Abdallah Djaballah a annoncé, hier, qu'il projette de lancer dans quelques mois un nouveau cadre politique. Cette décision a été prise lors de la tenue, avant-hier, d'une session du conseil consultatif du mouvement El Islah (aile Djaballah). Djaballah, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, tenue au siège de ce qu'il considère « El Islah légitime», a indiqué qu'avant l'annonce officielle de ce nouveau parti il lancera au préalable une large consultation au sein des cadres et militants qui lui sont restés fidèles et ce dans l'objectif de procéder au choix de la dénomination que portera cette nouvelle formation, mais aussi pour définir la nature de la ligne de conduite politique. Ainsi donc Abdallah Djaballah a fini par se décider à créer un parti alors que jusque-là il a écarté cette option en ne désespérant pas de « récupérer » le mouvement El Islah, dont le contrôle lui a échappé au profit de ses détracteurs, dont le chef de file était Djahid Younsi, Il faut dire aussi que l'échec des négociations relatives à son retour à sa première formation politique, Ennahda, a grandement contribué à hâter l'annonce de la création d'un nouveau parti. Depuis de longs mois les dirigeants d'Ennahda et les fidèles de Djaballah étaient en pourparlers dans le but de lui permettre de revenir à ce mouvement qu'il a créé dès l'ouverture du champ politique au début des années 90 avant d'être évincé par ses lieutenants quelques années plus tard. Cependant Djaballah espère encore que ce « projet d'union » aboutisse un jour puisqu'il a déclaré que « le projet existe encore». Mais cela ne l'a pas empêché pour autant de faire endosser l'entière responsabilité de l'échec des négociations aux dirigeants du mouvement Ennahda. Refusant catégoriquement de donner les raisons qui ont entravé l'aboutissement de ce projet, alors que les deux parties sont parvenues à élaborer les trois documents relatifs à la politique générale, au statut du parti ainsi que la feuille de route devant régir les travaux du congrés unificateur, le conférencier a toutefois démenti les informations selon lesquelles les négociations auraient achoppés sur la question de l'élection du président du mouvement et sur ses prérogatives. Abdallah Djaballah a annoncé, hier, qu'il projette de lancer dans quelques mois un nouveau cadre politique. Cette décision a été prise lors de la tenue, avant-hier, d'une session du conseil consultatif du mouvement El Islah (aile Djaballah). Djaballah, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, tenue au siège de ce qu'il considère « El Islah légitime», a indiqué qu'avant l'annonce officielle de ce nouveau parti il lancera au préalable une large consultation au sein des cadres et militants qui lui sont restés fidèles et ce dans l'objectif de procéder au choix de la dénomination que portera cette nouvelle formation, mais aussi pour définir la nature de la ligne de conduite politique. Ainsi donc Abdallah Djaballah a fini par se décider à créer un parti alors que jusque-là il a écarté cette option en ne désespérant pas de « récupérer » le mouvement El Islah, dont le contrôle lui a échappé au profit de ses détracteurs, dont le chef de file était Djahid Younsi, Il faut dire aussi que l'échec des négociations relatives à son retour à sa première formation politique, Ennahda, a grandement contribué à hâter l'annonce de la création d'un nouveau parti. Depuis de longs mois les dirigeants d'Ennahda et les fidèles de Djaballah étaient en pourparlers dans le but de lui permettre de revenir à ce mouvement qu'il a créé dès l'ouverture du champ politique au début des années 90 avant d'être évincé par ses lieutenants quelques années plus tard. Cependant Djaballah espère encore que ce « projet d'union » aboutisse un jour puisqu'il a déclaré que « le projet existe encore». Mais cela ne l'a pas empêché pour autant de faire endosser l'entière responsabilité de l'échec des négociations aux dirigeants du mouvement Ennahda. Refusant catégoriquement de donner les raisons qui ont entravé l'aboutissement de ce projet, alors que les deux parties sont parvenues à élaborer les trois documents relatifs à la politique générale, au statut du parti ainsi que la feuille de route devant régir les travaux du congrés unificateur, le conférencier a toutefois démenti les informations selon lesquelles les négociations auraient achoppés sur la question de l'élection du président du mouvement et sur ses prérogatives.