du topographe Malek (Kader Affak) qui raccompagne une jeune migrante sub-saharienne (Ina Rose Djakou) qui en route vers l'Europe via le Maroc change d'avis et fait demi-tour, ne peut laisser indifférent. C'est au tour du public de Saïda de découvrir l'art d'un réalisateur qui a impressionné son monde dès Roma wa la N'touma, son premier long métrage sorti en 2006 et qui a obtenu de nombreuses distinctions internationales. Les autres films récents au programme de la manifestation organisée par l'Association des loisirs scientifiques et culturels de Saïda avec l'aide de la Direction de la culture sont Mustapha Ben Boulaid du réalisateur Ahmed Rachedi et El Manara de Belkacem Hadjadj. Selon l'aps, l'évènement se déroule en présence de cinéastes connus comme Ahmed Rachedi, Belkacem Hadjadj, Tariq Teguia, Bachir Dries, Bahloul Abdelkrim, l'actrice Fatiha Berber et beaucoup d'autres. Après la projection de films nouveaux au théâtre de Saïda, des débats sont organisés. Des communications sont également animées par le professeur Hadj Bensalah qui se penche sur la situation du cinéma national. Des ateliers de formation dirigés par la cinéaste et scénariste Mina Guessar sont organisés à la maison de la culture Mustapha-Khalef de Saïda. Les ateliers de formation s'adressent à des jeunes amateurs et traitent de spécialités liées à l'industrie cinématographique : mise en scène, scénario, montage, techniques du son et d'image. Ces journées cinématographiques qui interviennent après celles de Béjaïa et d'Alger expriment de la part du mouvement associatif, une véritable préoccupation liée à une relance du cinéma algérien.