Un investisseur privé originaire d'El-Tarf a décidé d'ouvrir une des plus belles libraires située sur le tronçon menant vers Zitouna et Ain-Kerma. Elle est un plus pour les nombreux étudiants fréquentant le campus universitaire d'El-Tarf, un soutien incontestablement dans la recherche pour l'élaboration des thèses, mémoires de fin d'année, etc. Un investisseur privé originaire d'El-Tarf a décidé d'ouvrir une des plus belles libraires située sur le tronçon menant vers Zitouna et Ain-Kerma. Elle est un plus pour les nombreux étudiants fréquentant le campus universitaire d'El-Tarf, un soutien incontestablement dans la recherche pour l'élaboration des thèses, mémoires de fin d'année, etc. Cette nouvelle librairie comporte un nombre considérable de titres d'ouvrages introuvables sur le marché. D'habitude, les lecteurs, chercheurs et autres sont contraints de se rendre jusqu'à la capitale de l'acier, Annaba pour pouvoir parfaire leurs travaux de recherche. C'est une librairie des plus modernes, nous disent les quelques étudiants que nous avions rencontrés à la recherche de titres de soutien pour leur différents cours de littérature arabe, vétérinaire biologie et agrovétérinaire, filières enseignées dans l'université d'El-Tarf. Une librairie facilement identifiable, elle se trouve à proximité d'un vendeur des pièces détachées et à dix mètres seulement du siège du palais de justice du chef-lieu de wilaya. Même les jeunes potaches trouvent leur compte, le libraire a tout un rayon réservé uniquement pour les livres de soutien scolaire allant la première année primaire jusqu'à la terminale. Celle-ci est très appréciée par les étudiants ainsi que les juristes, journalistes, etc. L'investisseur compte apporter un plus aux jeunes étudiants, lycéens, cadres de la wilaya, particulièrement les enseignants des différents cycles. Des stands par spécialisation sont bien alignés pour faciliter la prospection. Ce regain d'intérêt de l'investisseur démontre si besoin est l'importance de ce lieu de savoir. «Ce sera tout ce qui se fait de mieux dans le monde», dira humblement Si Djaballah, propriétaire de cette nouvelle librairie. Il compte offrir d'autres services d'une clientèle très nombreuse. Contrairement aux autres librairies ouvertes au large public, celle-ci sera pour lui un lieu de rencontre entre intellectuels, chercheurs, universitaires et étudiants. Ces derniers bénéficieront de temps en temps d'une réduction qui se situe entre 5 et 10 pour cent. La capacité de la librairie est de 5.000 titres et le lecteur trouvera des ouvrages sur CD-ROM. Des livres sur les sujets informatiques, scientifiques, littéraires contes et histoires pour enfants occuperont une grande partie des rayons ainsi que pour les livres édités sous d'autres cieux. Il se les procure, dit-il, par l'intermédiaire de relations avec différents éditeurs internationaux. Les ouvrages ainsi commandés parviendraient dans un temps de deux ou trois semaines aux clients. A El-Tarf, il est vrai que le secteur de la culture demeure encore balbutiant depuis plus de dix ans. La dernière représentation est la pièce de théâtre animée par les pompiers de cette wilaya au niveau de la maison des jeunes "Ahmed Betchine", initiative prise par la direction de la protection civile. Une piéce qui a drainé de nombreux spectateurs avides de ces représentations. S'agissant, des artistes, écrivains, peintres et comédiens, disons qu'ils sont très nombreux à El Tarf. Ils activent pour la plupart à Annaba. La wilaya ne dispose pas encore d'espace d'expression artistique digne du nom. Les activités culturelles se comptabilisent sur les doigts d'une seule main. Espérons que les responsables de cette association renfermant des artistes de talent fassent quelque chose dans un proche avenir et que la direction de la culture à sa tête un écrivain de renommée, M. Djouadi leur donne un coup de main. Tel est le vœu de la population tarfinoise. Cette nouvelle librairie comporte un nombre considérable de titres d'ouvrages introuvables sur le marché. D'habitude, les lecteurs, chercheurs et autres sont contraints de se rendre jusqu'à la capitale de l'acier, Annaba pour pouvoir parfaire leurs travaux de recherche. C'est une librairie des plus modernes, nous disent les quelques étudiants que nous avions rencontrés à la recherche de titres de soutien pour leur différents cours de littérature arabe, vétérinaire biologie et agrovétérinaire, filières enseignées dans l'université d'El-Tarf. Une librairie facilement identifiable, elle se trouve à proximité d'un vendeur des pièces détachées et à dix mètres seulement du siège du palais de justice du chef-lieu de wilaya. Même les jeunes potaches trouvent leur compte, le libraire a tout un rayon réservé uniquement pour les livres de soutien scolaire allant la première année primaire jusqu'à la terminale. Celle-ci est très appréciée par les étudiants ainsi que les juristes, journalistes, etc. L'investisseur compte apporter un plus aux jeunes étudiants, lycéens, cadres de la wilaya, particulièrement les enseignants des différents cycles. Des stands par spécialisation sont bien alignés pour faciliter la prospection. Ce regain d'intérêt de l'investisseur démontre si besoin est l'importance de ce lieu de savoir. «Ce sera tout ce qui se fait de mieux dans le monde», dira humblement Si Djaballah, propriétaire de cette nouvelle librairie. Il compte offrir d'autres services d'une clientèle très nombreuse. Contrairement aux autres librairies ouvertes au large public, celle-ci sera pour lui un lieu de rencontre entre intellectuels, chercheurs, universitaires et étudiants. Ces derniers bénéficieront de temps en temps d'une réduction qui se situe entre 5 et 10 pour cent. La capacité de la librairie est de 5.000 titres et le lecteur trouvera des ouvrages sur CD-ROM. Des livres sur les sujets informatiques, scientifiques, littéraires contes et histoires pour enfants occuperont une grande partie des rayons ainsi que pour les livres édités sous d'autres cieux. Il se les procure, dit-il, par l'intermédiaire de relations avec différents éditeurs internationaux. Les ouvrages ainsi commandés parviendraient dans un temps de deux ou trois semaines aux clients. A El-Tarf, il est vrai que le secteur de la culture demeure encore balbutiant depuis plus de dix ans. La dernière représentation est la pièce de théâtre animée par les pompiers de cette wilaya au niveau de la maison des jeunes "Ahmed Betchine", initiative prise par la direction de la protection civile. Une piéce qui a drainé de nombreux spectateurs avides de ces représentations. S'agissant, des artistes, écrivains, peintres et comédiens, disons qu'ils sont très nombreux à El Tarf. Ils activent pour la plupart à Annaba. La wilaya ne dispose pas encore d'espace d'expression artistique digne du nom. Les activités culturelles se comptabilisent sur les doigts d'une seule main. Espérons que les responsables de cette association renfermant des artistes de talent fassent quelque chose dans un proche avenir et que la direction de la culture à sa tête un écrivain de renommée, M. Djouadi leur donne un coup de main. Tel est le vœu de la population tarfinoise.